PeriodeHARD

Mars, 2022 ▬ A l'origine, ils étaient cinq. Cinq amis pour la vie, cinq amis pour la mort. Et ils se sont fait une promesse : celle de renverser le gouvernement, et être libres. Mais après la création de leurs gangs respectifs, les évènements les plus traumatisants ont définitivement bousillé leurs rêves face à leur ennemi juré et commun : Le Staff.
C'est ainsi que s'entretient le chaos sur Venus Ville, la capitale de Mars. L'anarchie, le désordre et les promesses de mort...

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27.05.22 ▬ Groupes libres Tous les groupes sont ouverts aux inscriptions. Inondez-les de votre amour !
Aussi, nous recherchons 1 Sous capitaine AS, 1 chef de garde BB, 1 chef de garde CC, des BR à foison ainsi que des membres Pitaya !
15.05.22 ▬ MAJ V3 MAJ V3 du forum ! Lire présentation de la MAJ ici : WWW. Note : Tous les Bottins sont à jour !
02.09.21 ▬ MAJ V3 Ouverture du forum !



 
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(TW VIOLENCE) Ultraviolence Acte I (feat Enif)
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Lun 23 Mai - 22:39


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La rage aux poings ;
Indra & Enif


Au coeur de l'immense forteresse d'acier, l'écho grotesque d'une lutte acharné résonne. Dans les abysses de ces poutres de métal, des rales d'agonies grondent. Un large amas de chair s'abat au sol. Tandis que derrière lui titube une autre pitoyable larve. Oui, c'était certainement le seul épithète qu'ils méritaient. Des larves, pitoyable. Un soupir las qui se faufile entre tes lippes, alors que, les poings encore serré, tu leur jettes un regard des plus obscur. Ils ne méritaient même pas ton intérêt, mais pourtant, les mots de Roméo continuait à vibrer dans un coin de ta psyché. Il avait parfaitement raison... Mais une question demeurait, comment unir cet amas informe de chair ? Comment mettre au pas cette mécanique chaotique qu'étaient les CG ? Les réponses, tu ne les possédais bien, bien au contraire, seul demeurait un océan de doute et de misère dans ton crâne. A t'en donner la migraine. Face à toi, le dernier gaillard debout recula de deux pas, tandis que son partenaire semblait manquer de motivation à se relever. Un second soupir, tu allais lui en donner de cette volonté absente. A pas de loup tu t'approchas de la carcasse, assénant un puissant coup de pieds à celle-ci.

< C'est pas l'heure de se pieuter, la larve ! > C'était un fracas rauque, terrifiant, tel le rugissement d'une bête haineuse qui résonna à travers toute la pièce, un éclat gorgé d'un mépris aberrant, surpassant les frontières de l'univers connu, envers le “sous”-individu prostré sur le bitume. < L'entrainement ne fait que commencer et t'es même pas foutu de tenir sur tes deux jambes ! Ça se dit CG ça ?! Ah ! Connerie ! > Un flot de rage que tu déverses sur les misérable, ponctuer d'un rictus cynique et d'un ricannement des plus obscur. Tu t'accroupis au dessus du ramassis informe qui repose au sol < Tu te croyais être un caïd. T'es même pas foutu d'encaisser une patate, mon pauvre. > Un main l'attraque par sa masse chevelue tandis que l'autre vient lui asséner une puissante baffe dont le but est de lui faire reprendre conscience. La retenue, tu ne connaissais pas, pas quand il s'agissait des CG, de se salir. Impitoyable, tel était les murmures qui circulait sur ton passage, avatar de violence qui sillonne les couloirs de cette ancien entrepôt désinfecter depuis de nombreuses années.

