PeriodeHARD

Mars, 2022 ▬ A l'origine, ils étaient cinq. Cinq amis pour la vie, cinq amis pour la mort. Et ils se sont fait une promesse : celle de renverser le gouvernement, et être libres. Mais après la création de leurs gangs respectifs, les évènements les plus traumatisants ont définitivement bousillé leurs rêves face à leur ennemi juré et commun : Le Staff.
C'est ainsi que s'entretient le chaos sur Venus Ville, la capitale de Mars. L'anarchie, le désordre et les promesses de mort...

Bienvenue sur AL
Là où tous les coups sont permis, même tuer
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(end) le quadrille des crépuscules (libre)
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Pie in Crust
Zachary Hopkins
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Zachary Hopkins
Dim 30 Jan - 16:37




Pan pan dans le noir.
Feat. trop de monde



Combien de temps durait cette soirée, je ne saurais dire. Dans tous les cas, je me faisais chier et j’étais relativement tendu. Il faut dire que ma cible était à quelques mètres de moi et je n’avais pas l’autorisation de lui en foutre une entre les deux yeux. Cement Juice avait refusé ma proposition de tout faire brûler, une petite allumette oubliée au coin d’un rideau, quand je lui avais fait part de ce bal. Il avait été ravi de l’information, mais il avait d’autres projets, avait-il dit. Je vous jure que si c’est quelqu’un d’autre qui bute Pheme, il va m’entendre le con. La seule chose qu’il m’avait demandée était d’être présent et de gratter la masse d’information sur les convives.
Alors j’étais venu sous mon titre de Nox, habillé d’un catogan kimono noir et or et d’un masque intégral en forme de crâne plaqué or. Je préférais largement qu’on me reconnaisse sous mon titre de nettoyeur que mon titre civil de livreur de pizza. Ça n'avait pas le même impact. Et au moins, on ne venait pas me faire chier dans mon coin avec ma coupe de champagne. Enfin mes coupes, car à l’heure actuelle, je dois avoir bu une demi-bouteille d’ennui.
Il n’y avait pas grand-chose comme information à glaner. Ça discutait de façon hypocrite, ça draguait ou faisait sa bitch au maximum en se pavanant dans des tenues hors de prix. Après, j’aurai peut-être dû entamer la conversation, mais je préférai me faire discret et observateur. Non, en fait, j’avais la flemme et je faisais la gueule. Je maintiens qu’une petite bombe sous le buffet aurait donné un second souffle à Venus ville.

Sirotant mon énième verre en me foutant cordialement des conséquences, je fus surpris lorsque la lumière s’éteignit. Un peu plus quand la panique s'installa auprès des convives. C’est bon, ce sont juste les plombs qui ont sauté, on n'est pas dans un avion en train de se tomber non plus.

Bruit de coups de feu.

Bon. On peut paniquer maintenant. Cette coupure de courant était prévue et je devinais presque qui avait fomenté ça. Me faisant discret, je déterminais d’où venaient les coups de feu et par la suite, les bruits de pas calmes et déterminés qui sortaient de la pièce. Si c’étaient ces chiens de Black Rottenegg, ils allaient chercher à fuir sans encombre. Je suivais donc les bruits les moins chaotiques qui se dirigeaient vers les vestiaires avant de m’arrêter. C’était dangereux de jouer au curieux et je n’étais pas là pour ça. Alors quand j’entendis les gardes arrivés, je leur insinuai que j’avais entendu des bruits étranges de l'autre côté. Je ne suis pas très fan de ce groupe, mais vu qu’ils travaillent pour le STAFF je leur dois bien ça. Après ce petit coup de pute aux gangs, je revins dans la salle en espérant qu'on ne me demande pas de protéger quelqu’un.

Résumé:

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Seth O'Leary
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Seth O'Leary
Dim 30 Jan - 19:09
Le quadrille des crépuscules
Who should i kill for this ?

La soirée se passe exactement comme prévue. Les invités arrivent, le discours commence. Il te regarde parler, Pheme, le sourire au coin des lèvres et la flûte entre les doigts. Tout ça, cet empire, tu ne le dois qu’à toi. Lève son verre pour trinquer quand tu finis ton discours, ricane aux murmures qui traversent la foule de ton entrée avec Naos.

