Mars, 2022 ▬ A l'origine, ils étaient cinq. Cinq amis pour la vie, cinq amis pour la mort. Et ils se sont fait une promesse : celle de renverser le gouvernement, et être libres. Mais après la création de leurs gangs respectifs, les évènements les plus traumatisants ont définitivement bousillé leurs rêves face à leur ennemi juré et commun : Le Staff. C'est ainsi que s'entretient le chaos sur Venus Ville, la capitale de Mars. L'anarchie, le désordre et les promesses de mort...
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11.08.22 ▬ Jumeaux Les inscriptions sont fermées !! Lire l'ANNONCE suivante pour être à jour, car un event final arrive bientôt
18.06.22 ▬ Jumeaux Les personnages jumeaux ne seront plus acceptés à l'exception d'une future réservation. Aussi, nous avons ajouté une nouvelle règle dans le réglement
27.05.22 ▬ Groupes libres Tous les groupes sont ouverts aux inscriptions. Inondez-les de votre amour ! Aussi, nous recherchons 1 Sous capitaine AS, 1 chef de garde BB, 1 chef de garde CC, des BR à foison ainsi que des membres Pitaya !
15.05.22 ▬ MAJ V3 MAJ V3 du forum ! Lire présentation de la MAJ ici : WWW. Note : Tous les Bottins sont à jour !
Les grandes trahisons sont toujours effacées par l'histoire pv. CG
Les jours n'ont de cesse de te surprendre, pénible relativité du temps que rien ne sait contrôler, sinon d'entreprendre sans se permettre de s'arrêter, pour espérer toucher du doigt l'inaccessible. Les serres s'agrippent davantage aux cheveux de la lie humaine, un exemple parmi tant d'autre dont le seul attrait est l'instabilité. Au sommet du mal, tu ne vois que la trahison. La trahison... un fléau à éradiquer sans cesser de respirer, sans jamais se reposer. Les rumeurs galopent et font entendre que tu ne dors jamais.
Les messages envoyés, tu depasses le seuil de l'entrepot, cet antre des hyènes malfamées dont le seul désir se réfère à la vengeance. Une vengeance au passé. Une vengeance au futur. Une vengeance contre soi-même. La faiblesse, pour seule faille.
Arrivé face à la statue, tes longues jambes tuent la distance jusqu'au trône, sur lequel tu prends place avec autant d'insolence que de légitimité. Le pan d'une enveloppe charnelle entre tes doigts acérés.
La supériorité du regard comme seul égard envers tes sujets.
Lorsque l'espace vide du hangar se remplit petit à petit, tu reposes avec un desintérêt soudain le bas de ta joue contre le dos de tes doigts. Tu te fais doucement pensif.
Comment les rallier à toi. Comment les unir et les nourrir.
De ta senestre, tu leur jettes au pied la tête d'un premier traître, avec pour seule sentence celle-ci :
- Ma promesse est aux prochains. Le ou la première que mes yeux voient traiter avec l'ennemi sera découpé.e en morceau et pourchassé.e jusqu'à devenir une coquille vide.
Tu rajoutes avec beaucoup plus de véhémence :
- Vos revendications ne m'intéressent pas. La conquête elle seule existe. Rangez-vous et suivez-moi, ou bien quittez tout de suite les CG.
Les grandes trahisons sont toujours effacées par l'histoire
feat chili gazpacho
Arrivée parmi les premiers après avoir reçu le message, elle se poste donc aux côtés de Edge comme son rôle le voulait.
Assez proche pour pouvoir le toucher, assez loin pour ne pas être envahissante, elle observe les membres arriver pour devenir une foule. Sans dire un mot, elle attend calmement.
Jusqu’à ce qu’une tête brûlée roule au sol. L’expression retenue, ses pensées elles n’expriment que surprise.
Puis quand ses mots tombent, elle comprend alors qu’il s’agit d’un avertissement. Non, c’est une menace pour ceux qui oseraient trahir sa confiance.