T'assurant d'un signe de vie, ne serais-ce que minime. Tu relâches ton emprise sur son crâne, grommelant fortement ton agacement dans la situation présente. Tu tournes alors les talons, fait dos aux deux pitoyables recrues. < Y a rien à en tirer de vous. Même pas capable d'encaisser quelques coups. > Ainsi étais-ce ta sentence, le dernier crachat que tu eu à leur cracher, cela ne servait à rien de prolonger cette agonie plus longtemps. Cette manière ne fonctionnerait pas. Un nouveau soupir, las cette fois, la voix de Roméo te déchire encore le crâne.
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Chili Gazpacho
Enif A. Ourania
Chili Gazpacho
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Enif A. Ourania
Mer 25 Mai - 2:40
Il ouvre les yeux, et une envie de violence s’empare de lui. C’est récurrent, ces derniers temps. Depuis que la faculty de Baki a tourné son propre corps contre lui, chaton a des envies de meurtre. Déjà parce que toute la marmaille de l’Iron Pepper commence à méchamment le faire chier. Ces petites saloperies qui puent l’arrogance tant qu’ils se croient fort, et émanent la plus misérable des peurs à l’instant où quelqu’un tape du poing sur la table.
Le bleu se tire du lit ; enfile des vêtements de sport. Il devrait aller au cartel, mais dans cet état… Ce serait con qu’il plante les crocs dans le bras d’un concurrent. Lorgnant une dernière fois sur l’appartement mal rangé, Enif vérifie ne pas avoir oublié ses clopes. Son briquet. Ses clefs. Il jette une veste en cuir sur ses épaules et se dirige vers le QG des épicés.

Arrivé à la salle d’entraînement, le mécano s’allume une cigarette. Il souffle paisiblement la fumée grise en observant la séance de combat -enfin, la punition qu’Indra assène aux recrues. En silence, le garde du corps écoute les diverses insultes et humiliations que le sous-capitaine lance en même temps que ses coups. Enif soupire. Il écrase sa clope sous la semelle de sa chaussure et jette le mégot à la poubelle. L’once attend ensuite la fin du spectacle pour se fendre d’un lent et sarcastique applaudissement.

« -Bravissimo ! Quelle grâce ! Quelle classe ! », commence le mécanicien. « -Motivés par ces sages paroles, les nouvelles recrues deviendront assurément les plus efficaces combattants de tout Vénus Ville ! » Le jeune homme s’approche d’Indra, enjambe sans cérémonie les pauvres hères qui viennent tout juste d’encaisser toute sa rage.

« -Tu sais qu’entraîner quelqu’un est différent de lui taper dessus jusqu’à-ce qu’il en tombe dans les pommes, rassure-moi ? », continue la panthère. Le fauve penche la tête vers la droite, croisant les bras sur son torse. Il hausse un sourcil tout en découvrant les crocs dans un sourire narquois. « -Parce qu’en général, quand je pète la gueule à quelqu’un ; à la fin il a mal aux dents, mais il se bat pas mieux. »

Enième provocation du bleu, qui n’essaie même pas de cacher son antipathie pour le sous-capitaine et ses méthodes. Avoir de la force est une chose. Cela entraîne des responsabilités. Faire manger la poussière aux recrues, on le fait déjà pour leur initiation. On sait déjà qu’ils peuvent encaisser et rendre les coups. Leur boulot, c’est de les rendre meilleurs. Qu’ils apprennent à éviter les coups, et faire toucher les leurs.
Jetant un regard en biais vers les deux-trois pécores aux visages tuméfiés, Enif soupire.
« -C’est peut-être pour ça, que les tocards ont peur de la hiérarchie au lieu de la respecter et d’y être loyaux. » Les yeux de l’once remontent vers Indra. « -Tu pourrais arrêter de saper le moral des troupes s’il-te-plaît, très cher sous-capitaine ? » Le petit con ouvre grand les bras, un air arrogant collé à la gueule. « -Ou au moins passe tes nerfs sur quelqu’un avec du répondant. »

La provocation, face au mépris. Le flegme contre l’apathie.
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Mer 25 Mai - 15:14


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La rage aux poings ;
Indra & Enif


Rictus fourbe qui se propage sur ton visage sous l'écho strident d'une voix familière. Le sang bouillonne, presque immédiatement, alors que ton attention se retourne vers la source infernal d'un chaos grandissant sous ta carne. Bien évidemment, cela ne pouvait être que cette saloperie. L'orgueil sointant par tout ses pores, tu étais bien incapable de conserver ton calme face à ce genre d'ahuri. Mais il fallait l'admettre, que le calme et toi, vous n'étiez pas de bon camarade. Plus d'une chose, plus d'un individu te sortait par les yeux en réalité, disons même que la majorité n'avait gagné que ton mépris. Et ce petit chaton en faisait partie, pour ton plus grand plaisir. Au moins, sa droite était plutôt agréable.

