PeriodeHARD

Mars, 2022 ▬ A l'origine, ils étaient cinq. Cinq amis pour la vie, cinq amis pour la mort. Et ils se sont fait une promesse : celle de renverser le gouvernement, et être libres. Mais après la création de leurs gangs respectifs, les évènements les plus traumatisants ont définitivement bousillé leurs rêves face à leur ennemi juré et commun : Le Staff.
C'est ainsi que s'entretient le chaos sur Venus Ville, la capitale de Mars. L'anarchie, le désordre et les promesses de mort...

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(trame) Tales of loss and fire and faith + orion
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Dim 5 Déc - 21:29



Tales of loss and fire and faith //
Depuis l'instant même où tes pieds avaient de nouveau foulée la terre sacrée de mars, tu avais un objectif en tête. Tu n'as jamais réellement été contre les gangs, Achille. Au contraire, ils ont apporté un peu de lumière dans les soirées de tes années les plus sombres. Ils t'ont permis de toucher un peu au bonheur. Non, ce n'était réellement pas contre eux. Pourtant, à faire un choix : tu te dresses face à ce passé partagé. Ton nom a quitté ce monde aux rires enfantins, pour laisser sonner le glas de la trahison.

Tu es désormais un Black Rottenegg et si personne ne connaissait encore votre existence, ils n'allaient pas tarder à la découvrir.

Les ordres de missions tombèrent bien assez rapidement et notamment la tienne ; prendre le contrôle du marché. On t'avait attribué une tâche loin d'être aisée. Tu souffles. C'est impossible en une soirée, pas pour quelqu'un comme toi. Tu n'as pas de force brute, quand bien même tu es capable d'aller plus loin que bien d'autres. Alors, très rapidement tu élaboras un plan usant de tes capacités. Tu n'avais rien perdu de ton pouvoir après ton séjour sur Terre et quelques expérimentations te permirent de rapidement le réaliser.

Petit à petit, tu usais de l'altération de la mémoire pour faire croire à certains à un changement de camp, d'autres à la menace de leurs proches, ou encore à la défaite de leurs paires. Tu avais demandé à Orion de t'accompagner, parce que a chaque fois que tu avais terminé, tu te sentais au bord du gouffre. Tu puisais constamment dans tes ressources, te refusant d'échouer. Tu avais peu de temps, si peu de jours pour atteindre votre objectif. Alors, chaque fois que les marché se réveillait, tu revenais sur les lieux et réitérais de tes tours. Jusqu'au jour où il vous fallait officialiser l'évènement.

Depuis quelques temps, vos capacités n'étaient plus. Il t'étais impossible de désormais abuser de ta faculty à outrance, mais cela ne changerait rien à tes plans : tu avais pu corrompre d'ores et déjà la mémoire de quelques marchands et dealeurs qui te saluaient à ton arrivé, se rangeant de ton côté. Tu t'étais imposé dans leurs esprits comme l'épée de Damocles qui s'abattrait dans leurs tranquillité tant recherchée s'ils te trahissaient. Et aujourd'hui encore, ton emprise demeurait.

En ce qui te concerne, tu portais un masque noir couvrant la moitié de ton visage et tes cicatrices bien trop distinctives. Tu ne souhaitais pas que cette mission interfère avec la position que tu avais réussi à occuper au Paradise. Ton identité doit être tut, mais celle de votre groupe sera bientôt porteur de l'étendard de cette planète.

Tu renverses les étalages sur ton passage, laissant un rire clair guider jusqu'au désordre que tu crées. Certains s'éloignes, d'autres ont ployé le genoux face à toi et ton partenaires, mais beaucoup s'enflamment. Ils ne vous connaissent pas, c'est normal. Pas encore. Et l'un d'eux cherche à s'attaquer à vous, le premier certainement d'une mêlée. Tu l'attrapas par l'épaule en esquivant son coup et cet instant suffit : tu tiras le poignard fixé à ta ceinture avant de l'emporter d'un coup dans l'abdomen. Net et précis.

