Après pas mal des jours et surtout une très grosse discutions avec Hestia, tu avais enfin éclairci une chose. Cette chose qui te perturber chaque jour, chaque fois que tu croisais Ephemer ou son regard. Tu savais maintenant d’où venait cette sensation que tu avais dans le ventre, le fait que ton cœur s'affole dans certaines situations. Tu étais mordu d'Ephemer. Tu avais clairement des sentiments pour lui, tu ne pouvais plus le nier maintenant. Toi qui pensais ne jamais plus aimé qui que ce soit suite à la disparition de ta femme. Te voilà maintenant, amoureux de ton ami le plus proche.

Enfin si vous étiez toujours ami. Après tout, tu lui avais vivre les jours les pires de sa vie. Tu t'en voulais énormément d'avoir été si con avec lui. Que si, il acceptait tes excuses, il faudrait sûrement du temps pour qu'il te pardonne entièrement. Tu ne voulais pas lui faire du mal et pourtant tu l'avais fait à contre cœur. C'est pourquoi tu avais décidé de tout lui expliquer, d'essayer d'arranger les choses. Cependant, tu étais redevenu comme un adolescent qui vient de connaître son premier crush. Tu étais tendu à mort. Tu n'avais pas arrêté de faire les cent pas dans ton garage, n'arrivant pas à travaille comme il le fallait. Tu avais hâte de le retrouver ce soir et de tout lui dire, mais il y avait aussi un sentiment de peur. Peur de le perdre à jamais.

Tu n'arrêtais pas de fixer ton horloge et lorsque l'heure de fin était arrivé, tu t'empressas d'aller à l'étage, dans ton appartement. Tu profitas de ce qu'Ephemer ne soit pas encore arrivé pour aller prendre une douche et enfiler une tenue un peu plus correct que ta salopette. Une fois totalement prêt, tu allas poser ton cul sur le canapé et attendis dans le silence qu'Ephemer soit de retour. Tu avais l'impression que les minutes étaient devenue des heures, tellement tu trouvais le temps extrêmement long. Ce qui ne t'aida pas, tu stressais de plus en plus. Tu commençais même à avoir les mains moites. Tu n'arrêtais pas de venir les essuyer sur ton pantalon. Tu te rongeais les ongles, te mordait la lèvre. Et une soupire de voir même une insulte sortit de ta bouche tellement tu en avais marre de stresser comme un con. Tu te dirigeas vers la fenêtre pour venir caresser l'un de tes chats et tu aperçus Ephemer qui était en train d'arrivée. Tu pris une dernière grande inspiration avant de te diriger vers la porte. Tu étais prêt à le retenir si jamais il te fuyait.  

Tu étais clairement décidé à t'expliquer ce soir et pas un autre soir. Tu t'adossas contre le mur et attendis la venue de l'être pour qui tu avais des sentiments. Et lorsque la poignée de la porte commença à tourner, tu t'éloignas un peu de celle-ci pour laisser Ephemer passer. Une fois la porte ouverte, tu te trouvais en face de lui. Tu ne savais pas trop comment réagir et lorsque tu essayas de lui parler, tu bégayas comme un idiot. Tu levas tes bras, venant mettre tes mains devant Ephemer pour  lui faire comprendre de ne pas bouger le temps que tu te calmes.

Tu avais oublié à quel point c'était dur, l'épreuve que c'était d'exprimer ces sentiments à quelqu'un. Tu finis par venir prendre la main d'Ephemer dans la tienne, le conduisant jusqu'au canapé. Tu le fis s'asseoir avant de rester, toi, debout devant lui. Tu collas tes mains en elle-même avant de venir les mettre devant ton visage.

« Je suis sincèrement désolé, désoler pour tout. Désoler aussi pour les jours qui sont passé depuis que je t'ai quitté à l’hôpital... Je t'ai faits vivre un enfer, j'ai été idiot, je le reconnais... Mais je suis prêt à tout  t'expliquer, si tu veux bien m'écouter Ephemer. »

Tu savais clairement que ça n'allait pas être simple avec Ephemer. Qu'il avait de très bonnes raisons de t'en vouloir, de te faire la gueuler, clairement. Mais tu ne voulais en aucun cas le perdre, pas sans avoir essayé de tout lui expliquer. Si jamais avec toutes tes explications, il te voulait ne serait-ce que te pardonner, alors tu le laisserais s'éloigner de toi. Même si ta vie sans lui, n'aurait sûrement plus aucun sens. Au point de vouloir sûrement mettre fin à ta vie. Tu étais clairement fou de lui à tel point que tu étais devenu maladroit et assez pour le blesser.

Tu n'avais pas pris le temps, ne serait-ce que de le rassurer. Tu l'avais directement conduit au canapé sans dire le moindre mot. Aucune son ne pouvait sortir de ta bouche tellement tu étais stressé. Tu n'avais jamais été autant dans cet état. Même un combat contre un gang ne te mettait pas aussi mal. Tu devais te calmer pour venir lui parler calmement, pour éviter de t'enfoncer ou de le blesser de nouveau. Il te faudra sûrement du temps pour arriver à mettre un sens dans tes mots sans paniquer. Tu espérais au fond de toi qu'Ephemer soit doux dans ces paroles, même si tu ne le méritais clairement pas. Tu voulais que la conversation se passe calmement et en douceur. Tu ne voulais en aucun cas t'engueuler, te prendre le chou avec lui.