Tout fonctionne.
                                Comme prévu.

La fête continue. Son bras autour des épaules de Céleste, il prend une gorgée de son verre, rit aux blagues de certains amis. Il boit, mais il ne veut pas être saoul. On ne sait jamais. Ses yeux dorés que l’on perçoit derrière le masque argenté vont et viennent sans arrêt, ses doigts desserrent la cravate, décoiffent ses cheveux. Être un pingouin, ça va bien deux minutes.

Et tout aurait dû bien se passer.

Le chaos.

Alors que les choses semblent bien se dérouler, les lumières s’éteignent subitement. Froncement de sourcils, Seth n’attend pas ; il se rue à son ordinateur portable rangé dans un coin derrière l’estrade.

Coup de feu.
Sa tête qu’il lève brusquement, surpris.
Les cris, la panique.

Second coup de feu.

Putain.

Il ouvre le clapet, pianote sur le clavier.
Encore, encore, plus vite.

- Putain, putain, putain.

Il entend les pas précipités, ceux que la terreur est en train d’emporter.
Et les mots inscrits sur son écran qui l’emportent de colère.

- BORDEL ! Déconne pas !

Les poings serrés, car il faudra forcément passer par un autre trajet. Soupire, détend les doigts. Et à défaut, il pianote encore, plus vite, toujours. Entre dans le système de sécurité du Stardust.
Appuie sur “entrée”.

Et enfin.
Le vrombissement faible des générateurs de sécurité.
Les cliquetis à toutes les entrées.

Mais ce n’est pas fini. Il ferme son ordinateur qu’il prend sous son bras, jette son masque à terre, dérangé par son contact sur son visage, puis sort de sa cachette. Il fait encore noir, mais il a une idée d’où se trouvaient les siens. Il y avait Pheme, Winter, Léto.

Ses yeux commencent à s’habituer à l’obscurité, il vous retrouve et se précipite à vos côtés.

- Pheme ! Tout va bien ?! Qu’est-ce qu’il vient de se passer putain de merde ?!

Ses yeux te parcourent, remontent à ceux de ses amis. Vous n’y voyez rien, putain.

- Les générateurs primaires sont presque à plat, je n’ai pas pu remettre le courant depuis mon laptop. Il le resserre sous son bras, regarde autour de vous avec méfiance. J’ai exécuté le code des situations d’urgence, toutes les entrées et sorties sont verrouillées, les caméras infrarouges sont en marche. Personne n’entre, personne ne sort.

Il serre les dents, observe autour de vous.

- Je vais descendre mettre en marche manuellement les générateurs secondaires, ça devrait nous remettre le courant. Léto, tu restes avec Pheme, fais ton boulot et mets-la à l’abri. Je veux pas qu’un seul bâtard la touche. Winter, viens avec moi.

Ses yeux plissés, son corps qu’il redresse. Combien de chiens galeux, hormis ceux des gangs ennemis, sont dans les galeries ? A quel point était-ce prémédité ? Comment des armes ont-elles pu passer les portes d’entrée ?

Des questions auxquelles il faudra répondre plus tard.

- Allons-y.

Et vous vous mettez en route au travers de la foule, le pas sûr de ceux qui jouent à domicile.


-----------------------------

Résumé :

- Seth fait sa vie de PIC pendant le quadrille, la vie est belle, il boit pas trop, il profite
- Le courant est coupé et il se précipite vers son ordinateur en voyant que les lumières ne se rallument pas direct
- Le générateur primaire de l’établissement n’est pas assez chargé pour remettre le courant, il se contente donc de rediriger le peu qu’il en reste pour verrouiller toutes les entrées et les sorties du Stardust
- Il retrouve Pheme, Léto, Winter (et Reiko, du coup ?)
- Annonce qu’il a tout fermé, que les caméras infrarouges sont en marche et qu’il va aller mettre le générateur secondaire en route pour remettre le courant
- Demande à Léto de faire gaffe à Pheme et se met en route avec Winter pour le sous-sol où se trouvent les générateurs

La tenue et les cheveux ressemblent à ça et le masque

Feat le peuple | #CaVaFaireToutNoir #Trame


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Athénaïs Valden
Dim 30 Jan - 19:22
Tu pensais pouvoir débattre sur cette fête tranquillement, comblé cette solitude qui commençait à peser sur ton cœur sauf que le « mais » que tu avais observé se produit bien plus vite que tu ne le pensais.

