Mars, 2022 ▬ A l'origine, ils étaient cinq. Cinq amis pour la vie, cinq amis pour la mort. Et ils se sont fait une promesse : celle de renverser le gouvernement, et être libres. Mais après la création de leurs gangs respectifs, les évènements les plus traumatisants ont définitivement bousillé leurs rêves face à leur ennemi juré et commun : Le Staff. C'est ainsi que s'entretient le chaos sur Venus Ville, la capitale de Mars. L'anarchie, le désordre et les promesses de mort...
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11.08.22 ▬ Jumeaux Les inscriptions sont fermées !! Lire l'ANNONCE suivante pour être à jour, car un event final arrive bientôt
18.06.22 ▬ Jumeaux Les personnages jumeaux ne seront plus acceptés à l'exception d'une future réservation. Aussi, nous avons ajouté une nouvelle règle dans le réglement
27.05.22 ▬ Groupes libres Tous les groupes sont ouverts aux inscriptions. Inondez-les de votre amour ! Aussi, nous recherchons 1 Sous capitaine AS, 1 chef de garde BB, 1 chef de garde CC, des BR à foison ainsi que des membres Pitaya !
15.05.22 ▬ MAJ V3 MAJ V3 du forum ! Lire présentation de la MAJ ici : WWW. Note : Tous les Bottins sont à jour !
Dix du matin. Une voiture en direction de l'Aeria Area, chargée de différents éléments matériels : des supports métalliques variant entre deux tréteaux et un cadre, un décamètre, des cibles en tout genre, papier ou bois, carrée ou forme humaine ou encore des bouteilles d'eau avec suffisamment de ficelles pour les accrocher, une grande planche en bois, un stock de munitions de différents calibres et le plus important, une mallette remplie de quelques-unes de mes armes préférées.
L'objectif était relativement simple : trouver un terrain vague, loin des territoires des gangs, afin de pouvoir pratiquer sans avoir besoin d'utiliser le matériel du Cartel et sans avoir le risque de foutre le bordel plus qu'il ne l'est déjà à l'intérieur de la ville.
Au volant, je cherche ainsi du regard le meilleur emplacement pour la journée. Un terrain suffisamment plat, pour y installer tout le matériel et avoir au moins une distance de 50 mètres au total sans obstacle. Je pouvais au moins espérer avoir ça (et au moins espérer qu'il puisse atteindre une cible à cette distance)
Je m'arrête alors, semblant avoir trouvé mon bonheur, pour commencer à y installer le champ de tir improvisé. Commençant par sortir les deux tréteaux et la grande planche en bois... Hmm.. la grande question au final, c'est comment j'avais réussi à la mettre dans le coffre en premier lieu... Sérieux, elle pèse une tonne cette planche.
Mais bref, après avoir failli me faire une hernie discale, je n'avais plus qu'à sortir les cadres en métal tout en utilisant le décamètre pour avoir des distances relativement clean... Bon dieu, je donnerais tout pour avoir un peu d'aide actuellement en vrai... Genre, je sais pas moi... un Emil sauvage qui apparaîtrait d'un coup? Après tout, c'est pour sa demande de lui apprendre à tirer avec des armes à feu que je faisais tout ça. (bon, et pour mon plaisir personnel de pouvoir apprendre quelque chose à un ami, j'vais pas le cacher)
Et par un hasard absolument pas calculé, le voilà qui arrive d'ailleurs. Grand signe de la main, pour lui signaler ma présence.
“-Emil! Par ici! J'ai bientôt fini l'installation, il reste juste trois cadres à placer, tu peux m'aider?!”
