PeriodeHARD

Mars, 2022 ▬ A l'origine, ils étaient cinq. Cinq amis pour la vie, cinq amis pour la mort. Et ils se sont fait une promesse : celle de renverser le gouvernement, et être libres. Mais après la création de leurs gangs respectifs, les évènements les plus traumatisants ont définitivement bousillé leurs rêves face à leur ennemi juré et commun : Le Staff.
C'est ainsi que s'entretient le chaos sur Venus Ville, la capitale de Mars. L'anarchie, le désordre et les promesses de mort...

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(trame) chaos walking ft fyodor
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Lun 29 Nov - 21:24




chaos walking


Tu as fermé le salon tôt dans la matinée. Tu avais été tout simplement incapable d’ouvrir la porte sans que la panique se fasse ressentir dans ta rue. Tu n’étais pas dans une allée principale, mais plutôt dans un recoin, tranquille, à l’abri de trop de lumière, de trop de bruit. Pourtant … Du bruit, il y en a depuis quelques jours. Du sang jonche le sol de Mars d’une couleur rougeâtre violente.

Ça te dérange. Si cela se passait plus loin, dans un autre quartier, tu t’en foutrais complètement, mais ce n’est pas le cas. La situation est la même partout, les réactions ne sont différentes pour aucun individu, comme si la masse se transformait en une pensée commune. La panique est effrayante. Tu préfères donc rester dans ton salon, à te faire couler un bon café brûlant, attendant que quelqu’un qui s’ennuie passe la porte pour se faire tatouer.

Le rideau métallique n’est qu’à moitié tiré, histoire de voir que t’es là mais que t’as pas envie qu’on te fasse chier. Tu n’aimes pas te retrouver sans faculty. Tu as comme un manque, mais cela aurait été pire quelques mois auparavant. Depuis ta rencontre avec Alek, tu étais plongé dans tes tatouages et tes pensées, alors tu n’avais pas eu le temps d’utiliser à nouveau cette souffrance illusoire sur quelqu’un.

Tu pousses un soupir, puis te baisses sous le rideau métallique pour aller fumer une clope à l’extérieur. Tu as une tasse dans la main remplie d’un café qui n’attend que de rencontrer ton palais, une cigarette entre les lèvres et un briquet dans ta deuxième main. Tu prends le temps de regarder le ciel, qui semble vouloir se cacher de toute cette déchéance.

La flamme vient griller le bout du petit bâton blanc. Juste avant que tu n’entendes des voix un peu plus haut, dans la ruelle. Tu essaies de ne pas t’en préoccuper, mais tu as un mauvais pressentiment. Peu de personnes sont passées par ici depuis l’aube, tu trouves ça un peu louche, mais ne t’en alarmes pas plus que cela.

Les minutes défilent, quatre mecs passent devant toi avec un air de loubard collé sur la gueule. Tu restes calme lorsqu’on te jette des regards de travers, que les conversations s’arrêtent alors qu’ils sont à un ou deux mètres de toi. Tu le sens mal cette histoire. Tu pousses un soupir, ennuyé, las de ce calme. Et les quatre débiles se retournent sur toi.

« T’as un problème ? » Tu te permets de hausser un sourcil, à demi caché par ta capuche de sweat. Tu ne réponds rien pendant quelques secondes, te contentant de fumer ta clope comme si de rien n’était. « Hé, je te parle ! » Le ton commence à monter un peu, tu jettes alors ton regard ambré sur le groupe. Un regard meurtrier, menaçant.

« Putain … C’est Loki ! T’es sérieux mec ? Excuses-toi direct ! » Une nouvelle forme de panique te fait face. Le dur à cuir tente de s’inventer une confiance en lui en quelques secondes, alors que sa voix tremble et que son corps ne semble pas vouloir faire le moindre mouvement. « Mais plus personne n’a de faculty … T-t’as peur de quoi abruti ? Je vais le défoncer. »

Non. Ils n’oseront pas.
Le type s’avance vers toi, et saisis ton col.
Ses lèvres sont pincées.
La peur le tiraille sûrement de l’intérieur en ce moment-même.
Mais finalement, il prend son courage et balance son poing.