La salle dans l’obscurité total, impossible de lire sur les lèvres à présent, seul quelques vibrations te firent doucement soupirer, tu avais quand même bien fait de travailler sur tes autres sens après ta première mort… enfin deux mois de travail pour ressentir que quelque chose était tombé ce n’était rien comparé à d’autres qui doivent s’avoir ce qu’il se passe dans cette salle sans sa lumière d’homme.

Tu bouge à peine de ta place, te rapprochant de la table pour te maintenir en réalité, tu ne sais pas si sortir ton téléphone et une bonne idée… C’est dans ces moment-là que tu aimerais avoir perdu peu de ton audition sauf que tu sais parfaitement que la panique s’installe, nullement besoin de paniquer de toute façon notre hôte d’une façon ou d’une autre va remettre le courant en espérant que rien de grave ne soit arrivé.

Tu ne peux qu’attendre Anna, tu déteste être un poids mort sauf que tu n’as reconnu personne à travers les masques, que tu enlève d’ailleurs, le bal est fini au vu de la situation.

Spoiler:
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Caelus Moore
Dim 30 Jan - 20:30

Le quadrille des crépuscules

ft. les bg

Avant la coupure de courant

Vous parlez, vous parlez. Caelus vous observe, tour à tour, surtout toi, Mercredi. Ta présence ne lui plaît qu’à moitié, heureux de te voir, mais curieux de ton arrivée. Après des semaines, des mois, te voilà qui reparaît. Pourquoi maintenant, pourquoi ce soir ?

Tu réponds, Cosmo, son sourire s’étire en coin. Il n’y a rien sur son visage qui puisse te rappeler l’avant-veille, sa fragilité, ce moment passé. Non. Le renard est là, plus décidé que jamais.

- Tout est parfait. Rien ne peut ébranler les AS, tu le sais.

Et ta voix qui résonne, son regard au coin de l'œil. Etonné de voir que tu ne viens que maintenant, après t’être pavanée plus tôt au bras de son propre frère. Mais il ne se fait pas l’affront de te répondre, Pheme, se contente de te suivre des yeux, rire au moment d’insulter son garde du corps.

Il pourrait continuer, vous savez ?
Alimenter ces conversations, jouer le rôle qu’il se plaît généralement à endosser. Maître de soirée, charmante compagnie, séducteur invétéré. Il pourrait, oui.

Mais tout cela, sans compter le frisson qui lui parcourt l’échine.
Sans compter le souffle, la voix qu’il reconnaîtrait entre toutes.

- Je vois que ça cherche encore d’autres proies.

Et le monde qui s’arrête de tourner, sa respiration coupée une seconde, puis deux. Il se retourne, Caelus, et quand il te voit… C’est son cœur qui implose, explose ; de joie, de soulagement, de rage, d’envie, d’agacement.

Tu es là.
Tu es bien là, n’est-ce pas ?

Vêtu de ton écrin de pureté blanche, endossé dans ce déguisement d’innocence, il te reconnaîtrait. Les yeux fermés, les mains coupées, avec pour seul sens que ton odeur. Il te reconnaîtrait dans les flammes des enfers, lors d’une éclipse solaire, peu importe.

Astaroth.

Sa poitrine se soulève, il vous fait face le temps de murmurer :

- J’ai à faire.

Puis ses pas vous quittent. Mesurés. Mais déterminés. Traverse la foule d’invités, pousse de l’épaule contre certains, jusqu’à ce que finalement ses doigts s’agrippent à ton poignet. Tu es là. C’est bien toi.
Et il ne compte pas te lâcher.

- On a à parler, toi et moi.

La voix rauque et basse, juste avant qu’il ne te tire. Pas question de protester, tu le sais, tu le connais. Vous fendez l’espace, tracez votre route au-delà des regards, au-delà des questions, il s’en fiche, il n’y a plus rien, plus rien d’autre que toi.