Tu allais continuer à lui parler, à lui expliquer la situation lorsqu'il ouvrit la bouche. Et il avait réussi à deviner ce que tu voulais dire... Il était le seul à vraiment te connaître, à te voir ainsi. Tu te mis à rougir d'un coup, détournant ton regard. Toi qui d'habitude étais courageux, n'ayant peur de rien, tu avais une peur bleue d'affronter tes sentiments, d'affronter Ephemer. Tu finis par venir t'asseoir sur un des fauteuils. Tu ne regardas toujours pas Ephemer dans les yeux, pas tant que tu ne t'étais pas calmé. Tu avais l'impression que ton cœur allait sortir de ta poitrine. Main posée sur celui-ci, tu commenças à faire des exercices de respirations pour te calmer. Tu n'étais clairement pas bien.

Une fois calmer, tu relevas la tête vers l'homme que tu aimais. Et c'est, avec une main poser sur ta bouche, que tu allais finir par lui répondre, ne voulant pas laisser ce blanc continuer davantage.

« Chaque chose en son temps Ephemer... S'il te plaît... »

On pouvait clairement voir dans ton regard, que tu étais désolé de l'attitude que tu avais eue avec lui, à  l’hôpital. C'est pourquoi tu voulais tout d'abord t'excuser avant de révéler tes sentiments.

«  Tout d'abord, pour ce qui s'est passé à l’hôpital. Je voulais m'excuser, m'excuser des mots que j'ai pu te dire... »

Tu jouas nerveusement avec tes mains avant de venir fixer le sol.

« J'étais totalement perdu... Tes baisers ne me laissaient pas indifférent... J'ai paniqué, j'ai eu peur. Je ne voulais pas assumer ce qui se passer en moi, entre nous. Je... J'ai toujours regardé les mecs, sans aucune arrière-pensée. Mais toi c'est différent... Chaque fois que je suis avec toi, j'ai envie de t'embrasser, de te toucher... J'ai été un idiot, de t'avoir limité repousser à l’hôpital... D'avoir dit des choses blessantes. Je m'en veux tellement... »

Tu attrapas une touffe de tes cheveux avant de venir les serrer fort dans ta main pour t'empêcher de verser une larme. Tu ne devais pas encore craquer, tu devais tout lui raconter avant. Tu fis une petite pause avant de reprendre la conversation. On pouvait l'entendre à ta voix que tu n'étais pas bien, que tu allais à un moment craquer. Tes yeux étaient devenus tout humides.

« Et les jours qui ont suivi tout ça... On dut être un vrai calvaire pour toi. Je sais qu'avec tout ce que je t'ai faits subir, je ne mérite sûrement pas ton pardon. Mais je veux que tu sois au courant de tout. Si j'ai été distant avec toi, c'est parce que j'avais besoin de temps pour réfléchir, sur la situation, sur moi, sur nous deux... »

Tu te mordis la lèvre, n'osant pas le regarder. Tu avais peur de croiser son visage, de la voir triste où limite dégoutter. Tu ne voulais qu'une chose, revoir son sourire. Ce rayon de soleil qui illumine ta vie.

« À l'heure d'aujourd'hui, je sais ce que je ressens, ce que je veux. Je ressens plus qu'une simple amitié à ton égard. Tu es mon meilleur ami, mais tu es aussi la personne que j'aime. Tu es la personne avec qui je veux faire un bout de chemin, voire plus.  Celle que je veux sentir contre moi. Celle que je veux voir chaque matin à mon réveil juste à côté de moi dans le lit... »

Tu tournas un peu la tête, versant quelques larmes en regardant Ephemer. Tu ne voulais pas qu'il ai pitié de toi ou quoi. Tu ne voulais pas que de te voir dans cet état, change son avis. Tu voulais être juste sincère avec lui pour une fois.

« J'ai des sentiments pour toi Ephemer... J'ai mis du temps à le comprendre et à l'accepter surtout. C'est tout nouveau pour moi... Tu es le premier mec qui me fait de l'effet et avec qui j'ai envie d'être... »

Tu penchas ta tête en arrière essayant de ne pas fondre comme une madeleine. Tu étais peut-être de nature froide, mais lorsque l'on te connaît, que l'on passe énormément de temps avec toi, on découvrait un Sirius qui n'avait rien à voir avec ce que tu montrais. On avait affaire à un homme sensible, terrifier à l'idée de perdre de nouveau quelqu'un. De finir seul. Tu essuyas tes larmes avant de venir sortir de ta poche, ton téléphone. Tu le déverrouillas avant d'aller chercher la conversation avec Hestia. Une fois arrivé sur les SMS concernant Ephemer, tu posas ton téléphone en face d'Ephemer, non loin de lui. Tu n'avais rien à lui cacher et au moins avec cette preuve, tu pouvais lui prouver que tu ne te moquais pas lui.