Rhéa elle, n’a pas peur de finir ainsi. Pour la simple et bonne raison que sa seule loyauté lui est entièrement dédiée. Oh, jamais elle ne penserait se mettre en travers de la route de celui qui l’a une deuxième fois recueillie.
Calme, elle porte son regard de nouveau aux gens présents, Prête à agir si jamais cela devait mal tourner.
Un nouveau SMS, un nouvel ordre peut-être ? Tsubaki ne savait pas ce que tu allais lui demander, mais en aucun cas il n’aurait refusé. S’il avait été convoqué seul, l’espion serait tout de même venu. Pourquoi ? Parce que c’est en refusant qu’on fait porter des doutes sur nous. C’est en ayant peur que les yeux seront braqués sur soi et le jeune homme n’en restait pas une seule once.
C’est pourquoi il se trouvait là, maintenant entouré des autres Chili à attendre que les mots parviennent à ses oreilles.
Ce fut une nouvelle tête qui se mit à rouler à vos pieds et qui fit rouler les yeux du cadet des jumeaux jusqu’elle ne s’arrête non loin de vous. Oh qu’elle était en bien moins bon état que celle de votre précédente -dirigeante-, l’odeur de carboniser ne pouvait que faire sourire Tsubaki.
Il vouait une passion malsaine pour ce genre de chair brûlée depuis sa première explosion.
De part ces quelques cheveux roses, il pensa tout de suite à toi, Mercredi. Qu’est-ce que tu avais encore fait ? Et les mots d’Edge.
Un avertissement pour les traitres, intérieurement il devrait se sentir viser. Avoir peur, non ?
Encore une fois, aucune once de ce sentiment ne traversa son être, il gardait parfaitement sa couverture.
« Tu es toujours aussi efficace, je ne peux que te tirer mon chapeau, Edge. Mes intentions n’ont pas changé depuis la précédente tête que nous avons vu rouler. J’ai même encore plus hâte de voir celles des autres gangs tomber. » Il se retenait d’applaudir, restant de ce sourire qui ne quittait que rarement son minois.
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Corey Valden
Sam 19 Mar - 11:39
révélation pv. les CG
Le message dans le com est apparu. Il n’y a pas répondu Corey, il n’a pas o s é y répondre. Voilà un temps qu’il se retrouvait occupé par la mission que lui avait confié Edge.
Et maintenant il était a n o u v e a u convoqué.
Il se déplace jusqu’au QG. Arrivé sur place, il constate, beaucoup de monde déjà présent. Mais pas Mercredi.
Mercredi n’était pas e n c o r e là. Et Edge pointe le bout de son nez. Il est là. Il tient q u e l q u e c h o s e en main.
Balance la t ê t e de l’ami sur le sol. Car Corey n’est pas dupe, il a bien reconnu qui se cache sous cette tignasse rose. Son cœur se met a accélérer. Entend-il les mots de Edge ? Non.
Pas dans un premier temps, beaucoup trop obnubilé par le spectacle qui se dresse devant lui. Il a envie de f u i r. De p a r t i r. L o i n.
Sans se soucier des répercussions.
Mais elle est là. Cette voix qui se tient a ses côtés. Toujours bienveillante. Elle traine dans le QG depuis qu’elle le sent angoissée.
Elle est sa confidente en quelque sorte. Pour eux autre elle n’est pas visible mais pour Corey si, Anne-Lise est bien là, fantôme d’une âme tombé au combat.
Doucement, il sent sa présence au-dessus de ses épaules. Elle pose ses mains sur ses oreilles. « Calme toi Corey, reste calme, ca ne vaut pas la peine d’agir sous le coup de la panique. »
Sa présence se fait de plus en plus imposante, imposante mais apaisante. « Il n’est pas devenu un fantôme il n’est pas définitivement mort, calme-toi. »
Et quand elle sent que Corey est a nouveau capable d’entendre les mots de Edge, elle rompt ce contact. Ecoute le, s’affirmer.