Et après ça, on allait pouvoir passer à la partie marrante... En espérant qu'il s'en sorte mieux à manier les canons qu'à manier les queues (de billard, évidemment)
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Emil Valden
Lun 20 Juin - 21:39
Fire at will
21 mai
Les messages envoyés, le rendez-vous pris, tu avais une heure à tuer en attendant ce moment. L'idée ne t'était pas venue de nulle part. Tu savais que ton père te protégeait trop. Ce n'était pas pour rien que tu avais voulu voler de tes propres ailes, ailleurs. Mais même maintenant à bientôt 21 ans, il voulait prendre soin de toi, de sorte qu'il t'avait écarté à l'une ou l'autre intervention. Aussi, tu voulais devenir plus fort. Et si tu pouvais le devenir en apprenant à tirer, à être à distance, à continuer d'être un support, mais en plus utile ?
Te disant que tu avais le temps, tu t'étais perdu dans la lecture d'un nouveau tome des aventures d'Alice... Quand tu regardas l'heure, c'était presque l'heure. Ah merde. Tu risquais le retard. Tu pris tes affaires en vitesse, sauta en voiture et te rendis au lieu dit dans vos échanges.
Une fois sur place, tu aperçus la silhouette d'Arès. Tu lui fis signe de la main pour lui répondre et t'empressas de le rejoindre.
- T'aider ? Oui bien sûr !
Tu jetais un coup d’œil alentour avant de reposer ton attention sur lui.
- Tu pouvais m'attendre pour tout installer, je t'aurais aider... Mais il y avait besoin de toute cette installation ?
Après tout, tu n'y connais rien. Pour toi, apprendre à tirer, c'était juste un flingue en main et une canette en cible.
Le dos penché dans le coffre de la voiture, je récupère alors l'un des cadres restants pour le tendre à Emil, qui semblait assez dubitatif par rapport à la quantité de matériel utilisé... En même temps, il faut se le dire, s'il voulait tirer sur des cannettes avec un flingue, c'est pas vers moi qu'il fallait demander. Je prenais bien trop à cœur le tir pour juste débarquer avec une table, un flingue et un pack de 24 bières 50cl.
Franchement, on est pas des Red Necks! (ça c'est ce que je dirais si je savais ce qu'était un Red Neck)
“-Si j'ai amené autant de matériel, c'est pour pouvoir analyser de quel niveau on part. S'il va y avoir beaucoup de boulot ou si ça va se faire de façon naturelle.”
3ème et 4ème cadre installé, plus qu'un, je me dirige aussitôt de nouveau vers le coffre, usant à nouveau du décamètre pour installer enfin le dernier à très exactement 50 mètres de distance, avant de revenir au niveau d'Emil, le sourire colgate rayonnant, jusqu'à en devenir presque malaisant.
“-On va pouvoir commencer !”
Je viens chercher la grande mallette, des lunettes de protection dans la boîte à gant, des bouchons d'oreilles et deux cibles de taille humaine, que je déroule, pour me souvenir alors que sur l'une d'elle se trouvait un dessin caricatural de Duke... Ouais, bon... Il faut croire que j'étais quelque peu remonté par rapport à ces derniers depuis qu'ils se sont évadés, mais au moins, ça pouvait ajouter un côté fun à la leçon...
“-Tiens, j'avais oublié que j'avais ça, moi... Mais bon, ça reste une cible comme une autre, hein!”
Un rire franc sortit de ma gorge tandis que j'installais la cible vierge à une distance de 30 mètres, revenant ensuite pour sortir de la mallette un pistolet semi-automatique Tokarev TT33 non chargé à Emil, le tenant par le canon pour qu'il puisse prendre ce dernier par la crosse, ainsi qu'une paire de lunette et de bouchons d'oreilles.
“-On va commencer avec ça. Premièrement, un pistolet se tient avec les deux mains. Ta main dominante tient la crosse et l'autre vient maintenir l'autre main pour la stabilité. Ensuite, tu ne mets jamais le doigt sur la gâchette si tu ne t'apprêtes pas à tirer...”
La sécurité avant tout... Je n'avais clairement pas l'envie que Khaïne vienne me briser les roustons sous-prétexte qu'Emil se serait tiré une balle dans le pied. De mon côté, j'équipe alors les lunettes de protection (c'est assez marrant de voir la vie en jaune) tandis que j'observe sa posture, rectifiant les détails qui ne me semble pas correct...