« À toi de voir si tu me pardonnes ou non. Mais sache que j'accepterais ton choix... Que si jamais tu veux partir d'ici, je ne te retiendrais pas, comprenant tout à faire ta réaction... Je voulais que tu saches tout ça avant. J'aurais sûrement regretté à vie, si je ne te n'avais rien dit, si je ne t'avais pas expliqué la situation. Je m'en veux déjà, de t'avoir fait du mal... Toi qui disais que j'étais un homme bien... Au final c'est totalement faux... »

Douleur... Tu étais sûrement la personne liée à cette douleur qu'il ressentait au plus profond de lui. Tu n'aurais jamais pensé qu'un jour, tu lui aurais fait du mal et pourtant ce jour est bien arrivé. Tu aurais préféré pu lui parler directement. Parler de tout ça sans prendre le temps de te comprendre, de comprendre ce que tu ressentais pour Ephemer. Cependant, ces longues semaines étaient nécessaires pour toi. Mais il est vrai que tu n'aurais pas dû être froids avec lui. Tu aurais dû être toi-même, sauf qu'après les mots dit à l’hôpital, tu avais peur de te comporter comme avant avec lui. Il t'avait un peu brisé le cœur. Mais ce que toi tu avais fait, était bien pire. C'est pourquoi, peut-être pour te protéger où le protéger, tu avais agi ainsi. Te refermant sur toi, t'enfermant dans ta coquille. Tu pensais a force, que tu étais maudit. Que toute personne étant proche de toi, soufrer, disparaissait ou pire. C'était pour cette raison, que tu ne voulais pas vraiment t'attacher autant à quelqu'un. Sauf qu'Ephemer est entré dans ta vie et il a clairement tout basculé, ce que tu t'étais fixé.

Tu aurais aimé venir le prendre dans tes bras, venir le rassurer, le cajoler. Car tu avais horreur de le voir blesser, de le voir souffrir. Ça te faisait clairement mal au cœur littéralement. Tu n'arrivais pas à respirer comme à ton habitude. Tu agrippas ton haut, essayant de le calmer comme tu le pouvais. Tu pouvais clairement faire une crise cardiaque et t'en battre les couilles, ce qui compte à tes yeux, maintenant, ce n'était Ephemer et rien d'autre. Tu étais prêt à mettre ta vie en danger pour lui. Mais tu as dû,à contre cœur, rester assis sur ton fauteuil, tu ne voulais pas le brusquer ou l'énervé encore plus. Car oui tu avais remarqué quelques gestes qui faisaient pensés qu'il n'était pas d'une humeur joyeuse. Ce qui était tout à fait normal.

Tu ne savais pas comment prendre les mots d'Ephemer. Tu ne pensais qu'à une seule chose, qu'il veuille tout arrêter avec toi et donc dire adieux à votre amitié. Et cette idée clairement ne te plaisait pas. Au contraire, elle n'aidait en rien à te calmer. Elle te faisait encore plus pleurer. Et la colère due à ta tristesse commençait peu à peu à monter en toi. Et la suite te blessa encore plus et là c'était la goutte de trop. Tu ne pouvais plus dire stop à ton corps, mais tu pouvais au moins le dire à Ephemer.

«  Tu te fous vraiment de ma gueule là .!! Tu crois vraiment que je vais faire semblant de chialer pour que tu me pardonnes. Tu crois vraiment que je suis ce genre de personne ! Alors c'est que tu ne me connais pas aussi bien que je le croyais... J'ai toujours été moi-même avec toi, n'ayant aucune honte à afficher des parts de moi, que je cache à tout le monde... Et tu oses me considérer comme ces merdes qui utilisent les sentiments des gens pour s'en sortir... Je... Je n'ai même pas les mots... »

Totalement blesser par Ephemer, tu ne voulais même pas continuer la conversation. Que si tu ne voulais pas qu'il reste auprès de toi à cet instant, tu lui aurais clairement montré la porte du doigt pour qu'il se casse. Mais là, non. Tu voulais, au contraire, l'avoir contre toi. Que cette dispute n'est rien face à leur amitié au moins. Tu voulais que ça se finisse en câlin et non en adieux.

Un objet vola et atterrit contre le mur. Heureusement que tu as peu d'objet et que tu n'étais pas trop attaché à ceux-là. Tu regardas en direction de l'être que tu aimes. Ephemer était totalement hors de contrôle. S'il le voulait il pouvait retourner tout ton appartement, à ne changerait en rien à la situation. D'ailleurs, tu le prouvas en venant faire tomber tout ce qu'il y avait sur la table basse, dont son portable.

« Vas-y casse tout si ça t'enchante, j'en ai rien à foutre ! Ça ne changera en rien à la situation ! Putain Ephemer... »

Tu ne finis pas ta phrase en le voyant s'écrouler par terre en larmes. Ton cœur se serra encore un peu plus. Et sans prendre le temps de réfléchir tu allas vers lui pour venir le prendre dans tes bras. Sauf qu'étant énervé, blesser. Tout ce que tu avais récolté c'était de te faire repousser. Et au vu de sa force tu volas un peu, venant de prendre le coin de la table basse contre le crâne, te faisant une belle marque qui était en train de saigner. Tu étais tellement focus sur Ephemer, que tu n'avais pas ressenti la douleur, que le liquide qui était en train de couler le long de ton visage c'était comme s'il n'existait pas.