S’il ne trahit pas alors tout ira bien. Corey écoute. Il ne dit rien. En retrait.
Il est désormais plus calme.
hrp : les dialogues de Corey sont en couleur et ceux du fantôme sont en italique
Les grandes Trahisons sont toujourseffacées par l'histoireLa trahison est une question de dates
[CG - Trame - QG CG] Le regard dans le vague, surplombant la ville de cette vue. Il observe en silence à travers cette baie vitrée. Cherchant à trouver un moyen efficace de tuer le temps. De s’occuper d’une quelconque façon. Il n’a guère le temps d’y penser davantage. Son COM vibrant dans sa poche. Il le sort avec une certaine hâte, d ans l’espoir que le destin lui sourît.
Pour découvrir un message d’Edge.
Une légère moue déçue passe sur son visage. Qu’avait-il encore fait ? Encore un membre en moins ? Ils n’allaient pas être bien nombreux à ce rythme. Il allait devoir repenser à ses plans s’il souhaitait conquérir cette ville. A moins qu’il soit assez confiant pour y arriver avec une dizaine de personnes.
Quoi qu’il en soit, il s’était mis en route. Bien obligé d’aller le voir. Dans la voiture avec Tsubaki, il reste silencieux. Perdu dans ses pensées.
Arrivée sur place, au QG, enfin, ce qui leur servait de QG. Il avait toujours eu du mal avec cet entrepôt. Loin d’être impressionnant, il faisait plutôt penser à un repaire de petite frappe sans grand intérêt.
Il s’installe aux côtés de Tsubaki. Toujours sans un mot, écoutant d’une seule oreille le discours d’Edge. Avant de le voir jeter une tête à leur pied. Encore. Dites, ça commence à faire un peu beaucoup là non ?
D’autant plus qu’il ne tarde pas à reconnaitre la victime. Mercredi. Dommage, il avait l’air intéressant. Un atout non négligeable pour provoquer pas mal de chaos. Pas assez malin pour rester en vie visiblement.
Il observait du coin de l’œil le reste de l’assemblée. S’attendant à entendre quelqu’un prendre la parole. Mais mis à part son jumeau, personne n’a daigné lui offrir une réaction, même une toute petite. Ils étaient terrifiés par ce discours.
Quel dommage. Lui qui voulait provoquer quelques âmes sensibles.
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Dim 20 Mar - 15:31
Les grandes trahisons sont toujours effacées par l'histoire
T’as pas voulu trop t’approcher de peur que ton impulsivité te perdre. Parce que s’il fallait que t’aies une mauvaise idée, tu risquerais de l’écouter et te mettre dans de sales draps. Alors tu restes dans un coin, les bras croisés à attendre qu’il se passe quelque chose, que votre Leader prenne la parole. Et il commence grandiose. En lançant une tête à vos pieds. Tu grimaces, pas trop à l’aise avec ce genre de démonstrations. C’est impressionnant oui, mais ça te dégoute. T’as un peu de peine pour celui qui est mort, peu importe ce qu’il a pu faire. Le discours va avec la théâtralité de la chose. Un avertissement. Une menace. Ça te fait peur au fond. Parce que tu ne peux pas t’empêcher de craindre que tes contacts avec Eleanor pourraient être vus comme un acte de traitrise. Pas que ça pourrait te pousser à couper contact avec elle, rien ne pourrait. Mais la peur reste là. Il faudra que tu fasses attention au cas où, comme si tu en étais moindrement capable. Un autre Chili prend la parole et tu te retrouves à l’écouter aussi sans pour autant être totalement d’accord. Faut croire qu’il te manque les ambitions de certaines personnes, mais tu ferais ta part, pour être à la hauteur de cette nouvelle famille. Il semblerait que s’entretuer est un point commun pour tes familles choisies. Ça devrait être suffisant pour te pousser à te taire, mais tu résistes pas à l’envie de prendre la parole. « Le message est clair. » Autant commencer par ça, même s’il y a un risque que tu ne l’écoutes pas. Ça n’a pas besoin d’être souligné. « Mais pour une conquête, c’est toujours bien d’être nombreux. » Pas que tuer les traitres n’est pas une bonne idée, juste que ça réduit vos nombres encore plus. Bon c'est aussi ton rôle de recruter des gens, mais tu fais pas de miracle non plus.
