|	Fool me once ; that's one too many

♫ ► — everything was slower.

de par le temps qui file,
de par les jours qui s’éternise tout comme la vie qui devient banale et bancale,
tout était devenu ennuyeux.

de par le manque d’action,
de par le manque de volonté désenchantée,
c’est dans cet instant de vide que tu planes sans direction précise,

mais c’est de feu et de flamme que tu finis par te rallumer alors que ton corps a disparu dans les cendres qu’il allait laisser.

dans ce qu’il avait décidé de ne pas ramener en trophée.

ce fils de pute.
ce fils de putain,
tu te jure,
tu te supplies intérieurement de lui faire bouffer le gazon par les racines alors que tu te trouvais maintenant à l’endroit où tu changerais l’histoire.

de par ta volonté sur la chose,
de par son bien trop grand sourire te décorant le visage,
c’est de noir que tes cheveux sont vêtu alors que tu recroise ton informateur chez les CC

et c’est maintenant face à ce très cher Kokoro que tu te trouves maintenant alors que ta langue de vipère se laisse aller,
attendant le moment parfait pour lui mordre à la gorge.

attend le moment parfait pour le pourrir de ton poison.

|	Fool me once ; that's one too many

♫ ► — and he’s a bit dumb.

que tu te dis,
que tu te murmure dans ton esprit,
dans ton éternelle image que le monde pouvait être bien plus stupide que toi,
tu te satisfais à te savoir en contrôle des choses alors que tu n’avais toujours pas la main sur ce que tu désirais le plus.

mais seul le temps finira par te l’offrir.

de par sa carrure que tu observes,
de ses paroles qui ne pouvait que dire une choses: il attendait tant de toi,
ce fut avec le plus grand des sourires que tu l'observais retourner à sa place et, sans attendre, tu poussa la chaise se trouvant en face de son bureau pour venir t'asseoir face à lui.

appuyant un coude sur son bureau,
ton menton dans le creux de ta main,
tu observes ses nombreuses offrandes d’un œil curieux avant que tu n’entre dans le vif du sujet.



que tu dis en riçannant.


qu'il siffle entre tes dents alors que ton venin s'installa sur ta langue et,
ce fut sans attendre que tu sifflas ta corruption.


que lui offres en cadeau empoisonner.

mais,
jamais tu n'aurais cru, qu'un jour, le poison finirait par se retourner contre toi.

de la bonne et de la mauvaise façon.

|	Fool me once ; that's one too many

♫ ► — you didn’t except this.

de par le cobra ayant croquer,
de par le vile ayant été donné,
ce fut toutefois sans effet que le résultat te saute au visage.

de par ses paroles,
de par ses questions,
de par son hésitation alors que tu devrais déjà l’avoir dans le creux de ta main,
c’est avec un visage beaucoup plus déstabilisé que tu te tiens maintenant face au chef de CC.

de par ton sourire qui s’était quelques peu éclipsé,
de par le fait que tu essaye maintenant de ne pas perdre la face,
c’est avec un petit rire forcé que tu lui réponds alors que ton cerveau fonctionne à vive allure et c’est après quelques secondes que tu prends la parole.

tu n’allais pas perdre, non.
tu ne perdais jamais.



que tu barratine en faisant de grand geste avec ses mains,
usant de l'exagération corporelle à son avantage.


que tu ajoutes,
ton expression prenant un sérieux froid à la mention du chef des chili.

c'est que tu pouvais presque encore sentir la foudre te traverser le corps
et tout ceci te rendait plus de frébrile.


que tu ajoutes, lui offrant le poid de sa propre décision,
.

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♫ ► — and your laugh disappears.

comprenant bien vite,
comprenant trop bien,
ta rumeur n’avait pas fonctionné.

de par la surprise que cela te provoque,
de par le frisson que cela te procure dans le dos,
tu te questionnes sur tout ce qui venait de se dérouler.

avais-tu oublié quelque chose ?
avais-tu dis quelque chose qui ne fallait pas ?
pourtant, ta formulation était la même,
ton pouvoir était activé,
mais aucun résultat t’avait été offert.

rien,
le vide,
des paroles qui n’était pas le fruit de ton action
et maintenant tu faisais face à ce chef,
à cet ami qui doute,
qui te questionne et qui ose alors que tu devais être celui qui avait le contrôle.

et cela te rend de mauvaise humeur.

de par ton manque flagrant de contrôle,
de par son doute qui n’avait aucun droit d'exister dans ton monde,
c’est sans sourire que ton visage se transforme alors que tu n’as pas le choix de ne plus faire le pitre.

il était temps que tu sors tes couteaux les plus tranchants.
ceux que tu avais caché depuis si longtemps.

ceux de la vérité franche.



que tu dis,
sans censure.


que tu finis,
ton regard visé dans le sien,
l'inexpression de ton visage dévoilant le bordel résidant dans ton être.