Aucune hésitation, tu laissa le corps glisser à tes pieds avant de faire tournoyer l'arme blanche entre tes phalanges. Il y a un autre volontaire ? Ta voix est posée, distincte, claire, comme si tu ne faisais que passer commande. Aujourd'hui, je vous annonce mes chères que vous serez sous un nouveau commandement. Lequel ? Laissez-moi d'abord réfléchir à savoir si vous méritez de l'apprendre. Tu enjambes le corps avant de t'approcher d'un visage brûlant de colère s'approchant de ta personne. Oh, ce n'est pas comme ça que j'imaginais que vous prendriez la nouvelle. Voyons, prenez plutôt ça comme une magnifique cérémonie où ce soir, nous allons faire voeu de nous chérir : dans la maladie comme dans la pauvreté, jusqu'à que la mort nous sépare. Tu t'arrêtas, faisant mine de penser avant d'esquisser un sourire qui à défaut de se voir, s'entendait. Enfin, si vous arrivez à mourir évidemment. Sinon ? Oooh. Tu surjouais parfaitement cette folie illusoire. Tu sais à quoi ressemblait la laideur de l'âme lorsqu'elle atteint ses limites, tu l'avais que trop fréquenté.

Tu attrapes d'individu par la nuque, lui infligeant le même sort que son comparse. Te salir de leur sang te répugne. Plutôt que de lutter, cherchons ensemble la bénédiction de tous ! Toutes mes félicitations ! Tu te mit à applaudir. Fêtons ce grand moment ! Et tes pupilles aussi d'un vert des plus clairs se posèrent sur Orion. Ta voix descendit de bien des octaves, laissant dans un murmure s'échapper : C'est l'heure des célébrations.

Un mariage maudit à l'instar de ta relation avec le Staff.

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Lun 13 Déc - 17:15
TALES OF LOSS AND FIRE AND FAITH
Feat. Achille Sinclair


Fouler Mars revenait à sonner un glas trop longtemps silencieux. Remettre les pieds ici, c’était comme imposer des souvenirs incoercibles dans ta mémoire. Vous aspirez l’air, frais dans vos êtres lugubres et empreints d’une soif haletante. Vous suffoquez dans une vie avide, soufflez des mots le long de vos peaux aux cicatrices étirées jusqu’aux bords de vos grimaces odieuses. Les bas-fonds réveillent ton épiderme, animent tes muscles endormies et rappellent à tes sens ton territoire longtemps délaissé. Les choses ne changent pas vraiment. Les vieillards, les orphelins, les drogués et tous les déchets de cet humanité obstruent les rues.

Tu as délaissé dans un sourire les couleurs d’autrefois. Black Rottenegg forme ta nouvelle tribu. Ne sera-t-elle jamais considérée comme une famille, car maîtriser comme un chien tu obéis à des directives impétueuses. Cela n’a aucunement un sens à tes yeux. Car malgré ton collier, ta laisse n’a personne au bout. À l’instar d’un chien fou, tes crocs se retourneront un jour contre ton propre père. Telle la proie que tu fus, tu le chasseras jusqu’à son épuisement, pour l’achever dans ta générosité la plus complète.

La première fois que tu as revu Achille après un passé tumultueux et commun, c’était au sein de ce gang sans drapeau ni cohésion. Il t’avait proposé une mission et prendre le contrôle du marché de la drogue. Tu admirais en silence le pouvoir spécial de ton vis à vis. Celle de modifier tant de souvenirs qu’on pouvait en éteindre la rage. À cet instant, la vengeance coule tant dans tes veines qu’une simple envie émerge dans le brouillard impuni de tes pensées, celle de déposer ton front contre sa clavicule et apaiser ton âme par son essence. Mais, Achille doit garder ses forces et mener à bien votre mission. Ainsi, tu lui ouvres d’abord le passage, molestant les impurs et les infâmes. À quoi bon te servir de ton pouvoir, quand tes doigts se referment et brisent leurs os d’un claquement sec. Plus on reconnait ta force, plus l’argent coulera à foison. Ton retour sur le ring ne se murmure pas encore assez. Bientôt les paris se soulèveront des foules. Tu entends  déjà les encouragements de la foule, du terrain humide sous tes pieds, des bandages sur tes poings et de l’odeur nauséabonde du sang frais. Avant, on te connaissait dans les bas-fonds pour être un boxeur chevronné. Prochainement, on reconnaîtrait ton nom comme celui de ton groupe tyrannique.