Soupir muet qui se glisse entre tes lippes, tandis que tu arborres cet éternel brasier au creux de tes pupilles. < Car tu penses que je m'amuses ? Ces tocards n'ont rien pris de plus que quelques claques. Rien de bien méchant. > Nul besoin de plus pour cet amas difforme censé représenter les CG, un bien grotesque spectacle qui n'est digne que du mépris de leurs pères. < S'ils sont même pas foutu d'encaisser ça. Ils ne méritent rien de plus que d'être écraser. > L'appathie à son paroxysme, tu ne te cachais pas derrière un quelconque soupir, la comédie, cela n'avait jamais été ton fort. Les poings se sert, visiblement irriter. Pourtant ton expression arborre une autre chose, un instinct des plus abject suite à la présence du garde du corps en ses lieux.

< Et tu tombes bien, le merdeux. > Tu te lestes de ton épais cuir qui ne t'avait pas abandonné depuis la mise à l'épreuve de cette nouvelle vague de bleusaille, mêlé à quelques prétendus caïd du gang. < J'ai besoin de me défouler. Viens leur faire une démo de c'quest un vrai CG. > A demi-mot, tu l'admets, il a de la valeur. Malgré cette tendance qu'il possède à t'horripiler. Au moins, avec ce gars, on pouvait se lâcher et il n'en fallait pas plus pour que, dans les abysses de ton être, la monstruosité assoiffée de sang s'éveille dans un rugissement funestes. Il est l'heure de laisser parler les poings. Tu lèves ta garde, paré à en découdre.
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Chili Gazpacho
Enif A. Ourania
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Ven 27 Mai - 2:58
Jean-Bryan pisse-froid prétend du tac au tac que ce n’est pas par plaisir, qu’il déglingue la gueule aux nouveaux arrivants. Son interlocuteur se contente de poser son sac et enlever sa veste, poussant un bref rire silencieux. Mon cul, ouais. T’as l’air de prendre ton pied, à mépriser les faibles., pense le bleu. Ce genre de connards au complexe de supériorité plus grand qu’Olympus Mons ne se sentent vivant qu’en écrasant les autres.

Enif hausse les épaules. Il aurait tendance à être d’accord : des types pas foutus d’encaisser une branlée en bonne et due forme ont rien à faire chez les CG. Après, c’est pas censé être son rôle de les rendre meilleurs à ça ? Parce qu’Enif lui, a toujours été très clair : le baby-sitting, c’pas son truc. C’est peut-être pas un mal d’avoir perdu contre Baki. Au moins, Edge lui demandera plus de tenir la poche aux pécores.
Un sourire carnassier fend les lèvres du bleu, quand l’autre lève les poings. Là, on parle. Nif s’avance, monte sa garde. Il tend le poing fermé, attendant qu’Indra pose le sien dessus pour signaler le début du combat.
« -Je n’aurais qu’une seule question : Avec, ou sans faculty ? » L’avait envie de se battre, le mécano, en fait. Une bonne partie de castagne histoire de se détendre.
Alors ils commencent. Comme à son habitude, Enif préfère l’attaque. Il s’avance sans feinte, lance les poings pour tester la garde d’Indra. Le visage, les flancs. Un coup passe sans vraiment faire mouche, perd puissance arrivé au foie du sous-capitaine qui réagit à temps. Évidemment, ce dernier n’est pas en reste. Il force même le débile aux cheveux bleus à se défendre. Encaisser quelques passes. Un poing lui réveille les côtes, l’autre rappelle que même si c’est plutôt solide, le sternum se doit d’être protégé.
Et si on passait aux choses sérieuses ? Le garde du corps réduit la distance qui le sépare d’Indra,  Manque d’ouvrir les bras. Pas les griffes, chaton ! Pas les griffes. Nif présente donc son épaule aux poings du sous-cap’, le fait reculer pour altérer son jeu de jambes. Pendant qu’il se repositionne, le bleu envoie son genou vers la cuisse d’Indra. Ils ont un gabarit presque exactement similaire. La force brute ne suffira pas cette fois, non plus.
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Dim 29 Mai - 22:43


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La rage aux poings ;
Indra & Enif


