Mars, 2022 ▬ A l'origine, ils étaient cinq. Cinq amis pour la vie, cinq amis pour la mort. Et ils se sont fait une promesse : celle de renverser le gouvernement, et être libres. Mais après la création de leurs gangs respectifs, les évènements les plus traumatisants ont définitivement bousillé leurs rêves face à leur ennemi juré et commun : Le Staff. C'est ainsi que s'entretient le chaos sur Venus Ville, la capitale de Mars. L'anarchie, le désordre et les promesses de mort...
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11.08.22 ▬ Jumeaux Les inscriptions sont fermées !! Lire l'ANNONCE suivante pour être à jour, car un event final arrive bientôt
18.06.22 ▬ Jumeaux Les personnages jumeaux ne seront plus acceptés à l'exception d'une future réservation. Aussi, nous avons ajouté une nouvelle règle dans le réglement
27.05.22 ▬ Groupes libres Tous les groupes sont ouverts aux inscriptions. Inondez-les de votre amour ! Aussi, nous recherchons 1 Sous capitaine AS, 1 chef de garde BB, 1 chef de garde CC, des BR à foison ainsi que des membres Pitaya !
15.05.22 ▬ MAJ V3 MAJ V3 du forum ! Lire présentation de la MAJ ici : WWW. Note : Tous les Bottins sont à jour !
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Blanche Cooper
Ven 29 Juil - 16:57
Aucun lendemain ft. Ace
??? Suite immédiate de "hier était loin"
Montée dans la voiture, prostrée à l'intérieur d'elle-même et profondément choquée, Blanche avait une impression de déjà-vu. Sauf qu'elle était sur le siège passager plutôt que sur la banquette arrière et que celui qui était mort quelques jours avant se trouvait à côté d'elle. Ce n'était pas Grey au volant. Ce n'était pas Cecil, devant. Il était rare que Ace conduise. Habituellement, c'était son chauffeur qui se chargeait de la route, de toutes les routes, de tous les chemins, de toutes les allées. Le voir derrière le volant avait quelque chose de personnel. Le signe qu'elle était allée trop loin et qu'il avait décidé de faire ça lui-même.
Et tandis qu'au fond d'elle elle ressentait l'imminence, l'évidence du danger qui la guettait, son esprit ne voulait plus rien savoir. Tentait d'ignorer l'inévitabilité de la chute - du naufrage.
Elle n'avait prêté qu'une attention partielle à la route, si bien que lorsque la voiture s'arrêta, elle n'eut pas la moindre idée du quartier dans lequel ils s'étaient arrêtés. Elle inspecta les alentours, visiblement perplexe, perturbée, et un long silence gagna la voiture lorsqu'il arrêta le moteur.
Ça tambourinait dans sa poitrine. Ça grésillait à ses oreilles. Elle adressa à son fiancé un regard inquiet.
Ce n'est pas la maison.
Sa voix avait cassé au fond de sa gorge, et avait des sonorités différentes qu'habituellement. Fragiles.
Ace...
Elle commençait à comprendre ce qu'elle refusait de comprendre depuis qu'ils étaient montés dans cette voiture. Elle ne rentrerait pas à la maison. Ils n'oublieraient pas ce qu'elle avait fait du jour au lendemain. Elle ne s'en sortirait pas avec des larmes ou en implorant.
AucunLendemain“Love never dies a natural death. It dies because we don't know how to replenish its source. It dies of blindness and errors and betrayals. It dies of illness and wounds; it dies of weariness, of witherings, of tarnishings.”
[Appartement BR/Blanche] En silence. Il l’a conduit jusqu’à la voiture en silence. Il prit le volant en silence. Il resta le trajet muet. Sans avoir rien à dire. Sans avoir rien à ajouter. Tout avait été acté avant même son arrivée. Qu’avait-il d’autre à rajouter ? Si ce n’est les crimes qui ont été commis. Rien. Il n’y avait rien d’autre. Rien que le vide. Qu’ils connaissaient si bien. L’un comme l’autre. L’autre autant que l’un.
En décédant de la voiture, il ne l’écoutait déjà plus. Il n’y avait rien d’autre qu’une profonde déception dans son regard, mêlé à une infime parcelle de douleur. Peut-être encore un des résidus laissé par la faculty de Blanche ? Ou alors il ressentait réellement ce mal sans s’en rendre compte. Sans vouloir l’accepter.
Il ouvrit la porte, la tirant presque à l’extérieur. De force. Toujours enfermé dans son mutisme. Il n’y avait aucune douceur dans ses gestes. Il l’attrapa par le bras, la forçant à le suivre. Montant les marche jusqu’à l’appartement. Celui pour les autres affaires. Pour le travail autre. Parfait pour eux. Parfait pour elle.