Soudain, le spectacle commence. Un large sourire laisse échapper un rire singulier à en faire vibrer tes cordes vocales. La sonorité légèrement cassée défigure une scène pas si drôle. Tu ris. Achille ravage tout sur son passage. Les mains dans les poches, tu suis le sillage de ton comparse. Un homme sur ta droite tente de t’arrêter, un coup de poing l’envoie valser sur plusieurs mètres. Ce geste repousse des adversaires intimidés, peu envieux de se confronter à toi. « Dégage sac à merde. » Un autre, téméraire, se prend un uppercut. Tu sens les os de ses côtes voler en éclat. Cela galvanise ta faculté. Elle ne peut guère s’utiliser à outrance, mais dès que tu sens les os des autres s'effriter, celle-ci accrue attend son heure.

Ton vis-vis s’amuse dans un spectacle théâtral. Tes larges bras se croisent sur ton torse nu, la veste sur tes épaules tel ton unique haut.  Les sangles compriment tes muscles et se finissent dans ton dos, où la lueur argentée de deux lames s’y cache. Les tatouages apparaissent pareils à des peintures de guerres mais elles dissimulent en réalité des cicatrices bien plus tragiques. Surtout, les traînées pourpres qui lacèrent la peau de tes joues. « Et si je suis volontaire ? » Tu levas la main, dévoilant tes canines pointues et une unique fossette. « Allez, Achy', je suis volontaire ! ».

Tu rigoles à son monologue. Ô, tu aurais presque pu lâcher un « Je le veux. ». Achille se retourne vers toi. Son masque dissimule sa bouche mais l’éclat sauvage et indescriptible flamboie dans ses iris. Le feu intarissable réchauffe et anime tes motivations. « Fêtons cette union. » Tu attrapes la bouteille d’un ivrogne, la lève en signe de fête et la boit cul sec. Un peu de la liqueur dévale ton corps chaud, vivifiant une célébration inouïe. Quel moment mémorable. Tu jettes le verre vide. Quand tes yeux reviennent sur la silhouette du Black Rottenegg. Tu vis une forme sombre tenter de le surprendre. En une enjambée, tu te retrouves à proximité, un mètre ou moins sépare le tissus du son costume avec ton abdomen. Ta main s'accapare le visage de l’agresseur. Et dans un craquement son crâne s'ébrèche. Il hurle de douleur, puis son corps roule sur le sol, inanimé. Tu jauges d’un sourire fier ton allié à quelques centimètres.

Je ne voudrais pas qu’il abîme la marchandise.

Toi, Achille. Parce que tu cachais la douleur de ses souvenirs. Parce que tu calmais la ferveur de sa vengeance, apaisant ses traumatismes.

Pris d’une rage, tes cheveux se hérissent. Un coup de pied cogne contre la carcasse. Un autre suit, puis un autre. Ton acharnement provoque le recul de la foule.

Maintenant, vous écoutez, bande de chiens, ricana-t-il. Ou vous préférez que je brise chacun de vos os, un par un ?

Tu craques tes doigts.

Cela ne me dérange pas, au contraire, j’ai peur d’avoir perdu la main. Tu ne trouves pas, Achy’ ?