Et maintenant, je vais le laisser prendre ça en main, attendant de voir s'il se rend compte d'un détail important ou bien s'il va tirer à blanc.
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Emil Valden
Dim 26 Juin - 16:02
Fire at will
21 mai
Tu savais qu'en t'adressant à Arès, tu ne serais pas avec n'importe qui pour t'apprendre l'art des armes à feu. Malgré tout, tu ne pensais pas qu'il mettrait les petits plats dans les grands. Tu avais un peu peur de le décevoir, en revanche. Il voulait connaitre ton niveau... mais comme tu n'avais jamais spécialement appris le tir, tu savais que ton niveau était très bas. Y avait-il vraiment besoin de tout cela ? Cependant, tu ne dis rien et l'aidas comme il le demandait.
Alors qu'il déroulait les cibles, tu vis le dessin, haussas un sourcil.
- Tu l'aimes tellement que tu lui tires dessus pendant ton temps libre, c'est ça ?
Mini blague qui ne voulait pas de mal. Tu savais à quel point Arès s'en voulait et combien cela le faisait chier de l'avoir aidé à se libérer. Tu te dis qu'à défaut de pouvoir attraper le vrai, cela devait défouler de tirer sur son portrait. Il alla installé la cible sur laquelle tu devrais sûrement tirer. Puis, il vint te donner tout ce qu'il fallait pour se protéger et tirer. Tu enfilais donc les lunettes, tu gardais les bouchons d'oreille dans ta main. Autant attendre qu'il ait fini de parler avant de les enfiler, ce serait dommage de ne pas entendre la fin de ses conseils. Tu enfilais alors seulement les bouchons d'oreille avant de te mettre en position face à la cible.
De face, les jambes un peu écartées mais bien plantées dans le sol, je tenais l'arme à deux mains. La main dominante tenant la crosse, tandis que l'autre lui servait de soutien. Ton doigt n'était pas encore sur la détente, mais s'y posa quand la cible fut en joue. Tu comptas mentalement jusque trois et tira quand le décompte fut fini. Heureusement que tu avais les oreilles bouchées, sinon, tu aurais sursauté bien davantage que le petit tressaut que tu avais fait. Tu te retournais alors vers ce professeur improvisé, prenant soin retiré ton doigt de la gâchette.
- Alors ?
C'était trop embarrassant de se faire juger de la sorte ... Surtout quand on ne se rendait pas compte qu'on avait tiré à blanc, comme un débutant.
Mes yeux sont rivés sur lui, observant l'intégralité de sa position de tir. Pour un débutant, je dois dire que ce n'était pas trop mal, et même plutôt convenable dans le cadre d'une pratique de tir sportif... En revanche, s'il avait été dans une situation de combat, je doute que le fait d'avoir les jambes écartés et en position de face soit le plus utile.
Le sursaut qu'il venait de réaliser me fit presque lâcher un rire alors qu'il venait de tirer à blanc, tandis que la culasse du Tokarev était bloquée en position reculée. Je pris alors dans la mallette un magasin (vous savez ces trucs qu'on appelle des "chargeurs" de façon erroné) pour remplir ce dernier d'une huitaine de munitions.
“-C'est pas trop mal pour ce qui est des règles de sécurité basique.”
Pour le coup, je devais bien admettre que tu avais bien écouté les consignes de sécurité, pour le reste cependant, je ne pouvais pas dire qu'il brillait par l'excellence.
“-par contre, tu as sursauté tout seul, je crois. Bonne idée que j'ai eu de laisser le magasin vide, vu ta réaction, tu te serais soit explosé les poignets, soit tombé à la renverse dans le pire des cas... Bon, une petite seconde.”
Je m'approche avec le magasin chargé, appuyant sur le bouton de sécurité pour déloger le magasin vide et le remplacer avec celui que je venais tout juste de remplir, avant de tirer un grand coup sur la culasse pour la remettre en place, armant au passage le canon.