Rictus vulgaire comme unique réponse de ta part. Tous les coups étaient permis. Car on ne faisait pas dans la dentelle au sein des CG, surtout pas avec toi. Toi embrasse un brasier incommensurable, qui laisse l'incendie se répendre dans tes artères. Garde lever. Celle d'un boxeur, sans surprise. Et la première échaffourée éclate. Le corps réactif, les muscles tendus, tes pupilles aux aguets, tu ne le lâches pas du regard. Guider par la furie d'un affrontement aussi puéril qu'exaltant. Tu aimais ça, un peu trop même. Plaisir malsain qui s'immisce sous ta carne, délicate valse qui s'entremêlent à cette extase, poussée d'adrénaline fugace, alors que les premiers coups effleure ton épiderme. Position défensive. Tu patientes, bien que ce ne soit pas ton fort. Sous le voile rageux, une certaine lucidité demeurait, celle du combattant d'expérience. Ce n'était pas trop premier affrontement avec lui, loin de là, et certainement pas le dernier. Alors, rien que pour ses beaux yeux, tu adoptais une méthode exclusif.

Dans un dernier assaut, tu recules d'un bond. C'était l'occasion que tu attendais. Le prédateur s'éveille, rugit dans un silence implacable. Dès lors, ta défense se transforme, moins imposante, ta posture change en une seconde et tu lances l'assaut. Vif malgré ta masse. L'endurance était loin d'être ta spécialité, surtout dans cette tactique. Tu le savais que trop bien, tu ne pourrais maintenir cette agressivité longtemps. Alors dans un élan fugace, tes poings s'élancent. Un enchaînement de puissant crochets. Droite, gauche, droite, feinte, droite, gauche puis gauche. Avant de venir définitivement la briser avec un impressionnant uppercut droit. Et dès que l'occasion se présente, tu provoques le contact, quelques centimètres venant vous séparez dès lors, changeant complètement de style, pour t'adonner à quelques intenses coups de genoux, avant de recréer la distance dans coup de pied sous le plexus.

Tu recules d'un pas supplémentaire, un rictus de satisfaction convenablement accroché au coin de tes lèvres. Tu souffles un coup plutôt bruyament. < Un bon échauffement. > Tes pupilles tournent brièvement le long de l'assistance qui observe l'affrontement, avant de relever ta garde. Une nouvelle fois dans une position défensif solide. < C'est comme ça qu'on encaisse. Maintenant, il faudrait pas s'activer un peu, hein le merdeux ?! > Une flamme vorace te dévorait te l'intérieur, venant éclaircir tes mirettes ambrée d'un éclat des plus funeste. Tu sentais le sang bouillir dans tes artères, tu perdrais assez tôt, une rage abyssale s'éveillant des plus obscure limbes de ton être.
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Mer 1 Juin - 16:53
Il se préparait. A revenir à la charge. A l’aborder de plein fouet, qu’il lève la jambe. Que, d’un pas de côté, il laisse passer le chassé frontal pour l’attaquer aux poings. Et voilà l’autre DIVA, là, qui lance son regard de femme trophée à l’assemblée. Joue au professeur qui montre la meilleure copie de la classe à tous ceux qui n’en ont rien à foutre de son contrôle d’histoire de l’art et se sont donc, logiquement, tapés une sale note. Enif pousse un soupir et baisse les poings. C’était que l’échauffement, merde ! Indra le dit lui-même.
Ah ? Ca y est, mademoiselle relève sa garde. Un rictus carnassier décore de nouveau le visage du bleu, qui entrevoit enfin le bon gros concert de mandale qu’il réclamait corps et âme.  Et la danse reprend. C’est avec une posture défensive qu’Indra commence ? Parfait. L’once peut s’en donner à cœur joie.
Il reprend ses assauts, préférant s’approcher au plus près de son adversaire. Les genoux et les coudes d’Indra restent dangereux, mais il peut les encaisser. Alors le bleu roule des épaules, lance les poings. Cherche une ouverture dans cette muraille que forment les bras du sous-capitaine. Les répliques brèves et ciblées de l’autre commencent un travail de sape chez le mécano. Et il en redemande. D’un bond, il recule et lance un coup de pied fouetté vers la tempe d’Indra. D’une feinte, la panthère plie le genou, et son attaque descend de la tête vers le foie de son adversaire.