Tu allais devoir toi aussi, avoir recours à ta faculty si tu ne voulais pas le voir partir. Et comme tu ne voulais en aucun cas, qu'il parte c'est à contre cœur que tu allais l’utiliser. Tu soupiras avant de venir te relever. Tu fermas les yeux, te concentrant avant de commençais à grandir. Plus les secondes passèrent et plus les centimètres apparaissaient aussi. Tu étais devenu tellement grand que tu avais du mal à tenir dans le salon. Tu avais d'ailleurs explosé pas mal de meubles, d'objet au passage. Mais ça t'est égal. Tu avais attrapé du bout de tes gros doigts le haut d'Ephemer essayant de tirer dessus pour le retenir. Et au bout d'un moment, en ayant posé tes fesses sur le sol, que tu as un peu défoncé au passage. Tu finis par le prendre dans tes bras. Tu faisais attention à ne pas l'étouffer mais assez pour ne pas que celui-ci réussis à s'enfuir.

« …. Ne part pas Ephemer... S'il te plaît... Je ne veux pas te perdre... Pas toi... Pas la personne à laquelle je tiens le plus, pas la personne que j'aime... »

Tu finis par te calmer un peu et commenças à désactiver ta faculty. Reprenant ta taille de basse. Tu étais même nu à cet instant, tes vêtements n'ayant pas résisté à ta grande taille. Toujours Ephemer dans tes bras. Tu as eu qu'il te repousse et part, mais tu ne voulais pas non plus utiliser ton pouvoir contre lui. Alors tu restas contre lui et allas lui voler un baiser, un vrai ou cas où il fuirait.

Tu avais toujours Ephemer dans tes bras, il était impossible pour toi de le lâcher. Tu ne voulais pas qu'il parte, qu'il s'éloigne encore de toi un peu plus. Tu voulais, maintenant que tu assumais pleinement d'être dingue de lui, l'avoir tout le temps auprès de toi. C'est pourquoi ta prise se referma un peu plus sans pour autant étouffer son amoureux. Même si au vu de sa faculty, ça allait être difficile pour toi de réussir à le serre au point de lui couper le souffle. Tu fermas les yeux avant de venir nicher ta tête dans son cou, respirant son odeur, écoutant son cœur. Venant coller ton corps nu contre le sien. Tu ne voulais tellement pas le perdre, que d'être nu devant lui t'était égal.

Tu grognas un peu avant de venir le regarder de nouveau dans les yeux Ephemer. Tu lui essuyas les joues avant de venir lui caresser tendrement le dos. Tu voulais qu'il se calme, tu voulais le voir de nouveau sourire et non pleurer. C'était une crève cœur, de voir l'être que tu aimais blesser. Physiquement que moralement. Tu viens lui donner une petite pichenette sur son nez avant de venir lui répondre calmement, ne voulant plus oser le ton avec lui.

« Ça m'est égal de perdre mon appartement ou mon garage. Dans le pire des cas ça se repart, ça se reconstruit. Ça sert à ça, la vie ! » Haussant les épaules, un petit sourire aux lèvres « alors que toi... Tu es la chose la plus précieuse à mes yeux. Je suis prêt à perdre tout ce que j'ai dans ma vie, sauf toi... »

Tu le regardas avec passion avant de venir lui voler de nouveau ses lèvres pour un tendre et très long baiser. Tes mains s'aventurèrent dans son dos, venant caresser chaque parcelle de son corps. Quant à tes lèvres, elles allèrent parcourir son cou avant de venir le mordre. Faisant au passage une petite marque. Tu ne voulais pas que l'on s'approche de lui. Il était tiens. Enfin s'il veux bien être avec toi. Et le meilleur moyen de le savoir c'était de lui demander. Mais avant tout chose, tu pris le temps de lui répondre, de la rassurer. Jamais tu ne le détesterais, il était bien trop important pour toi. Tu n'arrivais déjà pas à lui faire la gueule alors encore moins lui en vouloir pour quoi que ce soit.

Tu allas carrément lécher les larmes qui coulaient sur le visage d'Ephemer avant de venir embrasser son front tendrement.

«  Pourquoi je te détesterais Ephemer ? C'est plutôt le contraire, c'est plus logique que ça soit toi, qui me déteste avec tout ce que je t'ai faits subir... »

Tu viens toucher ta blessure ayant remarqué enfin que tu étais blessé. Tu saignais toujours mais ça t'est égal. Tu pourrais très bien te lever et filer dans la salle de bain te soigner. Mais tu te refusais de quitter Ephemer. Tant pis tu te videras de ton sang. Il était hors de question pour toi de partir.

« Ce n'est rien ça, j'ai eu pire ! Ce n'est pas un petit bobo qui va me mettre ko ! Par contre toi est ton corps »

Tu essayas de détendre l’atmosphère, de faire de nouveau sourire Ephemer. Tu voulais que ton rayon de soleil illumine la pièce. Tu avais besoin de ta lumière dans ce noir. Tu le serras un peu plus collant ton corps bien contre lui avant d'approcher ton visage du sien.