“-Allez, cette fois, c'est pour de vrai. Je te donne huit tirs. On ira voir les résultats sur la cible après~ Si tu touches au moins une fois la cible, ça sera déjà pas mal~”
Evidemment, une cible à 30 mètres, c'était loin d'être la meilleure des distances possibles pour un débutant. Même moi, j'avais du mal à être constant pour toucher les cibles avec précision à cette distance. En revanche, en cadre de formation, c'était bien plus utile pour moi afin de juger de la capacité d'une personne. Si effectivement, il touchait la cible une fois, ça donnerait quelque chose de prometteur... Et si ce n'est pas le cas, passer à une distance plus raisonnable de l'ordre de 10 mètres lui permettra sans doute de toucher la cible un peu plus souvent.
Et alors qu'il tire, j'en profite alors pour commencer à monter le canon du Remington et la lunette de visée ainsi que charger le magasin de ce dernier. Evidemment, ça allait être plutôt une fois qu'on en aura terminé avec la formation au semi-automatique... On ne commence pas directement avec des armes lourdes, c'est un coup à compenser pour quelque chose que l'on a pas... et je parle évidemment d'un manque de précision clairement apparent et non pas d'autre chose.
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Emil Valden
Lun 4 Juil - 14:36
Fire at will
21 mai
Tu retires les bouchons d'oreille et t'es presque content quand il te félicite avant de désenchanter. Tu rougis de honte d'avoir sursauté, il n'avait pas besoin d'en remettre une couche. Par contre, pourquoi ne pas avoir chargé, hein ? Tu essaies de faire comme si c'était normal. Car c'est ce que tu vas prétendre.
- C'est juste que je ne pensais pas que c'était si facile de presser une gâchette. Oui, je me suis surpris moi-même, ça arrive.
Tu lui rends l'arme pour qu'il puisse faire ce qu'il aurait du faire depuis le début. Tu observes ses gestes et relèves le regard sur lui.
- Arès, pourquoi tu as commencé par me donner un flingue vide ?
Tu penses que c'était fais exprès pour qu'il puisse voir comment tu prenais position. Mais tu pensais de base que oui, tu tirerais tout de suite. Au moins, il avait raison, tu avais sursauté en ne craignant rien. Tu regardes ensuite la cible. La toucher une fois, ce serait bien, dit-il. Tu fronces un peu les sourcils.
- Mais ta cible, elle n'est pas un peu loin ? C'est vraiment faisable ton truc ?
Parce qu'à toi, ça te semblait impossible. Tu ne savais même pas si tu pouvais viser correctement, alors aussi loin ?
- Je vais essayer.
Tu ne veux pas qu'il pense que tu râles et contredis ses instructions. C'est lui l'expérimenté. C'est lui qui sait ce qu'il fait. Alors tu lui fais confiance, car, lui, n'a aucune raison de te tromper si ce n'est pour te taquiner gentiment. Tu te remets en position, une fois que tu as l'arme en main, les bouchons une nouvelle fois dans les oreilles. Tu vises, ou tu essaies. Tes bras ne sont pas parfaitement immobiles, tu fermes un oeil pour tenter de mieux viser. Tu inspires, expires et tires.
Bang
Bang
Bang Bang Bang Bang Bang Bang
Huit balles, huit tirs. Tu as senti la différence avec la toute première fois. Mais au moins, il n'y a pas eu de sursaut cette fois. Juste un petit laps de temps entre ton premier tir armé et le second, plus long qu'entre les suivants. Tu reposes l'arme et te tournes vers Arès.
- On va voir de plus près ?
Tu appréhendes un peu, parce que si t'es aussi mauvais au tir qu'au billard, tu vas le sentir passer...