Les grandes trahisons sont toujours effacées par l'histoire pv. CG
Devant pareille assistance, les ailes se poussent au dos des plus téméraires, de fidèles à infidèles, de fiers combattants à espions, l'être ne saurait se départir de la seule émotion que tout un chacun partage en cet instant présent : l'indiscipline. Né pour survivre ; survivant pour tuer. Le regard se fait las, éteint, De repos tu en désires si fort.
Mais aux premiers mots proférés l'esprit est une fois de plus écorché. Les mains larges sur les bras du trone, ton enveloppe se soulève sous l'emprise d'un instinct : celui du chasseur.
Les pas descendent calmement, Enif comme bouclier te suit de peu en te laissant assez de marge pour ne pas l'électrocuter si ô jamais tu devais user d'une telle arme. Que les cieux t'en pardonnent,
tu es probablement mieux seul qu'accompagné.
Aux cotés de Tsubaki tu passes, le regard d'un bleu étincelant s'effile à mesure que tu avances, et de pas mus jusque devant Corey, questionné tu t'es au sujet d'un potentiel lien de famille avec Mercredi.
L'ombre se faufile ensuite entre les hères, observe le profil intrigant de Ace pour terminer devant le petit être de feu.
- Et Quand éradiquerez-vous le mal ? attendez-vous de moi que je vous mâche le travail ? Etes vous de simples soldats ?
La tête se penche, ton regard, pour se radoucir.
- Vous êtes de simples soldats. Pourquoi êtes-vous CG ?
- Parce que nous sommes les plus puissants !
Le pas s'arrête. L'air du cloaque s'agglutine autour de ces créatures, il s'élève et les poils se hérissent.
Le sentez-vous ?
- Les plus puissants ? Je ne me souviens pas d'avoir entendu le moindre de vos exploits. Vous n'avez encore rien accompli. Et comme vous n'êtes personne, je ne retiens pas vos noms.
Le regard du membre des Chili se fait fuyard, baigné d'une rancoeur amère.
Si d'ordinaire tu n'agitais ta langue que pour amener l'essentiel, évitant ainsi de brasser du vent comme tant d'êtres tendent à le faire, tu espérais en avoir bientôt fini. Epuisé du résultat de parler tu étais.
- Que tout le monde forme un cercle, et laisse .. Baki au centre.
Pas déterminés, tu reprends les rênes du règne. Pour te rasseoir.
- J'ai omis de te dire : si tu souhaites le rôle de garde du corps, comme tu me l'as bravement demandé, il te faut le mériter. ... Alors, combat l'un d'entre nous.. qui tu le veux. Même moi... jusqu'à ce que mort s'ensuive.
Comme la dernière fois, les téméraires se font rares. Comme la dernière fois ; les peu qui le sont n’ont pas la force, physique ou de caractère, de s’affirmer. Perchée sur une estrade qui ne semble destinée qu’à lancer des têtes mutilées, la panthère se lèche distraitement les coussinets. La queue se balance doucement de haut en bas, alors qu’affalée, elle regarde. Suit des yeux l’amas de charbon aux cheveux roses. Toise les réactions de l’assemblée.
S’arrête sur les applaudissements d’un fanfaron réjouit du sort de son compère. L’animal bâille. Qu’est-ce qu’ils font encore là, déjà ? Lui, s’était transformé de rage, en apprenant la nouvelle. L’aurait presque aimé le tuer lui-même ; tiens. Parce que même s’ils se tapent incroyablement fort sur le système, Nif l’appréciait, le petit Credi. Parce que même sans lui faire complètement confiance, il ne s’attendait pas à voir sa tête rouler sur le sol de l’Iron Pepper. Parce qu’à ce rythme-là, il n’y aura d’un minimum compétent et encore fidèle à Oberon que Rhéa et lui, chez les Chili. Autant faire un trouple ; on s’fera moins chier.