« Il est hors de question que je te laisse... Je te veux Ephemer... Soit à moi et n'a personne d'autre... »

Tu viens l'embrasser langoureusement descendant tes mains vers ses fesses pour venir le replacer sur toi. Tu lui mordillas sa lèvre avant de venir de nouveau fixer tes lèvres aux siennes. Tu levas ton visage et tu regardas Ephemer amoureusement. Tu affichas un sourire sur ton visage avant de venir lui pincer un peu les fesses faisant semblant d'être outré.

« OH ! Comment ça "je t'aime bien" ! Tu vas voir si tu m'aimes bien... Mais peut-être pas toute de suite... Faudrait que je me soigne et surtout que je me rhabille... Mais je veux pas non plus te lâcher. Je veux te garder auprès de moi... »

C'est pourquoi, n'utilisant plus sa faculty, tu pouvais maintenant utiliser un peu la tienne pour réussir à porter Ephemer. Tu te levas, main poser sous les fesses d'Ephemer pour te soulever. Tu lui dis de bien s'accrocher. Et c'est en mode koala que tu te dirigeas vers la salle de bain. Tu finis par venir le poser sur le rebord de la baignoire. Tu t'éloignas un peu de lui, montrant ton corps toujours nu aux yeux de ton amoureux sans aucune gêne. Tu pris ton bas de pyjama et l'enfila pour avoir au moins quelque chose sur les fesses. Tu fouillas dans tes placards pour chercher ta trousse de premier soin. Tu la posas dans les bras d'Ephemer avant de venir le regarder dans les yeux.

« Tu veux bien soigner ton idiot de... » Tu te mit à rougir un peu venant gratter ta joue. « Petit copain... ? »

C'était ta façon à toi de lui demander d'être avec lui, comme un couple. Tu voulais être bien plus qu'un ami, qu'un sexfriend ou autres. Tu voulais l'avoir comme chéri. Tu voulais partager ta vie avec lui. Et  voir ce que le futur leur réserve.

Tu ne voulais plus le voir triste, tu voulais revoir ce visage qui t'avait tant manqué au fil des semaines. Tu voulais voir l'Ephemer que tu as toujours connu. Cet être toujours joyeux, le sourire aux lèvres peut important la situation. Cette bonne humeur qu'il dégageait rien qu'en étant auprès de lui. Tu voulais retrouver celui-ci qui te faisait voir la vie en couleur. C'est pourquoi tu faisais tout ce qui était en ton pouvoir pour le calmer. Le prenant dans tes bras, séchant ses larmes. Tu n'aimais vraiment pas le voir ainsi. Tu espérais au fond de toi que c'était des larmes de joie et non de tristesse.

Tu le regardas avant d'afficher un petit sourire sur tes lèvres, un sourire innocent comme si tu n'avais pas fait exprès de l'exciter. Alors qu'on fait de toi, c'était clairement  fait pour qu'il réagit. C'était le but, d'exciter Ephemer ! Tu le laissas s'éloigner de toi, tout en le gardant contre toi. Notant bien évidemment l'information dans ta tête. Tu allais être sage pour l'instant, le temps que la situation change. Mais clairement, une fois tout ceci de régler, tu allais lui faire sa fête. Tu avais envie de lui, de le toucher, de sentir son souffle contre ta peau, dans ton oreille. Sentir la chaleur brûlante de son corps qui ne réclamer qu'une chose : toi.

« Ah ! Pardon... Ce n'était pas le but... Je voulais juste essuyer tes larmes... »

Mytho. Mais très vite ton visage vira au rouge en entendant les paroles de ton crush. Et tu en profitas de ce qu'l se cache contre toi pour venir sourire comme un idiot. Tu étais heureux, heureux de savoir que ton amour était réciproque. Tu viens lui caresser tendrement son dos, te retenant difficilement de ne pas l'exciter. Tu gardas ton calme gardant la tendresse de ce moment. Tu osas quand même venir déposer un baiser dans son cou.

« Au contraire ? C'est-à-dire ? Est-ce que toi aussi tu ressens des choses pour moi ? »

Tu savais bien évidemment la réponse, mais tu voulais l'entendre de la bouche de l'homme que tu aimais. Tu voulais avoir des frissons, avoir limité les petits papillons dans le ventre. Tu voulais ressentir de nouveau ce que c'était d'être amoureux et d'être aimé.

Tu grimaças lorsqu'il te tira les joues venant griffer un peu ses fesses pour te venger. Il ne t'avait pas fait mal, loin de la. Mais le fait qu'il est deviné ce que tu manigances, t'embêter car tu voulais attendre le bon moment. Tu soupiras venant jouer les dramaqueen, ne le quittant pas du regard. Tu poses ta main sur ton front avant de jouer la comédie.