Le coin de ta lèvre te picote un peu, ta langue passe machinalement dessus comme si ça allait arranger les choses. Ton café s’est, à demi, renversé sur ta main, te brûlant un peu au passage, et ta clope est tombée par terre. Tu la regardes quelques instants, en pensant à l’argent qui vient de s’envoler en une fraction de seconde. Ce liquide amer que tu venais à peine de préparer, te réjouissant d’avance de son goût, de son odeur … Cette clope que tu venais de griller pour te détendre …

Un sourire mauvais naît sur tes lèvres. Un rictus effrayant. Tu le regardes dans les yeux et quelques mots viennent effleurer son visage. « C’est tout ce que t’as ? Je vais te montrer comment un AS se défend. » Le revers de ta main rencontre avec une violence inouïe sa joue. Le bruit résonne quelques secondes dans la ruelle, avant que tu ne l’attrapes par les cheveux, faisant face à ses copains.

C’est bon, ils t’ont énervé. Faculty ou non, tu vas les faire souffrir.

« Bon, à qui le tour ? »



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Sam 4 Déc - 18:08
ft. lokiCHAOS WALKING;
Aujourd'hui, t'étais plutôt content.

T'avais mis ton esprit chaotique de côté pour aller voir un tatoueur qui avait titiller ta curiosité d'artiste. T'adorais squatter les réseaux sociaux afin de trouver de l'inspiration. T'avais à peine débuté ton job de tatoueur mais force est de constater que tu n'étais pas 100% parfait dans ce métier. Tu savais dessiner comme un roi, mais marquer à l'encre la peau de tes futurs clients : c'était une autre histoire. T'avais pratiqué le tatouage traditionnelle dans l'une des tes nombreuses prisons. La technique d'aujourd'hui : tu ne la connaissais pas tant que ça. Du coup, t'avais trouvé Loki dans tes recherches. Son style était intéressant, il avait l'air d'avoir la côte. Bref, un mec qui ne semblait pas trop chiant. T'espères qu'il soit un gars amusant et qu'il puisse te donner quelques conseils entre tatoueur.

Alors maintenant, t'étais parti voir son salon. Tu n'allais pas tarder à arriver sur place et t'étais content, tout joyeux, c'était comme si t'avais oublié cette histoire de faculty disparu. Dans le fond : tu t'en foutais de si ça avait disparu ou pas, t'étais resté 10 ans sur terre sans ces pouvoirs à la con et t'étais revenu sur Mars il y a peu. T'avais appris à te battre à mains nus depuis longtemps déjà. Alors si on venait te faire chier : tu savais comment mettre l'adversaire à terre, toujours le sourire aux lèvres.

Mais ton sourire disparût très vite, puisque tu venais de te prendre une grosse droite dans la gueule.

Ça t'a déboussolé sur le moment car tu ne t'y étais pas attendu. T'avais trop souvent la tête dans les nuages, t'aurais dû te méfier un peu plus de ce qui t'entourait. Tu fais quelques pas en arrière avant d'essuyer le sang qui coule de tes narines. Tu détestes être agressé pour une raison obscure. Tu te redresses avant d'attraper le col de celui qui t'a foutu une belle droite dans la gueule, et tu lui hurles dessus avant de lui rendre le coup d'une manière différente.

« MAIS ÇA VA PAS L'AGRESSION LÀ ? PUTAIN EST-CE QUE J'AI L'AIR DE VOULOIR VOUS AGRESSER ?! »

T'enfonças la tête de ton agresseur en plein dans le mur juste à côté de vous. Tu l'enfonças tellement fort que tu pourrais presque entendre le crâne se craquer sous la pression de ta force. Tu le lâches avant de le laisser s'échouer lamentablement au sol. Tu te retournes vivement vers les autres gars qui se trouvaient tous en plein milieu d'un combat à la Street Fighter.

« Vas-y c'est qui le prochain que je bute ? »

T'avais aucune pitié et t'étais énervé. Cette ambiance-là, tu la connaissais que trop bien. Les pétages de plomb dans les prisons : c'était assez commun et ça te remémorait certains souvenirs. Des souvenirs très bons comme extrêmement mauvais.



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Lun 6 Déc - 19:10




chaos walking


Tu es bien naïf de penser que ta journée peut se passer normalement, avec toute la tension qui règne dans le coin. Tu as envie de pester, mais pour le moment, tu es occupé à tirer les cheveux du gars qui a osé te chercher. Non seulement, il a renversé le café que tu venais tout juste de te faire couler, mais en plus ça t’avait un peu brûlé la main. Tu n’es pas du genre chochotte, mais c’est le principe.