En parlant du power trouple, le voici qui s’avance dans la foule : Edge a perdu patience. La panthère le suit, quelques pas en arrière. Sous forme humaine il sait comme les foudres de son boss peuvent être littérales ; alors transformé en matou… La bête veut une échappatoire si jamais la cible du brun s’avère être un piètre paratonnerre.
Pour une fois imbu de son rôle de chef, Oberon toise ses troupes. Lance un défi à Baki. Assise derrière le gangster, la bête se lèche les babines. Va-t-on enfin voir de quel bois se chauffent les pécores qui se vantent de flotter dans une soupe épicée ?
Romeo Cooper
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Romeo Cooper
Mar 22 Mar - 11:46
Les grandes trahisons...
T'observe la tête rouler au sol. Démonstration efficace, mais Edge sait ce que tu en penses. Tu lèves les yeux, observe Olivia. Pensée désolée pour ta pauvre collègue dont la charge de travail s'accroît à chaque nouvelle folie meurtrière. Enfin, c'est pas comme-ci Mercredi ne l'avait pas cherché. Ton regard embrasse la sale. Tu t'es posté à ta place, droit, pas très loin d'Edge. Tu captes la terreur, l'angoisse, la gêne, dans les yeux de tes membres. Mais trop peu de dévotion, encore. Le truc, c'est qu'Edge n'a pas encore compris que pour éradiquer la trahison il faut aussi provoquer la fidélité. Régner par la terreur, c'était efficace à court terme, mais s'il voulait une armée de fidèle et non pas de gosses effrayés alors... Enfin. Tu lui livreras le fond de ta pensée plus tard, comme toujours. Mais pas tout de suite. Tout de suite, c'est la terreur qui prime.
Tu soupires, lance un regard mauvais vers Tsubaki. Son manque de pudeur te débecte. Une parodie de folie pour laquelle tu n'as aucun respect, juste du mépris. Préfère de loin le silence des autres ou la sobriété d'Olivia. Tu claques ta langue, agacé.
— On t'as pas sonné, Maxwell. Arrête de parler pour rien dire, c'est cliché.
Tu le fixes sévère, finit par détourner ton regard pour observer Edge. Il évolue tel un serpent, réveille votre fierté. Tu surveilles en silence. Il appelle à faire un cercle autour de Tsubaki et tu rappliques, comme tout le monde. Que les choses soient claires : tu n'aimes pas ce type. Aime encore moins l'ambition dont il fait preuve en voulant revendiquer la place de garde du corps. T'écartes deux membres pour te faire une place au premier rang, fourres tes mains dans tes poches, voix détachée, presque ennuyée. Tu te tournes vers Tsubaki, le toise de haut, prend à partie l'assemblée.
— Vraiment, vous trouvez qu'il a l'étoffe d'un garde du corps, lui ? Vous foutez pas de ma gueule.
Puis à l'attention de Tsubaki
— Choisit ton adversaire qu'on en finisse.
idk
Tsubaki Maxwell
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Tsubaki Maxwell
Ven 25 Mar - 21:08
Feat. Chili
Judas
Eh bien, il faut croire que les têtes coupées semblaient échauffer les mœurs. Le jeune homme ne se serait douté se retrouver ainsi au milieu d’une attention qu’il ne pouvait que trouver des plus plaisante. Quand tu lui fis ta première remarque, Romeo. Le cadet des jumeaux ne te fit qu’un sourire accompagné d’un clin d’œil, serait-ce pour te chercher ou te faire comprendre quelque chose d’autre ? Ah toi d’interpréter ses gestes, s’en était bien plus amusant ainsi !
