PeriodeHARD

Mars, 2022 ▬ A l'origine, ils étaient cinq. Cinq amis pour la vie, cinq amis pour la mort. Et ils se sont fait une promesse : celle de renverser le gouvernement, et être libres. Mais après la création de leurs gangs respectifs, les évènements les plus traumatisants ont définitivement bousillé leurs rêves face à leur ennemi juré et commun : Le Staff.
C'est ainsi que s'entretient le chaos sur Venus Ville, la capitale de Mars. L'anarchie, le désordre et les promesses de mort...

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[TW : GORE][trame] Je veux juste une dernière danse - Ft Oberon
Invité
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Invité
Ven 10 Déc - 23:34
C'est d'un soupir ;
Que le message est envoyé, remis à son destinataire ;
Ton sous-capitaine.
Le frère de Cosmo.

C'est d'un soupir ;
Que tu te prépares à ce soir ;
Enfermé dans ton antre.
C'est d'un soupir que tu t'habilles tout de noir vêtu ;
Même ta chemise.
Même ta cravate.
Tout.

Tu n'attends pas réellement sa réponse :
Tu mets en silencieux ton cellulaire.
L'oubliant dans les poches infinies de ton manteau.
Faudrait que tu penses à en acheter un autre ;
Un jour.

Tu prends le chemin de l'ancienne prison ;
Ecoutant les cris et hurlements entre ses murs.
Tu t'allumes une clope ;
Tu fais un pas dans cet antre ;
Te perdant entre les couloirs ;
Les cellules ;
Levant le pied face aux corps ;
Morts ou vivants.

Certains déjà saoulés aux drogues ;
Que ton gang répand.
Rêvent-ils de mourir ?
Pathétique.

Tu laisses une bouffée de nicotine sortir de tes lèvres ;
Gercées.

Pendant que certains courent après la résolution d'une énigme ;
Tu préfères te concentrer sur un problème plus proche.
Ton sous-capitaine.
Capitaine des Peppery.
Maintenant que vous n'aviez plus aucune faculty, tu ne dormais presque plus ;
Tes cernes s'allongeant jusqu'à tes joues et creusant des sillons ;
Visible.

Tu savais que ce gang ne prônait pas l'amour ;
Le plus fort peut être au sommet.
Et ceux qui convoitent ton trône le plus avidement ;
Sont bien sur ceux qui te sont le plus proche.
Il en fait partie.  

Il était temps de mettre les poings sur les I.
Ou plutôt, les poings sur les tronches.

Une autre bouffée.
Un sourire.
En attente.
BETTYLEG

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Chili Gazpacho
E. Oberon Blum
Chili Gazpacho
E. Oberon Blum
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E. Oberon Blum
Sam 11 Déc - 14:50
Shall we dance ?
pv.   @Urie Stratford   

Urie.

Tu l'as toujours regardé en coin, lorsque vous partagiez l'intimité des repas chauds au coeur de l'hiver.

L'enfance n'oublie jamais ; l'expérience ne pardonne jamais.

Le claquement sourd et lointain du talon tout le long de la ligne verte annonce ton arrivée, ton enveloppe corporelle baignée aléatoirement d'ombre et de lumière au gré de ton avancée.

Les messages d'intrigues envoyés aux quatre coins de la ville.

La capuche rabattue sur le sommet du chef,
la silhouette féminine se dépeint à mesure de la distance grapillée.
C'est avec trop de leste et de langueur,
que tu lui apparais dans l'obscurité.

Les plaintes d'agonie d'âme en peine,
sont là pour sublimer votre commerce.
Car, si d'aucun tu n'en choisirais,
de tous, c'était sa vision à elle qui épousait au mieux la tienne.

Les mains dans les poches,
quittent la chaleur du tissu,
pour se refermer sur elles-mêmes.

Dans l'attente qu'elle t'assaille de la manière qu'elle le désire.
Tes orbes nuiteux, eux, glissant sur l'une des fenêtres donnant sur l'extérieur, faciès à l'expression immuable.