Tu es là, putain.

Sa mâchoire contractée, ses doigts resserrés sur ta peau bientôt marquée. Il pousse brusquement la première porte qu’il trouve, celle qui mène aux toilettes. Deux personnes sont là, il les foudroie du regard.

- Sortez. Maintenant.

Et ils obéissent. Peut-être car ils le reconnaissent, peut-être parce qu’il sait se rendre terrifiant. Toujours est-il qu’une fois seuls il verrouille le loquet, te tire pour te plaquer à la porte tout juste fermée. Une main juste à côté de ton oreille, le corps tendu à l’extrême te surplombe. Son menton se baisse, ses yeux te parcourent. Tu es beau à en crever, tu le sais ?

- Tu n’aurais pas dû venir ce soir.

Parce que tu risques d’en attirer d’autres. Parce que c’est trop dur d’être si près de toi. Parce que tu vas gâcher son humeur de la soirée. Parce que si les AS savent que tu as annulé les faculties de tous, qu’en est-il des autres gangs ? Tu n’es pas en sécurité, nulle part ailleurs qu’à ses côtés.
Alors,
           finalement,
                                   peut-être que tu as bien fait.

Sa main libre qui se lève, ton masque délicatement pris entre deux de ses doigts. Le temps est suspendu, son souffle aussi quand il te regarde. Et son visage qui s'approche, lentement. Tout de blanc vêtu, là où lui n’est que de noir, il te retire ton masque.

- Cesse de me hanter.

Murmure écrasé à la frontière de vos lèvres plaquées. Il perd tout en toi, Astar. Sa retenue, sa respiration, ses résolutions. Ton masque tombe par terre, sa main s’accroche à ta nuque. Et vos bouches, vos lèvres qui se cherchent et se trouvent. Encore. Toujours.

Comme une drogue dont il voudrait ne jamais se sevrer.


----------------------------------

Résumé :

- Cela se passe AVANT la coupure de courant
- Caelus répond à Cosmo, Kaith et Mercredi
- Ecoute Pheme quand elle arrive mais se contente de ne pas répondre aux provocs tmtc
- Se fait provoc par Astar qui passe derrière lui
- Il ne l'a pas vu depuis qu'il est parti en scred de chez les AS sans même le prévenir, of course il laisse son groupe d'interlocuteurs et part à la poursuite de son (ex)amant
- Il l'attrape et finit par le coincer aux toilettes, il l'embrasse

J'attends vos reps d'après la coupure pour faire la mienne ✨

Tenue : Vêtements plus ou moins & masque

Faniahh/Lala/Cyalana


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Cosmo O. Blum
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Cosmo O. Blum
Dim 30 Jan - 20:57
a h c'est la merde
pv. les fêtards
Les mots s’échangent.
Pheme débarque.
Fidèle a elle-même.

Elle les accueils.
Grand sourire sur le visage de Cosmo.

« Merci bien très chère. »

Et elle s’éloigne.
Caelus s’éloigne aussi.

Cosmo l’a vu.
Vers qui il se dirige.

Ca ne le surprend pas.
Ils en ont besoin de ce moment à d e u x.

Et d’un coup.

Tout est noir.

Même pas le temps d’en dire plus.

Le coup de feu retenti.

La douleur.
Il la ressent.

Touche l’endroit qui le fait souffrir.
Ca le prend aux tripes.

Il le sent.
Ce liquide chaud.

M e r d e.

Reflexe.
Il s’éloigne rapidement de sa zone.
Ignore t o u t.
Se protège.

Se place derrière une table du buffet.
Arrache un tissu de sa veste pour s’en faire un bandage improvisé.

Serre les dents.
Combien de temps il va bien pouvoir tenir ?
Lui-même ne le sait pas.

Il observe.
Ses yeux s’habituent à l’obscurité petit à petit.
L’agitation est .

Il se déplace a nouveau, se planque derrière une autre table.
Cherche du regard les personnes de son gang.
Difficile de se repérer dans le noir.

Il se fit à son i n s t i n c t.
Prêt à frapper la première personne qui osera attaquer.
Car Cosmo est loin d’être désarmé.