© ASHLING POUR EPICODE


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Mar 14 Déc - 22:01
tales of fire and loss and faith

Affolement, tension, incertitude — ah quelle délectable saveur s’abattait sur la planète rouge, plus succulente qu’un luxueux parfum fleuri — et, peu bouleversée, l’insupportable peste dégustait cette atmosphère. Un jour comme un autre, même sans habilité, se torturer de la perte de ses pouvoirs est la preuve que certains ne sont rien sans eux. Quant aux martiens ne s’apitoyant point, pléthore bâtit de grands schèmes et glousse à l’opportunité de cueillir entre ses pattes le Graal. Au milieu d’une population transformée en bête au poil hérissé, sautillait un bourreau aux airs d’enfant de cœur dans les putrides avenues de son bendo, pétillante de tout l’amusement qui se jettera entre ses bras meurtriers lorsque, en posant pas dans ce trou à rats, elle remuera poison dans les plaies des miséreux s’agglutinant pour que ceci se fasse. Il y a les drogués et les drogués ; il ne faut confondre les crétins contrôlés avec les crétins en contrôle de leurs vices. Porte-drapeau de la seconde catégorie, son sang était empoisonné d’une juste dose frappant d’euphorie ses esprits sans n’être suffisamment assommés pour perdre pied.

En ce lieu misérable, jamais n'étaient annoncées ses visites ; non, ses camés et coquilles ne seraient suffisamment désespérés d’accepter ses requêtes en échange d’une dose d’agréable venin. Aux portes, les larbins la collant aux pieds sont priés d’aller se faire foutre et de trier des noix aux côtés de la garde, mais est proférée la menace d’arracher une à une leurs dents s’ils daignent répondre avec retard à ses messages ou d’envoyer tardivement, de même trente secondes, leur rapport. Aujourd’hui, Galatea recrute.
Contre de sordides services, sa main trémoussera liasse de billets à leurs nez et les pauvres accepteront sans réaliser que le bout de leurs doigts ne pourra même les frotter entre eux car ils avaient pour finalité chair à canon — pertes minimes et hauts gains.

La porte s’est à peine poussée que ses tympans sont accueillis par l’écho du vacarme ; lointain, pourtant proche. Les pupilles se glissent vers son unique acolyte alors que ses phalanges agrippent son automatique et que le pouce en débloque le cran, un sourire impatient s’étire. Ah, du grabuge, il est temps de rappeler les drogués à l’ordre. Si possible, elle accourait, mais l’ambiance de cette Mars blême et banale la restreint au minimum syndical de prudence. À pas de loups, les silhouettes s’engouffrent dans les corridors, prédateurs se violentant de ne se hâter et manquer leur proie. À chaque étagère renversée soigneusement évitée, à chaque débris délicatement et silencieusement brisés par les épaisses semelles, le potin gonfle, les coups contre les corps résonnent, les cris s’amplifient et des voix se discernent sans qu’elles ne se reconnaissent. Sa main doucement signale halte puis se joint à sa sœur s’élevant et, d’un coup, s’invite au chahut la détonation des balles accompagnées le claquement des douilles contre le sol. Le corridor fût mitraillé au rythme de ses pas dorénavant pressés. Les dernières balles perdues trouvent chair ou béton contre s’enfoncer.

Les semelles, cette fois-ci, écrasent bruyamment les éclats en se rapprochant de cette drôle de foule et un jure avec elle. Un pouffement précède son exclamation suraiguë « Wouah-wou, regarde, comme l’un a l’air si con avec sa cagoule. » sa voix s’envole vers une nouvelle gamme mesquine et regarde, hilare, son acolyte « C’est sa tenue de crime ? Qu’il est mimi, on dirait les gamins du quartier qui se prennent déjà pour des durs. » Sa paume est pressée contre sa munition de rechange, planquée sous sa jupe tigrée « Je leur colle une balle entre les deux yeux ou est-ce qu’on leur casse la gueule ? » D'ordinaire, ces murs schlinguent de peur et de drogue ; mais, en cet instant, leur parfum est sanguin.