RAS


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Invité
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Invité
Mer 12 Jan - 11:07
Tu n'écoutes pas les râles ;
Ni les complaintes ;
Encore moins les supplices ;
Ou les galipettes
(Malaisant)
De cet antre détruit.
Tout comme les coeurs de ceux pullulant à l'intérieur.
Toi y compris.
Lui y compris.

Tu sais qu'il arrive ;
Tu le vois s'approcher.
Ombre parmi les ombres.
Tu relâches une autre bouffée ;
Tu le regardes de biais.
Il joint les mains.
Prière ou pour faire comme les gosses pris en flagrant délit d'une bêtise ?
Tu t'en fichais.
Et surtout, tu souffrais le martyre même si ton visage ;
Ne trahissait rien.

La cellule juste à côté de ton muret ne possédait plus de porte ;
Tu te permis donc de passer les barreaux encore visibles ;
Pour aller t'assoir sur la couche.
Tes chevilles hurlaient la mort.
On ne t'avait pas raté.
Encore une bouffée avant de prendre la parole,
Glaciale.
Perdant ton sourire.

_ Oberon. Ou plutôt, Edge. J'ai toujours trouvé ça bizarre que tu te plies à mes ordres sans broncher ou presque.

Bien trop louche ;
Bien trop docile ;
Bien trop indomptable au fond.
Il obéissait mais tu voyais au fond de ses prunelles ;
Qu'il n'était pas le toutou obéissant qu'il laissait paraitre.

_ Maintenant que les facultés ne sont plus, que je ne peux plus t'balancer un camion. Dis la vérité.

Tu fixes ton regard sur lui ;
Abaissant ton centre de gravité pour poser ;
Tes coudes sur tes genoux.
Ta clope dans ta bouche tandis que l'autre pendait ;
Une lame glissée dans tes bottines noirâtres.
Tu ne l'attaqueras pas.
Mais s'il le faisait, tu te tenais prête.
Tu ne le tueras pas en traître ;
Face à face, comme des adultes ;
Comme des Chili Gazpacho.
BETTYLEG

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Chili Gazpacho
E. Oberon Blum
Chili Gazpacho
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E. Oberon Blum
Mer 19 Jan - 14:43
Shall we dance ?
pv.   @Urie Stratford   

Le nez levé, ton regard aussi noir que les eaux profondes, caresse la silhouette presque abîmée de l'usurpatrice.
Un être avec qui tu as partagé un idéal, le temps d'une éphémère enfance.
Et au fiel qu'elle te verse sous le son de ses mots, ton visage demeure implacable, comme si tout n'était que papiers de chiffon au gré du vent.

Parce que, tu as suivi les ordres de front, et tu as décidé de la suivre selon ton bon vouloir. Tellement d'autres projets et de finalités te sont apparus en vu d'un destin peut-être plus ambitieux.

Et de provocation en provocation, tu aspires à lui rabaisser le caquet par une verve tranchante, mais par trop fatigante pour tes cordes vocales.
Ne les dérangeons que pour l'utile.

L'erreur n'est pas de sous-estimer l'ennemi, mais de te sous-estimer.

- Je laisse la parole à la Reine. Rappelle-toi que tu n'es que notre ombre.

Condescendance quand tu nous tiens, tu fais un pas dans la prison et prend une position accroupie de manière à correctement fléchir tes genoux, pour cet instant tant attendu et jouissif : celui de la faire (re)descendre de son piédestal.

RAS


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Invité
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Invité
Mar 25 Jan - 0:10



dansons (dansons !)
@l'incruste

Courent les rats (courez, courez !) N’ont qu’à s’écarter au rythme de l’avancée feutrée, des talons indécents qui s’abattent
- que les plateformes la gardent d'être tachée des puants.
Et derrière elle, toujours la même ombre à laquelle elle n’a qu’un signe bref à adresser pour la voir lecher ses pas. La chevelure rousse qui se dessine à l’aube des lumières chevrotantes lorsqu’elles s'extirpent du néant - voyez, voyez que
    Pheme n’est pas faite pour rester dans l’ombre.