Il adore ça, putain. La bagarre ; cet indescriptible sensation de ne communiquer que par la mesure de notre force et notre technique. Le respect qui se forge à chaque coup, l’estime mutuelle gravée ; de bleus en hématomes, sur le corps des participants. L’arrangement tacite de ne retenir que les coups qui rendraient leurs fonctions respectives impossibles au sein du gang. La décision de ne plus rien voir du Monde que son adversaire et les enchaînements de coups.
Encaissant coup sur coup, Enif tique. Il sent les épanchements sous sa peau. Les côtes plus mobiles qu’elles ne devraient être. Sa lèvre inférieure est gonflée. Et pourtant, aucune douleur. Une gêne, à la limite. Le mécanicien envoie un chassé sans grande conviction, le but étant surtout de créer de la distance. Voilà pourquoi il encaissait si bien : il n’a pas mal, tout simplement. Un rire gras secoue les épaules de la panthère. Il n’a donc que ses organes vitaux à protéger. L’once ouvre sa garde, se laisse pousser les griffes et se jette sur son adversaire. Un grand arc de la main droite, toutes griffes dehors. Le bleu pivote et lance son talon vers la tête d’Indra. Le garde du corps s’arrête un instant. Derrière lui, une queue touffue se balance de gauche à droite.

« -Dis-moi, cher sous-capitaine ! Et si l’on passait aux choses sérieuses ? » Il décoche un sourire plein d’arrogance à son adversaire. « -Montrons donc à nos chères recrues comment un CG se bat. »
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Lun 6 Juin - 13:56


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La rage aux poings ;
Indra & Enif


Une extase à peine voilée, un incendie qui palpite dans tes artères, l'adrénaline qui se propage dans chaque parcelle de ton corps, à travers chaque muscle. L'excitation d'une mêlée qui surpasse celles que tu connais, ton souffle se fait profond, une respiration parfaitement contrôlé. Afin de maintenir cette garde impénétrable sous les assauts barbare du garde du corps. Visage presque clos, tes mirettes qui sont figés sur chacun de ses mouvements, seul un rictus funeste transparaît, rompt la glace, au coin de tes lippes. Presque animé d'une soif de sang impalpable, vorace. Et tu aimes ça, d'une manière indescriptible, inconditionnel, ta carcasse entière vient à trembler sous ce plaisir, péché coupable parmi d'autres. Aussi abject soit-il, aussi grotesque sois-tu, qu'importe, tu aimais laissé parler tes poings, après tout, c'était la langue que t'avais appris Mars.

Tu ne donnes aucune réponse aux paroles de ton adversaire, si ce n'est un léger ricannement. Et uhn talon qui vient s'abattre sur le sol. Alors que le chaton venait de sortir les griffes, que le sang s'apprêtait à couler. Ta garde se baissait, légèrement, le bitûme autour de toi commença à trembler, sous l'effet de ta faculty. Concentration à son paroxysme, tu le savais, tu ne pourrais maintenir cela éternellement. Le corps immédiatement soumis à l'épreuve de ton propre pouvoir. Mais peut importe, tu avais un objectif clair, le déstabiliser. Cherchant l'opportunité, celle de portée un premier coup, d'une précision funeste. Ton poing qui vient s'abattre sur ses côtés, d'une puissance dépassant l'entendement, le choc qui vibre presque tel un séisme. Mais aussi les première gouttes de sang qui paraissent au niveau de ton menton. Tu ricanes, maudissant cette agilité féline qui lui permettait de t'atteindre. Tu recules d'un pas, créant une distance. Maintenant, chaque assaut pourrait potentiellement devenir mortel, sanglant. C'est là que ça devenait intéressant.

Tu l'observes. L'endurance, c'est ce qui te faisait défaut, tu le savais bien. Surtout en usant de ta faculty, contre coup particulièrement funeste, subissant malgré tout les faiblesses du corps humain. Tu soupires, légèrement, dans un souffle. Les occasions seront peu nombreuses, deux, trois assauts, voilà de quoi tu serais encore capable, avant de t'épuiser. Tu devrais frapper fort. Un large rictus se trace le long de tes lippes. Une sensation particulièrement plaisante, ton corps entier frémit, malgré la douleur. Tu aimes ça, tu aimes trop. Les poings redresser, tu repars à l'assaut.
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Jeu 9 Juin - 0:35
Participants
@Enif A. Ourania et @"Indra Kaiser"
v. Ultraviolence acte i