Mais alors qu’Edge venait de reprendre la parole pour poser les poings parmi les CGs, ce fut à ce moment que le brun se retrouva entourer pour une intention bien donnée : un combat à mort pour prouver sa valeur.
Les bras croisés, la main légèrement devant la bouche et un rire non retenu qui en sortit d’entre ses lippes.
« Je me doutais que tu allais me préparer quelque chose du genre, Edge. Dois-je tout de même me sentir flatter que tu aies retenu une partie de mon prénom ? » Souffla-t-il en référence à ce que tu avais dit précédemment.
Ses bras maintenant décroisés, ses doigts en train de craquer pour mieux pouvoir frapper.
« Je veux quelqu’un qui se désigne, prêt à se battre. Je ne veux pas choisir quelqu’un qui aurait peur de mourir. Un combat équitable où on est prêt à aller jusqu’au bout et qu’aucun ne prendra la fuite. » Comment prouvez sa valeur si son opposant ne donnait pas sa pleine puissance ?
Réclamer de se battre contre toi, Edge était tentant, mais d’un côté… Pouvait se montrer précipiter dans sa mission, il ne fallait prendre aucun risque pour sa couverture.
« Alors, qui est prêt à ce que je lui ôte la vie ? Ou alors devrais-je quémander de me battre contre celui que je dois protéger pour lui prouver ma force ? » Demanda-t-il alors que ses yeux rubis se posèrent sur la panthère aux côtés du leader.
Perdre n’était pas dans ses valeurs, dans son objectif. C’était excitant d’avoir à nouveau ainsi les regards posés sur lui.
La pièce de théâtre a commencée. Lancée comme une paire de dés aux faces couvertes de symboles grotesques, la farce dévoile son incipit. Chacun y apporte son petit grain de sel. Toutes les gueules s’ouvrent, pour peu qu’elles puissent encadrer les gonades du chef. Tous se font zélés, quand on parle de montrer comme on est loyal. S'il pouvait, Enif pousserait un soupire dépité. Une tête vole, et tout le monde décide de faire des courbettes au chef.
Les panthères des neiges sont connues comme des animaux très dociles envers les humains. Parce qu’elles n’en croisent que rarement dans la nature, elles ne se méfient pas des Hommes. Ne les attaquent pas. 'Paraît même qu'elles sont fidèles et protectrices, une fois attachées à quelqu'un. Comme si, n'ayant jamais été prévenues qu'un humain pouvait être dangereux, les panthères des neiges ne se sont pas données la peine de les craindre.
L’once n’en a cure. S’avance, une fois les tirades et les charades terminées. En silence, le félin brise le cercle. Dépasse son boss, évite le sous-capitaine. Deux billes bleu de glace rivées sur sa proie, Enif se prépare à bondir. La bête est en face de Tsubaki. La queue basse ; les babines retroussées. La panthère pousse un grondement provocateur.
Que la danse commence.
Faye C. Abberline
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Faye C. Abberline
Mar 5 Avr - 19:45
Les grandes trahisons sont toujours effacées par l'histoire
Une sensation de déjà vu. Oui, c’était clairement ça. Voir la tête de Mercredi rouler sur le sol te rappelait celle d’Urie. C’était… Amusant. Alors, ne nous méprenons pas. Si tu n’aimais pas le petit cul de ce con de Mercredi, tu aurais très certainement éprouver une certaine haine envers lui. On ne trahit pas Edge, ce n’était pas envisageable à tes yeux. Tout du moins, le temps que tu saches s’il était la pomme pourrie ou non. Car, après tout, ce n’était encore qu’une hypothèse.