Une fois rentré, il la lança sans ménagement sur le canapé. Avant de prendre une chaise, la posant juste en face. Plongeant son regard sur elle. Il laissa un instant de plus le silence perdurer entre eux. Nourrissant à l’envie cette étrange et douloureuse atmosphère qui s’était emparé de la pièce. Avant d’allumer une clope qu’il vint porter à ses lèvres.
J’me fous de savoir pourquoi. Je veux juste savoir si ça valait le coup ma belle. Alors ? Pas de regrets ?
Une volute de fumé s’échappa de ses lèvres.
A moins que ce soit plus fort que toi. Que t’es obligé d’écarter les jambes. Comme une pute. Ce que tu n’étais plus, grâce à moi.
Nouveau silence. Le temps de finir sa clope. Qu’il laissa tomber à ses pieds. Pour mieux en rallumer une derrière.
Je t’avais promis un royaume. Je t’avais promis une tête. T’as eu les deux.
Il haussa la voix, pointant sa cigarette allumée vers elle. Dans un geste de colère.
Et t’as eu les deux putains. Je t’ai offert ce putain de royaume. Cette putain de couronne en arrachant la tête de cette garce. En la découpant en morceau.
Son visage se tordit dans un rictus contrarié. Enivré par une colère sourde qui montait de plus en plus en lui. Qu’il laissa s’envoler dans le nuage emplissant de plus en plus la pièce. L’odeur de tabac s’installant à présent tout autour d’eux.
Je t’ai demandé une seule chose. Une. Seule. Je te voulais toi. Alors que je t’ai tout donné, t’as pas été capable de garder tes cuisses fermées…
Il pencha la tête sur le côté, lui lançant un regard interrogateur.
C’est quoi ton problème chérie.
Blanche Cooper
Pie in Crust
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Blanche Cooper
Ven 29 Juil - 17:50
Aucun lendemain ft. Ace
??? Suite immédiate de "hier était loin"
Son silence lui glaça le sang. Si elle tenta, dans un premier temps, de se débattre (comptant sur l'entaille provoquée par Nathanaël pour l'affaiblir), elle du rapidement se rendre à l'évidence : elle était faible. Elle s'agitait nerveusement, tenta des paroles vociférées, mais il était imperméable, et bientôt il la jetait dans le canapé.
Un cri s'étouffa dans sa gorge, et elle se redressa rapidement, s'enfonça en arrière dans les coussins, une angoisse grimpant à vive allure de son ventre à sa gorge.
J'me fous de savoir pourquoi.
Sauf que c'était tout ce qu'elle avait à lui offrir. Des justifications aussi insensées qu'étaient les raisons pour lesquelles elle agissait comme elle agissait. Et à mesure qu'il continuait de parler - ne la laissait pas répondre - elle sentait une colère grimper.
Était-ce la sienne, à Blanche, ou était-ce celle de Ace ? Ça brulait à l'intérieur et ça ne voulait pas se calmer.
C'est quoi ton problème chérie.
Un rire caustique grogna au fond de sa gorge. Toute forme de raison avait disparu. Il n'y avait plus qu'une intense émotion qui massacrait l'intérieur.
Mon problème ? MON PROBLÈME, ACE ?!
Le rire éclatait dans des sonorités morbides.
Mon problème c'est que mon frère t'a tué devant mes yeux et que j'ai passé une semaine entière à penser que ton sang était sur mes mains. LES MIENNES.
Elle pleurait, mais ce n'était d'aucune tristesse dont elle était habitée. Elle avait abandonné ces sentiments-là à côté de Nathanaël.
Mon problème c'est que l'autre frère m'a vendue et que tous les jours je me demande pourquoi ça n'a pas suffit pour qu'il m'aime comme je voulais.
Prostituée par le seul dont elle voulait être aimée.
Mon problème c'est que dans cette putain de ville le seul être qui m'ait donné la véritable sensation de compter...
La chienne.
S'est enfuie et n'est plus jamais revenue.
La gorge serrée. Sa chienne lui manquait terriblement.
Mon problème c'est que je veux être aimée mais que je ne sais plus ce que ça veut dire.
Sa voix s'était calmée. Cette fois, il y demeurait de la tristesse.
Je me déteste. Et je vous déteste tous autant que je me déteste. Je te hais, Ace. Je te hais pour ce que tu m'as fait. Pour tout ce que tu es, ce que tu représentes. Je te hais. Je te hais parce que ce jour-là, quand tu es mort, tu m'as abandonnée. Je te hais parce que tu me fais croire que tu m'aimes alors que ce que je ressens, profondément, quand je me lie à toi, ce n'est pas ce que je crois être aimer.