Les lippes d’Indra se tordent en une expression équivoque. La bête se réveille. Enif continue ses assauts, connaissant parfaitement les idées que l’autre a en tête. S’il prend un impact direct, l’once ne s’en sortira pas indemne.
Le sol se soulève comme s’il voulait confirmer ses pensées. Le sourire d’Indra ne peut qu’en déclencher un en réponse chez la panthère. Te rate pas, sous-cap’. Tu risquerais d’y laisser de la couenne., voilà ce qu’il lui dit. Par son regard affairé à déchiffrer les mouvements de l’autre. Par sa position basse, prêt à bondir. Par les pas vifs qui le rapprochent de son adversaire.
La dynamique a changé. Tous deux savent qu’ils sont à risque. Alors ils parent, évitent. L’once, en particulier, bondit au moindre coup lancé par l’autre. Il a déjà fait les frais de cette faculty quelques fois. C’est pas fun, la sensation d’une bétonnière qui vous tombe sur le foie. Il peine à l’atteindre. Ses griffes effleurent la peau, révèlent un mince filet carmin ; mais ne pénètrent pas. L’animal lance une énième attaque vers son adversaire, qui l’évite. Merde. Ils ont la même allonge. Donc si Indra est passé sous son coup…
Sans réfléchir, le mécanicien pare le poing lancé vers ses côtes. Il sent ses deux bras réunis contre son corps pour amortir le choc se vriller à l’impact. Le poing d’Indra soulève l’once ; qui lance une patte arrière griffue vers l’épaule de son sous-capitaine. Encore une fois, il ne fait qu’effleurer le pugiliste. Lui, par contre, s’envole. Le choc le fait tourner quelques dizaines de centimètres au-dessus du sol. En un éclair, l’hybride devient un fauve ; et c’est une panthère des neiges amochée qui retombe sur ses pattes. Enif recule d’un bond le temps de reprendre forme humaine. Ses transformations hâtives ne lui permettent de garder intact qu’un vague morceau de tissu autour de ses parties intimes. Il tique. L’aimait bien ce futal, pourtant. Ils devraient s’arrêter là. Si le combat dure, les blessures se feront plus graves encore. Comme il le pensait, Enif a le bras gauche cassé. Impossible de serrer le poing, ni même de transformer son membre. L’os a été dévié ; il percerait sa chair s’il le remodelait encore.
Voilà donc le dernier coup. Le corps du mécano n'ira pas plus loin sans lourdes séquelles. C'est le moment de faire des dégâts. Le bleu s’élance à nouveau vers son adversaire ; le plus bas possible, et remonte tel un ressort pour attaquer. Cette fois-ci, il fait mouche. Serre le poing droit en sentant la chair faiblir sous ses griffes. Le coup de genou qui le fait décoller manque de le faire tomber dans les pommes. Il retombe sur ses pieds ; titube. L’once lève une main humaine pour déclarer forfait, alors qu’il pose le genou à terre. Lançant un regard vers l'autre, Nif ne peut pas se défaire du rictus carnassier qu’ils partagent depuis quelques instants.
« -Je maintiens que t’as une faculty de bourrin, Indra. », pousse le bleu entre deux quintes de toux. « -Je m’arrête là. Encaisser une troisième mandale de ce genre m’enverrait à l’hosto. »

Enif crache une marre rosâtre au sol avant de se relever péniblement.
« -Continue à t’entraîner, sous-cap'. La prochaine fois, je t’égorge avant que le deuxième coup n’arrive. »

Le visage tuméfié, un bras ballant et la gueule en sang; il ne compte pas pour autant perdre sa verve. Il va lui arracher son sourire, un jour. Et ce sera glorieux, putain.


C y a l a n a


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Sam 11 Juin - 15:52


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La rage aux poings ;
Indra & Enif