Tu t’étais hâté une fois la réception du message envoyé par Edge. A tes yeux, il ne fallait pas faire attendre sa majesté. Ouais, t’avais vraiment une certaine dévotion, pour ne pas dire obsession, envers le brun. Tu l’admirais. C’était une sensation étrange, comme si l'électricité avait parcouru tout ton corps. Sans mauvais jeu de mots. On rigole beaucoup en disant que si Edge n’était pas la pomme pourrie, tu pourrais aller jusqu’à nier le fait que tu l’ais pensé ou même que tu te mettes à la détester, mais la vérité est bien différente. L’honnêteté te ferait du bien tu sais. Car le fait est que tu le respectes. Pas pour ce que tu penses qu’il est, mais pour sa seule prestance et sa puissance.
Tu souriais doucement tout en regardant la tête de Mercredi sur le sol. Au vu du caractère de ce dernier, il devait le mériter, ne serait-ce qu’un petit peu. Pourtant, ce n’est pas lui qui attirait ton attention. Non, Tsubaki avait choisi de voler subtilement ce rôle. Désirant apparemment une place en tant que garde du corps. Ton ami, car oui, tu le considérais comme tel, avait visiblement autant d’audace que toi.
Cercle formé, toi aux premières loges, tu étais presque prêt à prendre les paris pour la victoire de Tsubaki. Peut-être même crier “C’EST MON POULAIN!”. Et la vérité était telle que tu hésitais même à te proposer. Non, tu allais le faire. Vous saviez que vous étiez très puissants rien qu’à vos faculty, et il te connaissait bien trop pour savoir que tu n’allais pas retenir tes coups. La mort t’excitait énormément, voir Tsubaki ou un autre fils de pute te donnait l’eau à la bouche. Un sourire plus large se traça sur ton visage. Il était sadique, cruel, peut-être même effrayant. Et alors que tu commençais à avancer pour te proposer dans un duel à mort, le toutou se présenta en premier. Intéressant. Tu bougeas pour te placer non loin de Edge, toujours avec cette expression effrayante. Tu étais content, content de voir un chaos aussi savoureux au sein d’un gang si dangereux.
Allez-y nourrissez-le d’un plaisir aussi intense que jouissif.
Il se demandait combien de personne allait se présenter à lui, s’approcher pour en découdre. Les Chili sont connus pour aimer la baston, non ? Ses doigts en train de craquer, ce fut presque déçu qu’il ne vit qu’une seule personne se prononcer, s’avancer. Ce gang serait-il finalement plus mou que les rumeurs les parcourant ? N’y avait-il que le chef pour faire tomber des têtes ? C’est le sang que Tsubaki avait envie de voir couler entre ses doigts. Des cendres s’envoler grâce à ses explosions.
En soi, une logique se présentait, se battre contre la personne qu’il allait devoir protéger, faire couler le sang dans un sourire délicat en coin. C’était le meilleur moyen pour te prouver sa valeur, sa détermination et surtout que Tsubaki n’avait en aucun cas peur de la mort.
Ses yeux croisèrent tes pupilles, ta queue montrant que tu étais prêt à bondir. Le jeune homme savait que sa force n’était pas égale avec la tienne, mais ce n’était pas sa principale qualité. Il n’était pas faible, mais avait toujours plus d’un tour dans sa poche.
« Très bien, Enif. Laisse-moi donc te prouver de quoi je suis capable. » Souffla-t-il pour répondre à ton cri de provocation dans un sourire doux, alors que celui dans ses pensées était psychotique.
Position de garde.
Ses yeux fixés sur toi
Il était prêt.
Viens à lui, ne te retiens pas. Tsubaki était prêt à te réceptionner, à t’affronter. Ce n’est pas lui portera le premier coup, car le second était toujours plus avantageux. Préparer toi à te noyer dans ton sang, il ne te fera aucun cadeau tout comme toi, tu n’allais pas lui en faire.