Les huit coups de feux partent, alors que je m'occupe encore du Remington. Trois fois rien, juste le temps de caser le magasin dans le fusil et verrouiller la sécurité sur ce dernier afin d'éviter d'avoir une balle qui part, et je ne prête pas vraiment attention à la posture d'Emil en premier lieu pour tout dire, seulement au son; Ce décalage entre le premier tir et le second qui se fait plus long que les autres.
Arrivé au 3ème tir, j'observe enfin sa posture, sa façon de tenir ce qu'il a dans les mains, ses bras qui n'arrivent pas à rester immobile, son œil fermé, tout ces détails qui me permettront de prévoir avec une certitude très approximative quel sera le résultat sur la cible. Allez, je parie sur zéro tir ayant atteint le corps de la cible, et juste une qui aura frôlé la limite de la cible.
Emil repose enfin le canon, au même moment où je finissais de préparer le Remington. L'arme complètement déchargée que je m'empresse de récupérer, tirant au passage de la boîte de munition, huit autres balles que je glisse dans la poche de mon pantalon, tout en adressant un grand sourire à mon élève de la journée.
“-Yep! On va voir si t'as fait carton plein ou si t'es à côté.”
Et j'empresse le pas pour aller voir le résultat, jonglant un peu avec le Tokarev, le faisant tourner autour de mon index tout en chantonnant un petit air qui semble me rester en tête. Et je m'accroupis, pour observer en détail la cible, à la recherche de trace de balles qui aurait pu toucher celle-ci.
“-Alors, alors, alors... Hmm, il y a un trou juste... là.”
Vous connaissez cette situation où vous faites des prédictions à la con, et ça finit par se produire réellement? C'est exactement ça : aucune touche sur le corps principal de la cible, et une à côté, très exactement entre les jambes du modèle de la cible... À vrai dire, c'était plutôt un exploit d'avoir réussi à manquer la cible à cet endroit précis et je ne savais clairement pas quoi en penser, à part avoir un bug mental d'à peu près 20 secondes, à ne pas bouger, ne pas réagir et rester figé en pensant un peu trop à la situation dans ma tête, quitte à en avoir même une douleur fantôme.
“-... Alors... il y a sans doute... moyen de t'apprendre à viser au moins au centre de la cible à une distance de 10 voire 15 mètres du coup.”
Oui, la distance paraissait plus raisonnable une fois que l'on considère une distance deux fois moins grande et bien plus probable lorsque l'on se retrouve dans des combats de rue à vrai dire. J'étire mes jambes pour me relever, et récupérer la cible, pour aller l'attacher sur les supports métalliques se trouvant à 15 mètres.
“-On va repartir sur une série de huit tirs, mais on va changer la position de tir cette fois.”
L'attache de la cible terminée, je réarme le pistolet, avant de le glisser dans la poche d'Emil.
“-Cette fois, tu vas tirer en étant de côté, le principe reste le même pour la prise de l'arme, mais cette fois, tu vas garder le bras actionnant la gâchette tendu et tu vas plier l'autre pour être de profil. Les 2 premiers tirs, tu les fais de face, en dégainant, les deux suivants, tu te mets de profil, et les quatre derniers, tu vas tirer en avançant vers la cible pour arriver à une distance de 10 mètres. Dernier conseil. Pour l'instant, ce n'est pas une course de vitesse. Alors prend ton temps, j'ai pas envie que tu te retrouves à l'hôpital.”
Cette fois, c'était un exercice qui était bien plus sérieux que ce que j'avais proposé jusqu'à maintenant. Si les autres moments étaient fait pour être de la prise en main plus qu'autre chose, celui-là allait vraiment être quelque chose qu'il pourrait appliquer en situation réelle... Donc pouvoir au moins se défendre contre un assaillant.
“-Je sais que je pourrais pas te former entièrement à être une machine de guerre aux armes à feu en une journée... mais si au moins, tu arrives à être à l'aise par rapport à leur utilisation, je considèrerais ça comme une victoire. Allez! Quand tu veux!”
Je t'observe Emil! Les armes à feux, c'est comme la drague, tant que tu te tires pas une balle dans le pied, tout ira bien!