|	Deep in your shadow ; I dive

♫ ► — it wasn't a boring day.

alors que tu avais passé ton temps à traîner dans le hosting,
faisant des clins d'œil à l'un,
une geste plus cru à un autre,
ce fut avec des billets plein les proches que tu finis par quitter l'établissement après de longues heures.

portant une clope à ton bec,
inspirant le poison attendrissant pour te sentir vivant,
tu es entrain de compter tes morceaux de papier ayant de la valeur lorsque l'on t'adresse la parole.

un sourcil qui se redresse,
on te fait du charme avant que le bâtard ne mettent ses mains sur ta poignée d'argent et qu'un juron ne quitte tes lèvres alors que tu pars à sa suite.

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♫ ► — la rage dans les yeux,
le feu dans la gorge,
alors que ta voix s'élèvent et se fait entendre au rythme de tes pas au sol,
c'est avec une expression de franc dégoût que tu commences à t'apercevoir que tu commence à le perdre de vue.

de par ton cardio que tu semblais avoir quelques peu perdu,
passé un an à faire le rat ayant clairement pas aider la chose,
ce fut toutefois avec un coup de chance que tu finis tout de même par le rattraper.

et que la scène se trouvant maintenant devant toi ne peut que t'arracher un rire.

de par l'ironie de la chose,
la souris ayant été pris au piège par le chat,
c'est dans l'inconscience qu'il finit alors que ce très cher Zachary est maintenant assit sur lui.

adressant un signe de main à celui-ci,
tu lui dis d'attendre alors que tu reprends ton souffle et c'est sans attendre que tu ne te gêne pas à venir prendre les billets d'argent de la main du voleur impuissant.

reculant d'un pas par la suite,
tu jura pour toi-même alors que tu recalcule pour être sûre de ne rien manquer avant que tu te pose ton regard sur l'homme.

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♫ ► — les billets glissant entre tes doigts,
l'argent gagné par les soupire des corps t'ayant été rendu,
c'est dans le creux de tes jeans qu'ils finissent alors que tu y glisse sa main avec une certaine irritation.


que tu siffles entre tes lèvres alors que tu donnes un coup de pied dans le vide pour te défouler.
question d'habitude,
quelque choses t'ayant été appris,
tu te frustre contre toi-même en repensant à tes parents à ce moment-là, mais ton sauveur se fait aussitôt présent.

de par ton attention que se refocus sur le géant,
celui-ci évoquant ta course de santé imprévu et la contradiction de tes propos,
c'est un mince sourire qui s'affiche sur tes lèvres alors que tu l'observe se débarrasser de cette douleur au cul.



qu'il dit alors que tu le suis maintenant et c'est avec un haussement de sourcils que tu l'observe après sa proposition.

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♫ ► — what a good boy.

que tu te dis,
que tu te chuchote pour toi-même alors qu’il répond à tes propos.
ne retenant pas ses paroles malgré tout,
étant clairement du type à agir avant de réfléchir,
tu aimes bien ce genre de personne et tu n'attends pas plus longtemps pour finir à côté de lui.

car de sa prestance,
son absurde grandeur,
il te donnait envie de le chercher d’avance et c’est avec un sourire en coin que tu lui réponds.



que tu siffles en mettant bien l'emphase sur tes mots.

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♫ ► — dude, choose.

que tu te dis,
que tu te répètes dans ta tête alors que vous avancez sans vraiment vous rendre quelque part.
de par les échanges qui se fond en se cherchant continuellement,
tu as l’impression qu’il te laisse la pression des choix de vie alors qu’il te répond.
alors qu’il te lance ses sourires,
alors qu’il s’arrête alors qu’il réalise ce que tu semble lui demander.

de par ce que tu voulais lui offrir,
de par ce que tu aurais pu faire pour le remercier,
c’est avec une certaine impatience que tu finis par t’avancer vers lui et que tu poses l’une de tes mains sur son torse.

levant les yeux,
faisant face à un géant,
c’est malgré tout sans aucune crainte de l’homme que tu le foudroient du regard avant de laisser sortir tes paroles.

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♫ ► — regard de feu, regard de braise.

on déclenche un incendie avec tes paroles et tu n’en a aucunement honte.
de par ce que tu pouvais faire,
de par ce que tu pouvais accomplir malgré le manque de ton pouvoir,
de ton entièreté,
c’est en ayant cherché à combler de vite le plus possible que tu étais maintenant contre lui.

car il pouvait te donner plus,
car il pouvait te faire sentir vivant sur cette planète de merde.

et alors qu’il semble comprendre,
alors qu’il propose des lieux pour notre prochaine activité,
tu n'hésites pas à lui faire savoir que le lieu n’avait franchement aucune importance pour toi.

de par ton corps qui se fait bien plus pesant,
de tes mains qui ose beaucoup plus que ce que l’on pouvait normalement faire dans les rues,
c’est en ayant pris le temps de bien le provoquer que tu finis par te reculer pour finalement lui dire.



qu'il siffle entre ses lèvres, voulant savoir où il vivait.