« Je n'oserais jamais voyons ! Jamais je ne jouerais ce petit jeu avec toi ! Je suis quelqu'un de chaste ! »

Tu le regardes sérieusement avant de venir lécher son cou et lui faire un suçon pour clairement lui donné envie. Assumant d'être un peu pervers avec lui à cet instant. Mais tu devais dans un premier temps te soigner. C'est pourquoi maintenant tu étais avec lui dans la salle de bain. Prêt à venir essuyer le sang sur ton visage, mais tu fus très vite plaquer, les lèvres d'Ephemer contre ton cou. Tu agrippas son bas, venant plaquer son bassin contre le tien. Comme si tu voulais qu'il fasse son affaire pendant un long moment. Clairement sa morsure te faisait de l'effet et ça pouvait se sentir. Tu allas passer ta main dans ses cheveux venant aussi les agripper. Ce n'est que lorsqu'il finit par un suçon, que tu le regardas avec envie avant de venir lui donner une petite tape sur ses fesses.

« Vilain! »

Tu le gardas un peu contre toi avant de le laisser s'éloigner de toi. Le laissant s'asseoir de nouveau pendant que tu allais chercher le nécessaire. Et la réaction qu'il eut lorsque tu lui as demandé de le soigner en utilisant le mot chéri, te taiut rire. Tu levas ta tête pour regarder Ephemer avant de venir à ton tour te relever. Tu viens te coller à lui, passant ton bras autour de sa taille, un sourire aux lèvres.

« Au vu de ta réponse, je prends ça pour un oui. Oui pour devenir mon chéri, mon homme. »

Tu viens lui voler un baiser avant de le lâcher pour ouvrir la trousse venant donner à Ephemer au passage, de quoi désinfecter la plaie, ainsi qu'un petit pansement pour venir protéger la blessure. Une fois que ton homme avait fini de te soigner, tu lui pris la main sans rien dire avant de venir l'emmener dans ta chambre.

Tes lèvres contre les siennes, tu prolongeas ce tendre baiser qu'Ephemer t'offrait. Il durera plusieurs secondes avant que tu ne le rends sauvage avant de finir par te calmer. Tu ne devais en aucun cas lui sauter dessus, même si cette envie grandissait à chaque fois que ton homme t'embrasser. Ton corps frémit à chaque frôlement, caresse de sa part. Il te rendait complètement fou et encore plus depuis que tu osais enfin assumé que tu étais amoureux de lui.

Tu le gardas contre toi, ne voulant plus le lâcher, ne voulant plus que celui-ci part. Tu voulais rattraper tout ce temps où tu n'as pas voulu être auprès de lui. Tu ne voulais en aucun cas passé encore un jour loin de lui. Tu viens le regarder dans les yeux avant qu'un sourire ne s'affiche sur ton visage, souriant comme un con. Entendre ces doux mots, qui à jamais avaient quitté ton esprit. Des mots que tu te refusais d'entendre par peur de perdre l'être aimé une seconde fois. Cela te faisait du bien de les entendre de nouveau et surtout de sa bouche. Tu restas calme, retenant de verser une petite larme. Voulant être un bonhomme. Alors tu allas nicher ta tête contre son cou avant de le serrer fort contre toi.

« Je croyais que tu me détestais . Faudrait savoir quand même bébé ! »

Tu rigoles avant de venir lui pincer les fesses venant de nouveau l'embrasser pour lui montrer que toi aussi tu l'aimais. Tu n'étais pas encore prêt à lui dire ces mots, mais ta façon d'être, la façon que tu as de le dévorer du regard prouver que ses sentiments étaient partagés. Tu continuas à lui caresser le dos avant de tourner un peu la tête, gêné.

« J'aimerais te le dire aussi, mais il me faudra un peu plus de temps pour arriver à te dire ses mots Ephemer... Avec ce qui sait passé il y a des années maintenant, j'ai peur de les dire maintenant. Mais ça ne veut veux pas dire que je ne ressens rien pour toi. Au contraire, mon cœur bat pour toi. »

Par la suite ton visage se mit à rougir d'un seul coup. De voir Ephemer exprimer ce qu'il ressentait, le rendait encore plus mignon qu'il ne l'était. C'est donc main sur le visage, cachant le fait que tu te mordais la lèvre, que tu l'écoutas essayant de garder ton calme. Pour changer un peu l’atmosphère torride qui était en train de naître, tu cherchas encore une petite blague à lui lancer pour te détendre.

« Et ce petit jeune, il aime les hommes âgés ! J'en suis la preuve, je suis un petit croûton~ »

Tu viens lui ébouriffer les cheveux avant que ta main ne caresse sa joue. Tu le sentais un peu tendue alors qu'il n'avait pas à l'être avec toi. Il pouvait parler calmement de tout et de n'importe quoi. Jamais tu ne le jugeras, jamais tu t'énerveras contre lui... Si bien évidemment on oublie ce qui vient de se passer. Mais, oh grand jamais, il ne lèvera la main sur lui.

