|	All your desires ; they creep like a virus in my face

♫ ► — it was a joke.

de par l’aisance qu’on eut,
de l’absence de problème que vous aviez rencontré avant d'arriver içi,
la situation était beaucoup plus drôle que tu ne l’avais imaginé.

de par l’info qui t’était venu jusqu’au oreille,
info que tu avais su partager avec ton martyr.
de cette blessure que le seconde des bb avait subi durant notre agréable soirée,
tu avais toi-même des souvenirs de celle-ci alors que ton visage dévoilait ce que ton compagnon de forture t’avait fait subir,
c’est pourtant en ayant évité toute les questions sur ton état que vous étieez maintenant rendu devant sa porte.

de par une simple question posé,
un numéro vous ayant été donné,
ce fut sans attendre que vous étiez rendu à celle-ci, mais il ne resta pas avec toi pour la suite,
ayant été attrapé par une infirmière avant toi.

et sans cogner,
sans avertir de ta présence,
tu ouvris doucement la porte, malgré la douleur de tes mains brisé, alors qu’un sourire beaucoup trop grand s'affiche sur ton visage et qu’un ricanement te quitte alors que tu croises son regard.

car après tout,
ayant déjà été chef,
cosmo devait très certainement pas avoir le sommeil profond et ce fut ton visage qu’il vu à son réveil alors que les ecchymoses et la peau fendu te décorait.

mais tu n’étais pas là pour parler de toi.
absolument pas.

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♫ ► — and you’re laughing.

malgré la peau qui se tire,
malgré ses plaintes de douleur,
ses supplications pour que tu arrêtes,
tu ne peux t’en empêcher.

c’est que le blond avait toujours eu les meilleures blagues dans sa poche.

de par sa remarques sur ton apparence,
sa question sur ce que tu avais bien foutu pour te mettre dans cet état,
c’est que ce n’était clairement pas la première fois que tu venais le voir en ayant l’air d’avoir pris une tête sur l’asphalte.

mais tu n’étais pas là pour te rappeler les bons souvenirs de leur sortie illégale des années passées.

de par l’appuie que tu va chercher contre le lit,
prenant place sur la chaise à côté du lit,
tu l’observe quelques longues secondes en silence avant que tu n’ouvre la bouche.

car tu avais beaucoup à dire en faite.



que tu siffles, en mettant l'emphase sur la fin de ta phrases.
et tu laisses la bombe tomber alors que ton pouvoir s'active.

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♫ ► — and he got him.

de par ta langue de vipère,
de par ta ruse qui se glisse dans son esprit,
c’est avec une fausse expression outrée que tu caches le sourire bien trop grand alors que tu observes ton venin agir.

de son expression qui change,
de la gravité qui s’invite dans tes yeux,
tu trépigne presque alors qu’il te souligne que tes paroles ont une grande importance et c’est de plusieurs oui de la tête que tu lui fais comprendre que tu comprends absolument la situation.

car il était très grave de trahir un gang,
car il était vilain de vouloir jouer dans le dos d’un chef,

car il était trop facile de briser ce genre de relation.

te massant la joue,
appuyant sur l’un de tes bleus pour te rappeler que tu étais vraiment dans le moment présent,
tu lui offres ton plus grand sourire alors qu’il te remercie de lui avoir donné ton information.

et c’est en faisant demi-tour que tu lui adressa un clin d’oeil avec de dire :



qu'il lui dit avant d'ouvrir la porte et sortir.
il n'avait plus rien à faire içi à présent.