Il grogne. L’autre accepte la provocation ; prend la pose. Compte-t-il réellement le laisser donner le premier coup ? C’est louche. Tous deux savent qu’une confrontation directe avantagerait l’once. Une histoire de griffes acérées, de crocs perçants, de musculature adaptée à la chasse. Enif devrait réfléchir. Cette forme ne l’avantage pas. Pas pour la réflexion, déjà. Pas pour l’endurance, non plus. Peu d’animaux ; sur Terre comme sur Mars, sont plus endurants qu’un humain. Merde. Il pourrait s’amuser à se battre en forme hybride. Ce serait plus avantageux. Mais aussi affreusement douloureux. Il perdrait le contrôle, à force… Les griffes commencent à gratter le sol rugueux de l’Iron Pepper. Pourquoi s’armer de méfiance ? Au pire, il meurt. C’est la loi, par ici.
Alors la panthère s’élance. Une feinte –rare, chez lui !, avant de tomber sur le côté. Faisant toujours face à Baki, Enif se place sur sa gauche, assez loin pour contourner sa garde. La bête attaque pendant que l’autre se remet en position. Balaie, de la patte droite, vers le mollet du garde du corps. Tant que Tsubaki sera un homme et lui une panthère, Enif sera désavantagé par son allonge. S’il fait mouche, les crocs de l’once s’attaqueront à la gorge du jeune homme. Alors, Tsubaki. Comment dansez-vous ?
Tsubaki Maxwell
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Tsubaki Maxwell
Ven 6 Mai - 21:51
Feat. Chili
Judas
Avez-vous peur de la douleur ?
Sur cette planète, c’était un quotidien de voir le sang couler, joncher le sol de cette couleur acre et cette odeur à en agresser les narines. Si Tsubaki s’était lancé dans un combat, c’était pour l’emporter et non se reculer comme certains lâches qu’il avait déjà vu se défiler.
Oh non, il ne sous-estimait pas la force de son opposant, il fallait être con pour penser ainsi.
Animal VS l’homme, qui allait gagner ?
Quand tu bondis contre lui, Tsubaki s’attendait déjà à ce qu’une attaque frontale ne soit pas l’option principale, se tournant en ta direction, mais la force de ta patte déchirant la peau de son bras.
Tu avais la force en qualité première, Enif. Tsubaki avait la ruse.
Qu’utilise principalement les félins pour attaquer ? Leur regard. Leur odorat.
Lui avait l’analyse du terrain.
Faisant mine que ton coup l’avait fait perdre l’équilibre, il descendit au niveau du sol, chose risqué si tu l’attaquais à nouveau, pour agripper quelque chose non loin.
Il attendit que tu te rapproches, certainement pour l’achever et une fois non loin, il jeta ce que sa main détenait : la terre de la plante à vos côtés. T’aveugler, t’empêcher de respirer.
Juste quelques secondes pour que finalement, ses yeux s’activent et que sa faculty empreigne ton esprit. Un sourire en coin doucement parsemé de malice digne d’un requin.
Comment allait-il te faire souffrir ? Quelle sensation es-tu en train d’endurer ? Alors, qu’est-ce que ça fait de sentir des milles d’aiguilles te transpercer de partout, Enif ?
Je vous le redemande. avez-vous peur de la douleur ?
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T'observe la tête rouler au sol. Démonstration efficace, mais Edge sait ce que tu en penses. Tu lèves les yeux, observe Olivia. Pensée désolée pour ta pauvre collègue dont la charge de travail s'accroît à chaque nouvelle folie meurtrière. Enfin, c'est pas comme-ci Mercredi ne l'avait pas cherché. Ton regard embrasse la sale. Tu t'es posté à ta place, droit, pas très loin d'Edge. Tu captes la terreur, l'angoisse, la gêne, dans les yeux de tes membres. Mais trop peu de dévotion, encore. Le truc, c'est qu'Edge n'a pas encore compris que pour éradiquer la trahison il faut aussi provoquer la fidélité. Régner par la terreur, c'était efficace à court terme, mais s'il voulait une armée de fidèle et non pas de gosses effrayés alors... Enfin. Tu lui livreras le fond de ta pensée plus tard, comme toujours. Mais pas tout de suite. Tout de suite, c'est la terreur qui prime.