Et puis cette cigarette échouée sur le sol …

T’es vraiment énervé. Ils vont passer un sale quart d’heure, ils peuvent en être sûrs. Ils sont au nombre de quatre. Rien de grandiose, quand on a connu des bagarres de gangs, la prison sur Terre et l’isolement complet jusqu’à revenir sur Mars. D’ailleurs, tu te dis qu’un peu d’action ne devrait pas te faire de mal. Tu as besoin de t’occuper en ce moment, cela semble être une opportunité à ne pas manquer.

Le type à qui tu tiens les cheveux est un gangster des rues, qui se prend pour le plus fort. Sauf lorsqu’on parle de faculty évidemment. Il avait plus ou moins agi de la même manière la première fois qu’il t’avait rencontré. Un peu d’insolence, une grimace à faire flipper un gosse et la voix typique d’un loubard. Grave, un peu forcée, portante pour qu’on l’entende de loin.

Pour le moment, il se tient la joue, ne résistant pas vraiment à ta poigne monstrueuse sur sa tignasse. Il a une sorte de banane sur le crâne, c’est affreux. Au moins, ça te permet de l’attraper comme il faut, c’est le bon côté de la chose.

Ton regard transperce ses copains, qui frémissent sur le moment. Tu leur balances leur chef pitoyable aux pieds, en te doutant de leur réaction. Option une. Ils vont déguerpir en chialant et tu serais à nouveau tranquille. Mais ton café et ta clope ne seront pas entièrement vengés, et tu l’aurais mauvaise de toute manière. Option deux. Quitte à être honteux, autant y aller jusqu’au bout et essayer de t’avoir. Après tout, si on réfléchit, à quatre contre un, ça peut éventuellement le faire.

Tu préfères l’option deux.

Ça tuerait ton ennui, et vengerait ton argent perdu il y a quelques secondes. Le chef se relève tant bien que mal, sa joue est d’un rouge virant presque au violet. Tu es content. Tu ne sembles pas avoir perdu la main sur tes revers de gifle. Tu leur souris, de manière flippante, comme à ton habitude et les toises de tes yeux dorés, attendant qu’il se passe quelque chose.

« Vous attendez quoi ? On est plus nombreux, on va le tuer ! » Un petit rire s’échappe de ta gorge, alors qu’un sbire s’élance vers toi, le poing en avant pour t’en coller une. Tu esquives sans peine, et t’affaires déjà à parer le coup de pied du suivant.

Cependant, une voix s’élève.
Une tête se fait encastrer dans un mur.

Tu passes ton regard par-dessus ton épaule pour apercevoir un inconnu. Vu la violence de son geste, tu te dis qu’un allié ne serait pas de refus. Pour leur donner une bonne leçon. Malgré ton envie de discuter tranquillement avec le nouveau venu, tu te contentes d’esquiver et de riposter comme tu le peux aux coups qu’on t’assène.

Un sourire malsain aux lèvres, tu apprécies entendre les gémissements de douleur de tes victimes, mais aussi celles de cet inconnu qui n’a aucun mal à se défendre. Et en moins de temps qu’il faut pour le dire, tout est fini. Ils sont tous KO, au sol, dans un piteux état. « Ramassez vos carcasses et dégagez de chez moi. J’en ai marre de ces conneries … »

Tu pousses un soupir, puis passes un doigt sur ta lèvre fendue. Ton attention se tourne vers le dernier arrivant, ta capuche est tombée de ta tête avec tout ça, tu as les cheveux détachés, à l’air libre. « Merci pour le coup de main, un café ? »

Loki, reconnaissant. Rare.



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Dim 12 Déc - 17:27
ft. lokiCHAOS WALKING;
T'étais vénère, pas qu'un petit peu.

Personne n'avait le droit te de foutre une putain de claque dans ta gueule d'Apollon (non). Il fallait une bonne raison valable pour s'attaquer à ta pomme et là, ce gars sortit de nul part vient t'agresser comme si t'avais volé sa dignité, mais on est où bordel ? Ah, ouais.