Ni dans celle des caveaux hideux, ni des pseudos alliés qui récoltent la modestie le temps d’une embuscade. Qui sait encore quelles en seront les victimes - ce soir, Edge lui offre le règne rougi sur un plateau, voie toute ouverte par les bras béants des cadavres. Alors elle en enfoncera les portes jusqu'à rompre les doigts qui lui ont tendu le sceptre
(pas encore, toutefois. Il faut déjà chasser les hyènes
et les petites régnantes d'autrefois. )

Alors, le chemin se fait dans les mots qui l’annoncent ; résonnent un peu, raclent les murs sales et le visage méfiant de la rousse
et alors, elle a raison. Parce que Pheme n’a que la froideur létale des discussions écourtées sur le linceul pour tapisser le couronnement, qu’elle ne s’évertue pas à apaiser la hargne des ancien.nes ami.es.  

urie mais elle ne la saluera pas, ne feindra pas les vestiges de douceur sur les traits qui ont depuis bien longtemps avorté les fardeaux traînants. elle respecte encore suffisamment urielle pour lui épargner l'affront d'emprunter une peine qu’elles savaient bâtarde.

Leto sur ses talons alors qu’elle s’approche de la paire mal assortie (      oh, urielle n’as-tu pas été naïve, présomptueuse quand on te sait
si féroce, si      redoutée     alors que tu n’as pas vu la vermine
  patauger dans ta soupe ?

je suppose que tu te doutes que c’est pas exactement une visite de courtoisie. il n'y a pas grand chose qui traverse les yeux noirs lorsqu'ils quittent l'amant sournois pour gracier la condamnée de sa sentence. pas d'excuse au lyrisme plat ou de rire délectés pour celle qui décline les plaisirs grossiers à tenir les cœurs chauds entre ses serres,
ne veut que les lauriers et l'or et les suppliques à ses pieds.
ça n’a rien de personnel, cela dit.

Elle hausse les épaules
hausse les épaules si haut que la fourrures s’ébroue sans défaire les traits froids et c’en est mauvais lorsqu'elle ne cache même plus le révolver qui décore les doigts fins pour en braquer l'embout sur les mèches flamboyantes. C'est une exécution, et il n'est plus vraiment question d'offrir aux furies la chance de contester les desseins qu'on prévoit pour elles.

Dans l'union infame des corps et des esprits gangrenés de la nouvelle alliance, il n'y avait jamais eu d'honneur et de justesse à implorer. Mais Pheme a la grâce dans le couperet qu'elle abat, les gestes généreux pour proposer la mort à l'impie
même si l'on pense surtout à éviter au cuir couvrant les mains coupables quelques crasses vermeilles.

si tu préfères, leto peut même s'en charger. histoire qu'on soit, neutres tu vois ? pas de vieille rancœur ou de haine superflue. alors elle se penche à peine, s'exprime en commanditaire des bassesses dans lesquelles elle ne se perd même pas. n'a jamais eu la décence, ni dans les yeux vides sur le visage qu'on s'apprête à sacrifier, ni dans les mots légers ou la main gantée
main armée qui fait signe vers la rousse,
fend l'air pour souffler la simplicité du courroux.



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Invité
Invité
Anonymous
Invité
Ven 4 Fév - 15:34
Tu hausses un sourcil ;
Te demandant s'il avait picoler ou pris une drogue quelconque avant de te parler.
"Notre Reine".
Il avait vraiment fumer quelque chose.
Ecoutant les talons bruyants dans cette pièce exigu.
Le regardant s'avancer pour passer la porte de la cellule.
S'accroupit.
Comme un bon toutou.
Touchant.

Jusqu'à daigner regarder la grognasse.
Qui se pointait.
Ne l'écoutant même pas, un rire parcourant ta cage thoracique.
Jusqu'à le laisser exploser, les larmes aux yeux.
Ignorant même superbement le canon pointé sur ta tronche.
Encore une trahison.
Encore une.
Tu ne comptais même plus.
Tu étais juste lassé de leurs jeux de "grands".
De grands pathétique individus ne sachant pas se d'emmerder seul.

Non, trop compliqué.
Tu prends une bouffée de ta clope, sentant la nicotine parcourir tes veines.
Relâchant la bouffée dans l'air,
Laissant l'autre se pavaner.
Son cul aussi gros que sa malfaisance.
Tu jettes ta clope par terre sans l'éteindre aucunement,
Plongeant tes doigts dans ta bottine pour sortir la lame crantée.