Affligeant constat qu'elle voulait ignorer.
Tu me hais, Ace.
Autant que tu me désires, sans doute. Mais ce qui gronde au fond de toi, toujours, est froid.
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[Appartement BR/Blanche] Il se grattait nerveusement les cheveux, passant une main sur son visage. La respiration saccadée. Ayant de plus en plus de mal à contenir cette colère sourde qui ne cessait de grimper au fond de lui. Qui ne cessait de croitre, prenant de plus en plus de place. Emplissant son corps tout entier, remplaçant jusqu’à sa propre âme. Cette maudite colère, cette maudite rage. Si c’était seulement la sienne. Il ne savait plus à cause de la faculty de Blanche. Il n’était même plus sûr de ses propres émotions. De ce qu’il ressentait. Laquelle était sienne, laquelle était celle qu’elle partageait.
C’était insupportable. Insoutenable. Il n’en pouvait plus. Il n’avait qu’un seul désir. Que tout ceci s’arrête. Retrouver le calme qu’il avait quitté pour ce chaos. Il en venait presque à regretter le vide. L’absence de tout.
Il se jeta sur elle, laissant tomber la chaise, plongeant littéralement jusqu’à sa promise. L’attrapant par le coup. S’enfonçant dans le canapé, à travers les coussins, dans cette parade qui n’avait plus rien de nuptiale.
Ma disparition t’as tellement affecté que tu t’es senti obligé de coucher avec les autres ?
Un rire dément s’échappe de sa gorge. Il n’y croit pas. Cette scène surréaliste ne peut être réelle. Tout ceci n’est qu’un songe, qu’une putain de délire provoqué par les substances qu’il prenait à longueur de journée, ou l’alcool. Ou le mélange des deux. Ou le tout. C’était impossible. Impensable. Irréaliste.
Amour ? Tu veux être aimé ? Mais bordel tu m’avais toi et je t’avais toi.
Comme si c’était la même chose, comme s’il connaissait quelque chose à l’amour. Persuadé qu'ils avaient tous, sans rien avoir. Lui qui n’avait jamais réellement aimé. Lui qui n’avait jamais rien ressenti, si ce n’est par procuration. A travers les autres.
Tu es folle. Folle. FOLLE. FOLLE. FOLLE. FOLLE.
Ses mains se resserrent autour de son cou. L’étranglant sans même s’en rendre compte. La privant de cet air vicié, de cet air entaché par les nombreuses volutes de fumées qu’il avait laissé échapper tout autour d’eux.
T’ES FOLLE. TU M’ENTENDS. T’ES FOLLE. FOLLE. HAHA. T’ES FOLLE CHERIE. UNE TAREE.
Combien de temps dura cette farce. Aucune idée. Pas suffisamment pour la tuer. Il s’arrêta juste à temps. Juste avant qu’il ne soit trop tard. L’envoyant sur le sol. La lançant comme un vulgaire coussin par terre. Laissant son corps retomber lourdement sur le plancher, qui venait de manquer de craquer sous le coup.
Il se redressa. Levant les mains sur son visage. Se remettant de toutes ces émotions. Le souffle toujours aussi saccadé. Le regard vide, perdu, ne sachant quoi ressentir. Ne sachant plus s’il devait ressentir. De peur de se perdre avec les siennes.
Aucun sens, tout ça n’a aucun sens. Aucun. Aucun. Vraiment aucun.
Blanche Cooper
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Blanche Cooper
Ven 29 Juil - 19:57
Aucun lendemain ft. Ace
??? Suite immédiate de "hier était loin"
Aux mains de Ace qui enserraient son cou, Blanche se débattit. Tenta de hurler mais aucune voix ne sortit. Ses mains à elle partaient à l'assaut de son visage, tentaient de le repousser, vainement - plantaient ses ongles dans sa peau pour le faire lâcher, vainement.
C'est seulement quand il l'eut décidé qu'elle fut libérée de son étreinte. Jetée, lâchée comme un vulgaire objet dont on ne veut plus, et le corps tombant lamentablement contre le sol. Elle toussa, la peau de son cou marquée par la force avec laquelle il l'avait retenue.
Et perdant pieds, Blanche s'était mise à rire. A rire comme si elle se moquait de lui. Le regard, soudainement, n'avait plus peur. Elle le regardait sans honte, sans la terreur qui l'habitait précédemment.