Sur Mars.
Tu ne fais plus trop attention à ton entourage et tu défonces toutes les personnes douteuses autour de toi. La scène était rapide parce que tu n'avais pas perdu de temps à les rétamer aussi vite que tu t'étais pris le poing dans ta face. Les mecs sont au sol et partent en courant après avoir entendu la voix d'un autre gars que t'avais même pas remarqué jusque là. Tu te retournes vers ce dernier et tu lâchas un petit cri de surprise. Non, t'avais pas vraiment fait gaffe à lui sur le coup, la colère t'avait enfoncé dans le ring des coups et des claques contre des gars que tu trouvais bien nul à chier, t'aurais été capable de lui foutre une baffe aussi si tu n'avais pas fait attention à sa tenue et à sa manière de se tenir, il était mille fois différent des gars que vous veniez de rétamer ensemble, presque dans une synchronisation digne des cours de fitness à la piscine.

Voilà que l'inconnu t'invite à prendre un café. T'es pas contre la gratuité d'une boisson et puis tu t'étais légèrement paumé, tu ne savais plus trop où aller. De plus, le coup que tu t'étais pris dans la face t'avait bien déboussolé. Ouais, t'acceptas sa proposition.

« Avec une joie sans limite, m'sieur. »

Tu rattaches tes cheveux en une queue de cheval histoire d'avoir un peu moins chaud. Mais avant de rentrer dans la boutique de cette nouvelle connaissance, tu le questionnas par rapport à tes recherches. On sait jamais, peut-être qu'il connaissait.

« Tu n'saurais pas où se trouve un tatoueur par pur hasard ? À cause de ces petits couilles molles, je me suis complètement perdu. Je sais qu'il est dans les alentours mais ... »

Tu t'arrêtes soudainement de parler, t'avais mal au crâne à une puissance mille. C'est pas un café qu'il te fallait : c'était trois tonnes de glaçons et une bouteille de bière sur ton front.



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Sam 18 Déc - 16:46




chaos walking


Dans le feu de l’action, tu n’as pas vraiment eu le temps de jeter un coup d’œil sur l’autre type. Tu avais juste vu qu’il s’occupait avec soin de tes assaillants, te laissant alors une marge de manœuvre pour te défendre convenablement. Tu n’es pas un surhomme, tu es sensible à la douleur comme tout humain normal. Tu reçois des coups comme toutes les autres racailles, mais tu sais aussi rendre la souffrance au centuple. Cela aurait été encore plus simple avec ta faculty, mais si tu y penses convenablement, ils ne t’auraient jamais approché si tu l’avais encore.

Tout semble permis.
En cette période de chaos.

Un cri de surprise te fait hausser un sourcil. Tu fixes le dernier arrivé avec curiosité, il semble méfiant et puis après une analyse complète de ta personne, il se détend. Tu en viens alors à lui proposer un café. Après tout, tu étais censé en boire un avant cette pagaille. Ta clope au sol est piétinée, la tasse est brisée en morceaux. Tu regardes vaguement ta main qui est rouge, qui picote un peu.

Un soupir s’échappe.

Lorsqu’il accepte, tu es quelque peu soulagé. Tu n’as clairement pas envie de continuer à te battre, tu es épuisé avec toute cette ambiance. Un peu blasé aussi sûrement. Tu pousses la porte vitrée, tout en regardant le type qui te pose une question. Te baissant pour passer sous le rideau métallique à demi tiré, tu entres dans la pièce tamisée et confortable de ton salon de tatouage. Tu laisses le temps au fan de cheveux longs de prendre place sur le canapé, tout en te dirigeant vers le fond du bâtiment.

« Prends tes aises, j’vais chercher de la glace. »

Il cherche un tatoueur. S’il est de ce côté, c’est parce qu’il te cherche, toi non ? Tu n’as pas envie d’avoir de problèmes, mais il n’a pas l’air d’en chercher non plus. Tu ne risques sans doute pas grand-chose à lui dire que t’en es un. Tu fais chauffer la machine à café, casses des glaçons pour les mettre dans des serviettes. Tu n’as que ça, il faudra vous en contenter.

Tu reviens alors dans la pièce et lui tends le pochon de glace improvisé. « Tiens. Quel tatoueur tu cherches ? » Tu retournes bien vite vers la machine pour faire couler deux cafés dans des tasses différentes. Tu regarde ton visage dans le miroir, pour constater que ta lèvre et bel et bien fendue. Fait chier.



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