Tu t'approches avec difficulté,
Tes genoux te maudissant,
Du pikachu.
Tu t'abaisses à son niveau en lui souriant ;
Tapotant sa joue avec ta main.

_ Bon toutou. Remue bien la queue, celle que tu a entre les jambes, pour ta petite reine va. Tu n'en es que plus pathétique.

Imitant l'aboiement du bon chien qu'il était.
Avant de te redresser et de regarder celle que tu considérais comme ta meilleure amie ;
Dans les yeux.
Perdant ton sourire, ta chaleur, ta colère, ta haine.
Ne laissant qu'un vide immense et une détermination tout aussi grandiloquente.
Posant ton front sur le canon de l'arme.
Il était frais.

_ Quand on se reverra, je te tuerais. Trois fois. Comme la sorcière que tu es, tu ne mérites que le feu. Je t'en fais la promesse, solennelle.

Tu poses la lame sur ton cou ;
Traçant un sillon sanglant tandis que tu reprends un sourire ;
Crachant ton sang,
Ta salive,
Ta vie,
A la gueule de cette poufiasse.

Et quand tes genoux touchent le sol ;
Et quand ta tête touche le sol ;
Et quand tu laisses une dernière giclée sortir de ta gorge ;
Tu te fais une seule et unique promesse.
Ils mourront tous ;
Quitte à utiliser leurs propres techniques contre eux.
BETTYLEG

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Chili Gazpacho
E. Oberon Blum
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E. Oberon Blum
Mar 8 Fév - 18:11
Attention, ce poste contient des scènes choquantes. La partie en gris clair vous sert à éviter une potentielle gêne.

Shall we dance ?
pv.   @Urie Stratford   


Dans la patience et la tension, tu contractes des vertus d'aguets, laissant libre court à un nouvel acte mettant en scène deux protagonistes au profil antipodique.

Demeure dans le silence le plus complet, tu entends la mélopée de la mort se rapprocher tout doucement de tes oreilles, te susurrer des notes lentes d'agonie, dont le seul serment est celui d'arracher une autre vie à Mars.

Pheme attise les flammes de la haine,
Urie de méfiance lui sourit.

Aux mots qui suintent de ces deux bouches, tu ne préfères d'aucun discours que celui du silence, et il sera présent que lorsque la bouche de la furie rousse sera bâillonnée par tes propres soins.
Seulement, voilà. Reine blanche et Valet de coeur font reculer l'autre Reine pour prendre d'assaut l'arme du Fou. Tes viscères se retournent, et sans donner de temps à tes pensées, tu bondis de ta position pour plaquer ta main sur la trachée d'Urie, le visage impassible. Peut-être un peu défiguré par une intense contrariété que tu sembles toi-même combattre en même temps que tu tentes de la tenir en vie.

Urie.
Foutue Harpie.

Le ruissèlement carmin rhabille le cou de l'être impur, tes mains souillées jusqu'au poignet de son affront. Tu ne peux l'empêcher de quitter ce sol pour disparaître à tout moment, mais son suicide est synonyme d'un potentiel échec de ta part.

Tu ne la voulais pas morte.
Tu la voulais encore vivante. Tu sors la lame du poignard de judas, et tu la laisses tomber par terre pour t'adonner à ta tâche tant attendue, mais malencontreusement précipitée.

Tu achèves donc le geste en pénétrant le couteau dans la gorge, et t'assures de séparer sa tête du corps.

Quelques longues secondes plus tard, ton enveloppe corporelle maculée du sang de sa proie se redresse et pose un regard éteint sur les deux donzelles de la vêpre.

- J'ai à faire, très chère reine. Je te donne le flambeau de son corps ? Elle réapparaitra à n'importe quel instant. Ne me donnez pas la localisation de sa personne.

Et ainsi rester infaillible.
Des pas guidés maintenant par l'appât d'une victoire momentanée, dont la seule et unique optique est d'épancher ta soif de tous les vaincre.




RAS


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