Tu n'es même pas capable de tenir ta promesse.
Le rire était fou, et ne s'arrêtait pas - les bras toujours au sol et le corps qui se redressait péniblement, tentait au moins de s'asseoir.
EST-CE LA TOUT TON AMOUR, ACE ?
Tu avais dit que tu me tuerais. Que tu me tuerais par amour.
Elle perdit à nouveau son sourire. Des nouvelles larmes vinrent grimper à ses yeux. Elle se laissa tomber, le dos embrassant le sol.
Tu avais dit que tu m'aimais.
Elle ferma ses paupières. Semblait prise d'une certaine accalmie. C'est lorsque l'intérieur ne disait plus rien qu'elle se remit à avoir peur. Aucune sensation. Ni de lui, ni d'elle. Elle rouvrit les yeux.
Ace ... ?
Elle se releva, assise, soudainement. De peur qu'il soit parti. Mais il était là. Impérial. Froid.
Je crois que je suis malade.
Malade d'avoir besoin d'être aimée.
Je partirai encore. Je te trahirai encore.
Elle le disait avec un tel calme, une telle résignation, que c'en était presque insolent. Mais Blanche était, pour une fois, simplement lucide et sincère.
Pourtant, autant que je te hais, je crois que je t'aime.
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[Appartement BR/Blanche] Il la sentait se débattre sous son emprise. Il l’avait senti suffoquer sous sa rage. Mais il ne voyait rien d’autres que ce chaos sous les yeux. Rien que des sentiments contraires. Il était trop tard. Pour elle. Pour lui. Pour eux.
Elle continuait pourtant d’en rajouter. Ouvrant encore et encore la bouche. Ne cessant de renforcer cette colère sourde qui venait ronger ses traits. Si seulement elle pouvait tout arrêter. Se taire à jamais. Arrête. Qu’elle arrête enfin. Il l’avait trop entendu. Il l’avait trop ressenti. Il l’avait trop adoré. Il l’avait trop aimé. Sans même s’en rendre compte. Sans même en avoir conscience. Aveuglé par toutes ces autres émotions. Aveuglés par cette colère. Cette frustration.
Que tout s’arrête. Enfin. Pour toujours. Que ses souvenirs demeurent sa seule vérité. Que ce passé reste à jamais encré dans cette pièce.
Il se saisit à nouveau d’elle, par la nuque, la traînant derrière lui. Avant de fracasser son visage sur la table basse, qui s’écroula sous le choc.
Arrête. ARRETE. Je t’interdis de parle de promesse. Alors que la seule chose que je t’ai jamais demandé...
Sans s’en rendre compte, il continuait d’abattre son crâne sur le sol, sur les débris de cette table. Ce bruit sourd n’était plus présent, de même que le va et viens de son bras. De même que ses gémissements de douleurs. De même que le sang qui s’écoulait à ses pieds. De même que le fracas qui raisonnait de plus en plus à ses oreilles.
T’ES INCAPABLE DE TENIR QUOI QUE CE SOIT !
Après ce qui sembla une éternité. Il relâcha à nouveau son étreinte. Se laissant tomber en arrière. A ses côtés. Haletant. L’idée même de respirer devenait douloureuse à ses yeux.
Ce n’est qu’à ce moment, qu’il vit le résultat de son élan de colère. Il s’empressa de la prendre dans ses bras. La serrant fort contre sa poitrine. Lui caressant le crâne sanglant. A mesure que ses doigts étaient souillés par son sang, il bafouilla dans un élan de tristesse et de peine :
Non. Blanche… Non. Mon amour… Je…
Ses doigts vinrent frôler le visage tuméfié de sa promise. Alors qu’un sourire brisé illuminait à présent son visage.
J’ai besoin de toi. J’ai BESOIN de TOI. Non… Je…
Il déposa un baiser sur son front. Le visage tordu de douleur, rongé par les regrets. Rongé par la peine qu’elle ressentait. Comme si tout ceci n’était pas de son fait. Il l’embrassa fougueusement. Unissant leurs lèvres une fois de plus. Ne faisant plus qu’un dans cette tempête déchainée de sensations contraires.
J’ai… j’ai besoin de te faire du mal… Je…
Il ne comprenait pas. Alors qu’il n’y avait rien à comprendre. Il venait de fracasser le visage de sa fiancée sur une table basse. Il n’y avait rien. Encore ce vide.
Je te tuerai autant de fois qu’il le faut. Pour mieux t’aimer…
Pourtant, il était bien incapable d’aimer. Bien incapable de lui offrir autre chose. Mais comment expliquer ces sentiments, si ce n’est par l’amour.