Le sang coule, c'est une certitude. La chaude sensation qui parcours ton épiderme en est une preuve suffisante, malgré une douleur moindre, sous l'adrénaline qui envahit tes artères, ton corps tout entier. Et les muscles, les os user par le contrecoup des vibrations qui te traversent. Tu ne peux ignorer les griffes non plus qui viennent percer ta chair, et cette foudre qui vient te foudroyer l'échine. Il t'a eu, bien eu même. Tes pupilles se baissent un bref instant, pour remarquer l'empreinte d'une éviscération louper, les côtes mutiler. La distance se crée, une main se pose sur la blessure, comme pour la protéger, mais tu aperçois le garde du corps rendre les armes. Finalement, aussi rapidement qu'il est venu, il semble vouloir repartir. Un rictus se dessine le long de tes courbes et tes traits demeurent toujours aussi silencieux, un visage cloitré dans le blizzard, malgré cette petite flamme qui vient trahir le plaisir ressenti. Tu refuses de l'admettre, mais cela te soulageait, la crainte que ton corps finisse par s'effondrer sous le poids de ta faculty te hanter, toujours un peu plus lancinante, présente dans les abîmes de ta psychée. Oui, tu étais proche du point de rupture, beaucoup trop proche. Deux scénarios s'étaient ouvert sous tes yeux lors de cet affrontement, deux voies qui pourraient éclater à tout instant, soit ton corps se brisait, soit tu perdais le contrôle. Plus instable qu'il n'y parait.

Tu ricannes, légèrement, dans un souffle, un soupir, relâchant ta posture et ta blessure. Les bras le long du corps. < Et j'ai tendance à me retenir. > Vérité, ne laissant aucune prise à ton plein pouvoir, aussi mortel pour toi que pour ceux qui t'entourent. Tu tournes les talons, te dirige vers ta veste que tu ramasses pour en sortir un paquet de clope, à moitié vide. Tu en glisses une à tes lèvres, avant de le tendre vers lui. < T'en veux une ? > Sans lui laisser le temps de répondre, tu lui lances le paquet. Puis ton attention se porte vers une foule craintive. Tu soupires, agacer. < Au lieu de mater, prennez un peu exemple sur deux cons, merde quoi. > Ton attention se retourne vers l'homme panthère. < J'te retournes la mise en garde. La prochaine fois, y aura pas besoin d'un deuxième coup pour te faire voler à travers ce mur. > Tu indiques du regard l'immense façade de béton dans son dos. Une épaisse muraille d'au moins une cinquantaine de centimètre d'épaisseur. Etais-ce de l'orgueil ? Non, car au fond, tu le sais que trop bien, il peut s'effondrer tel un chateau de carte sous l'effet de ta faculty. Et une étrange angoisse vient te saisir les trippes, inexplicable, comme le doux voile de la mort qui s'étend au dessus de ton crâne. Sous les flammes qui te dévore les entrailles, règne un blizzard encore plus grand, une bête vorace qui ne désire que de voir ce monde s'éffondrer. Et ce pouvoir qui te possède, étais-ce sa représentation ?
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Jeu 23 Juin - 16:46
vi. Ultraviolence acte I

La poussière retombe. La tension aussi. La pression sanguine, surtout. Alors qu’il pourlèche ses blessures, un paquet de cigarettes vole vers lui. Enif le rattrape tant bien que mal, jonglant un peu avec la boite en carton avant d’enfin l’attraper. L’once en tire une clope et l’allume.
Le mécanicien laisse la fumée s’échapper de ses poumons tandis que le sous-capitaine remet une petite cartouche aux badauds qui regardent. Un rire gras secoue les épaules d’Enif. Et il joue la provoc’, en plus. Le bleu hausse un sourcil, lance un regard vers le mur dont il est question.

« -Ce mur-là ? Tu l’as fait faire en papier mâché, ou tu t’es découvert une droite potable à force de te tirer sur la nouille ? », répond le garde du corps avec un sourire.

Quelle plaie, ce con. C’est encore plus énervant qu’il sache se servir de ses poings. La panthère se lève. Une envie le prend de s’étirer, mais il se contentera de mettre son bras en écharpe avec une serviette qui traînait dans son sac. Il soupire.
« -T’fais chier, Indra… J’étais venu à moto putain. » L’once s’allume une nouvelle tige, tire une longue taffe qu’il repousse dans un soupir soulagé. Une bonne partie de mandale, ya que ça de vrai.
Ça, et une embrochade sous les draps. Tiens, ‘faudrait qu’il passe un coup de fil à Mercredi. Ça le détendrait. En attendant, le bleu peut pas reprendre sa bécane, donc ça sera à pieds, hein. Fait chier.

Bon. Eh ben heureusement qu’il habite pas loin de l’Iron Pepper. C’est donc une clope au bec, le bras en écharpe et la gueule en vrac qu’un Nif Nif content de s’être défoulé rentre à sa maison.


C y a l a n a
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