« Tout doux Ephemer, respire, tu peux me dire tout ce que tu veux sans avoir peur ! Je ne sais pas si je suis le bon, mais je veux faire un bout voit le reste de ma vie avec toi. Je veux être celui qui te rend heureux, qui te comble, qui est là pour te consoler quand tu vas mal... Enfin tu vois... »

Une fois qu'Ephemer t'avait soigné et mit un beau pansement, il continua d'être mignon, à te lancer des mots doux, qui faisaient battre un peu plus ton cœur. Stop... C'était ce que tu te disais dans ta tête en le regardant, mais il était déjà trop tard, ton envie prenant le dessus. Tu lui prends la main, entrelaçant vos doigts, le conduisant dans ta chambre sans rien dire. Ces mots n'étaient pas tombé dans l'oreille d'un sourd. Puisqu' tout, toi aussi, tu avais envie de lui. Mais tu avais aussi une peur peu, car il allait être ta première fois avec un homme. Il y avait des choses que tu n'avais jamais faites auparavant.

Tu allas nicher ta tête dans le cou de ton amoureux avant de venir le serre encore plus contre toi. Il était si adorable avec toi. Si compréhensible sur pas mal de choses, te laissant tout le temps qu'il te fallait pour pouvoir lui dire ne serait-ce qu'un je t'aime. Il était cette petite perle rare chez les BB, voir sur cette planète. Tu ne regrettes en aucun cas que ça soit tombé sur lui, sur toi. Il te rendait après tout heureux, tout comme toi, chose que tu n'avais pas eue depuis des années maintenant. Il avait réussi à entrer dans ta vie, à la chambouler pour la rendre meilleure. Il était devenu la personne la plus chère à son cœur comme toi. Tu ne voulais en aucun cas, lui faire du mal, le blesser, tu ne voulais qu'une chose. Le rendre heureux, lui donner tout cet amour que tu avais, à lui, à toi. Que tu te fis la promesse de tout faire pour le rendre heureux et que quoiqu' arrive, tu voudras toujours de lui, de toi. Car tu es son monde, mais aussi le mien. Tu souris avant de  venir poser ton front contre le sien.

«Merci, tu es si adorable... Je suis bien content que tes crushs n'ont jamais marché auparavant ! Je pense que je m'en serais mordu les doigts de ne pas être avec un être comme toi... Sauf que tu es à moi maintenant et à personne d'autre. Tu es la seule personne que je veux dans ma vie Ephemer.»

Tu ne pus t'empêcher de rigoler par la suite. Au moins il n'avait pas mal pris ta blague et tu pouvais donc rire avec lui. Tu viens quand même lui pincer un peu les fesses pour lui montrer que tu n'étais pas content qu'il confirme la chose, même si tu savais qu'il disait ça pour continuer le délire et non être méchant. Tu savais qu'avec lui, qu'avec toi, tu ne serais jamais jugé, que tu pouvais être toi-même et ne pas te cacher derrière un masque pour que l'on t'apprécie ou autres. Je ne vous l'avais pas dit qu'il était une perle, que tu es une perle rare dans ce monde. Perle que tu voudras faire briller tout au long de ta vie.

« Ah d'accord, même pas tu me dis, mais non tu n'es pas vieux, tu es beau... Tu confirmes carrément que je suis un vieux croûton... Je vais me venger, tu vas voir si je suis un vieux !»

Main dans la sienne, tu caressas le dos de sa main avant ton pouce avant de le regarder dans les yeux, un sourire tendre afficher sur ton visage. Tu te rapprochas de lui avant de venir frôler son bras avec ta main de libre. Tu volas un baiser, venant mordiller sa lèvre puis son cou.

« Bien sur ! Et je t'en fais la promesse ! Quoi qu'il arrive, je ferais tout pour te rendre heureux, te combler et ceux pendant un très très long moment ! Tu m'acceptes après tout tel que je suis avec mes qualités et mes gros défauts, avec mon caractère de cochon !»

Tu étais vraiment sincère avec lui, avec toi. Cette promesse était vraie aussi, tu le pensais sincèrement. Tu ne voulais personne d'autre que lui, que toi dans ta vie. Tu l'as attendue après tout depuis des années maintenant, même s'il était sous tes yeux et qu'il t'a fallu un moment pour t'en rendre compte. Et tu seras toujours prêt à l'attendre, à t'attendre, des mois, des années s'il le faut. Car tu savais que, par la suite, qu'une fois réuni, ça ne seras qu'amour et bonheur, encore plus qu'il n'en avait déjà. Après tout il, tu, en vaux la peine. C'est pourquoi tu seras patient, même si tu n'avais qu'une envie, l'avoir, t'avoir contre toi toute ta vie. Tu viens lui caresser la joue tendrement avant de le regarder dans les yeux

« Je te fais la promesse, à toi, que quoiqu' arrive, jamais je ne te laisserais. Après tout c'est toi que je veux dans ma vie. Et étant une petite perle rare, il est hors de question de te perdre ! Je ferais tout pour que tu sois mien.ne à jamais ! Je sais qu'il y aura des hauts et des bas, mais ça ne changera en rien à mon amour pour toi. À l'envie de partager le restant de ma vie avec toi !»

Tu affichas sur ton visage, ton plus beau sourire. Un sourire tendre et doux comme les sentiments que tu éprouvais à son égard avant de venir l'embrasser tendrement. Si, il savait tout ce qu'il représente pour toi, ce qu'elle représente pour moi. Ce n'était pas toi le sauveur, mais bien lui, elle. Tu le gardas un moment contre toi, ne voulant pas rompre cette proximité, cette intimité avec lui.