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Mer 15 Déc - 3:16
aller hop ca jarte
@achille @orion @gala

p              l             i                       c    

 p        l       o                    c  

  p      l      i      c            

  p     l    o  c      
fait l'onction qui dégouline sur les décombres puants, en auréoles rouillées ornant les carcasses des impie.s et des pénitent.es. (oh, ont été si gourmand.es qu'iels ont ravalé la merde qu'on leur fourrait au fond de l'œsophage  
putain de junkies                                      qui ça ?)

c   o   u   i    c              c   o  u i c      font les rats qui courent dans le sang et mêlent la crasse au sordide entre les joues tendues au chaos qui serpente leurs pas. Et à mesure qu'il avance au rythme de fredonnements distraits auprès de la cheffe qu'on ne reconnait qu'avec la semelle sur la gorge (le fait-on ?), perçoit les nuisibles s'exclamer. Les voix et les déchirements des géhennes, quelque part où les mains bien connues les guident.

Eux qui étaient les samaritains promis aux torturé.es -
ironie si belle et si vilaine tracée sur les doigts qui s'accaparent le tribu des sacrifices qu'on vient récolter dans l'ombre lorsqu'il inspire les cristaux d'un coup sec,
repose les yeux dans l'habitude des secondes qui accueillent le speed.
Eux qui étaient si bons dans la grâce des secondes chances,            ah
     qui ose donc interrompre les œuvres charitables ????

Les mèches blondes s'agitent, se balancent entre l'euphorie qui galvanise les muscles et l'inconscience sur le sourire suivant effrontément Galatea. Et au son des balles qui percent aveuglément, n'a plus le choix que de faire crisser le cuir de sa veste pour atteindre le tranchant du métal qu'il dépose sur son poing, les mains trouant encore le fond des poches.
Suit la trajectoire de la plus jeune jusqu'à accueillir la méduse macabre, chimère abjecte à deux têtes qu'il ne voit pas vraiment dans l'effervescence.

Et un sifflement bruyant franchit les lèvres insolentes, précédant Gala, l'éhontée et la narquoise qui lui arrache un rire rauque.

j'ai pas suivi, c'est un genre de rave ? putain, gala, on nous invite même plus... s'avance d'avantage parmi les corps clairsemés et les autres qui s'agitent au hasard, la voix trop forte, l'aura trop instable, les yeux trop moqueurs pour les saint.es d'esprit.
et les mains férocement enfoncées dans les poches en attente de la chair à percer, la semelle bute contre un corps froid. un, deux coups secs.
pas cool, les mecs. pas cool.

Alors que Galatea recharge, les yeux suivent la frénésie de ses sens qui s'affolent dans l'évaluation des ennemis qui, de toute façon, n'a jamais vraiment été son fort. Pour autant, gaine chaque fibre du corps et offre l'inconscience aux opioïdes qui le gangrènent,
le regard des prédateurs qui se délectent en avance.
         gala,    gala,    gala,
     tu sais bien qu'il ne résiste pas aux tangos fiévreux sur sa tombe 

ils sont mimis, ouais. dommage que vous foutiez la merde, on aurait pu grave s'amuser tous les trois.
j'aime beaucoup les surprises, tu sais...
et s'en lèche les babines, et c'est obscène sur le visage arrogant qui parade nonchalamment sur la mort, désigne l'homme qu'il ne peut voir et
tu me ferais le plaisir d'enlever ça, mon chou ?
et Sören est de celleux qui se délectent des résistances, de celleux qui n'attendent pas, alors sans perdre une seconde, les phalanges s'élancent nues vers l'autre.
Déjà les lèvres se repaissent de sentir le métal entourant l'autre poing sur l'abdomen, s'enivrent de voir les coups pleuvoir en parade de ce qu'ils croient pouvoir éviter
de ce qu'ils n'éviteront pas
de ce qu'ils lui rendront.
                  oui,      dansons
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