«  C'est toi le sauveur Ephemer. C'est toi qui m'as sauvé de cette vie, de la déprime et de mes envies de suicide... Moi je n'ai pas encore prouvé que j'étais digne de porter ce nom, après tout tu as été à l’hôpital... J'aurais dû être auprès de toi, j'aurais dû être à ta place. Je te fais la promesse de veiller sur toi, jusqu'à ma mort ! »

Son rire, son sourire, rien que ça te réchauffer le cœur. Il arrivait avec si peu de chose à te faire retrouver le sourire, comme toi, derrière ton écran. Ton cœur s'affole lui aussi, tu n'arrivais pas à rester calme lorsqu'il était près de toi. Tu étais limite comme un enfant devant son premier amour. Il te déstabilise dans le bon sens. Car pour lui, pour elle, tu étais prêt à tout, à travers tout ce qui se mettrait en travers de votre route.  

Tu rigolas avant de venir prendre cette phrase comme un compliment avant de venir regarder chaque partie de ton corps. Cherchant les rides et les poils blancs. Mais au vu de ta dépigmentation pour pouvait au moins rigoler, faire la blague sur ça !

« Croûton oui regardé j'ai massé poils blancs ! Même au niveau de la teub ! »

Tu éclate de rire avant de venir rougir totalement venant t'approcher un peu plus d'Ephemer. Tu mémorisas cette scène dans ta tête à jamais avant de venir nicher ta tête dans son cou, réclament comme un enfant, qu'Ephemer te redit encore une fois qu'il t'aimait. Tu passas tes bras autour de lui avant de les remonter lentement vers sa nuque. Tu le regardas dans les yeux.

« Moi aussi je t'aime Ephemer... Tu ne sais pas à quel point, tu me fais de l'effet... Tu me rends si fou »

Tu prolongeas le baiser avant de venir le regarder, venant le taquiner un peu avant de sourire tel un ange. Oui tu voulais le faire pleurer, tu voulais le consoler, lui dire encore et encore des mots d'amour. Tu n'avais plus peur de t'exprimer, c'est pourquoi tu voulais rattraper le temps perdu.

« Noooooooooon pas du tout ! »

Tu le gardas contre toi, caressant son dos puis ses hanches avant de venir par poser tes mains sur ses cuisses que tu agrippas fermement. Tu commenças à tout faire pour l'exciter. Tu voulais à cet instant, ne faire qu'un avec lui. Tu lui prends la main avant de venir déposer un tendre baiser dessus.

« Il est hors de question qu'on se sépare oui ou que quelqu'un t'ait à ma place. Moi aussi je ne veux que toi dans ma vie et jusqu'à ma mort. Soit mon mari ! »

À présent lui et toi sur le lit, prêt à faire ce dont tu avais tant rêvé. D'être encore plus intime avec Ephemer. Tu étais un peu stressé car il était après tout ton premier mec. Tu avais peur de mal faire, de faire quelque chose qui le blessait physiquement comme mentalement. Mais il y avait aussi une part au fond de toi, qui voulait le dominer, le marquer, l'entendre gémir ton nom. Tu rigoles avant de hocher la tête, tu avais clairement compris le message.

Tu arrêtas tes gestes, ta torture avant de venir essayer avec ton pouce, la bave qui coulait sur le coin de tes lèvres avant de venir lui faire sentir que toi aussi tu étais en train de bander. Que lui aussi il était en train de te torturer l'esprit. Que tu te retenais de le prendre directement. Tu voulais être doux pour lui, il mérite que l'on soit tendre. Tu voulais partager ce moment avec amour et non avec bestialité. Tu viens caresser sa jambe puis sa cuisse avant de venir la mordiller puis la mordre d'un coup pour laisser une première marque. Tu le regardas avec envie, des flammes dans les yeux.

« Crie mon nom Ephemer. Fais comme ton corps! Laisse toi aller, laisse moi t'entendre gémir mon nom encore et encore chéri. Excite moi encore plus. »

Tu redescends avant de venir de nouveau t'attaquer à son gland. Tu le léchas venant par la même occasion récupérer le liquide d'Ephemer. L'avalant sans rien d'ire pour ne pas le gêner encore plus. Tu n'avais pas l'habitude de faire tout ça, mais de ce que tu pouvais voir, sentir, Ephemer avait l'air de prendre son pied. Tu continuas avant de venir passer ta langue le long de sa queue, remontant et descendant celle-ci. Tu finis par venir mettre tout dans ta bouche pour commençait quelque va et vient lentement, voulant qu'il sente ben ta langue jouer sur son sexe. De le voir gigoter ainsi que gémir, t'exciter davantage et tu ne peux t'empêcher de venir te masturber pendant quelques minutes.

Tu finis par venir poser tes deux mains de chaque côté de son sexe. Tu accéléras la cadence venant la mettre un peu plus profond dans ta gorge. Tu aurais dit un petit dépravé qui avait faim. Mais ton seul et unique but était le faire craquer une première fois. Voir limite qu'il te supplie de le prendre. Car tu imaginais ce si beau visage, Ephemer toute chose à te supplier d'en finir avec lui. De venir t'enfoncer en lui.