----------------------------------

résumé :
- Cosmo s'est pris une balle au niveau des tripes, il douille ok - du coup il opte pour une manoeuvre d'urgence, il va se planquer derrière une table, se fait un bandage improvisé grace a son habit (rip la belle veste) & se déplace encore une fois pour être sur de pas avoir été suivi, reste sur ses gardes, prêt a attaquer au moindre mouvement

masque : www

+ niveau tenue il porte une chemise noir couverte par un long manteau rouge + un pantalon rouge : les deux aux motifs assortis dorés
hrp : ras


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Winter Wood
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Winter Wood
Dim 30 Jan - 22:09
encore des dépenses youhou
pv. le monde
Alors qu’il continue sa discussion.
Il la voit arriver.
Bien entendu, toujours fidèle a elle-même, droite, fière, une reine.
Il hausse un sourcil a ses mots.

« A vrai dire, nous ne nous sommes pas encore présentés nous-même ce serait compliqué. »

Il penche un peu la tête.

Et là.
C’est le blackout.

Eh merde quoi.
Il le savait que ça allait être de la merde.

Il entend ce coup de feu.
Par réflexe, le temps que ses yeux s’habituent se contente de demander :
« Eh ca va ?? »

C’était pas loin.
Que Pheme aille bien c’est la priorité.

Et a côté ils les entends.

Le son des verres qui s’écrase sur le sol.
Le son de cette fenêtre qui se casse.

Ehmerde ca va encore faire des dépenses.
B l a s é.
V r a i m e n t.

Quelle vie.

Et Seth qui débarque.
Ah.
Enfin quelque chose de positif.
O U I.
Agir.

Ca lui évitera de compter les futurs dépenses aux sons qu’il entend.

« Ok je te suis. »

Le plan est cohérent.
Il ne peut pas désapprouver.

Le voilà partie avec Seth en direction de générateurs.
Winter s’accrochant à un bout de tissus pour ne pas le perdre.

----------------------------------

résumé :
- Winter répond a Pheme en mode : "en vrai on se connait pas encore tant que ca avec Reiko-"
- La nuit s'installe dans la salle : il entend le coup de feu s'assure que Pheme va bien & constate la casse aux sons et a déjà le seum pour les dépenses futurs
- Décide finalement de suivre Seth car o u i il a une bonne idée & en plus ca l'aidera a ne pas penser au carnage ok

Il est habillé en costard cravate classique + il a un simple masque "loup" noir



pour rappel : Winter n'ayant plus sa faculty, il a repris son âge d'origine en terme d'apparence : il ressemble donc à David Tennant (cf : gif du rp)


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Luca Astyan
Dim 30 Jan - 22:26
J’écoutais, je souriais, je me laissais charmer par la conversation et la voix de mon interlocuteur. Lâcher prise était compliqué, mais c’était peut-être un état d’esprit à atteindre. Et comme le bel homme avait de la conversation, cela facilitait un peu la tâche.
Un rire léger m’échappa quand le compliment sur les yeux m’est retourné. Je notais néanmoins des informations intéressantes : il avait vu l’océan et venait donc de la lointaine Terre. Une question me brûlait les lèvres et les traversa :

- Avez-vous déjà vu des baleines en vrai ? … Ma question peut paraître étrange, mais c’est pour un ami.

Cale m'en avait parlé tellement souvent… J’avais donc pensé à lui quand il avait été fait mention de l’océan… D’ailleurs que pouvait bien faire le roux ce soir ?
Toujours dans la légèreté du flirt qui s’installait, je me permettais de m’interroger sur son identité :

- Et comment puis-je vous appeler ?

Quelqu’un s’approcha, une silhouette qui me disait quelque chose. Je me reculais juste un peu, pour mettre fin à cette proximité que j’avais eue avec cet inconnu.

Et soudain, l’obscurité.

Ma main se serrait sur mon verre tandis que l’autre attrapait le poignet du blond au masque délicat, comme un réflexe pour s’assurer de sa position. Je sursautais quand des mains se posèrent sur mes épaules et qu’une voix connue me rassura dans le silence pesant. Silence rapidement troublé de murmures puis de coups de feu me faisant de nouveau sursauter et, cette fois, lâché mon verre qui s’écrasa au sol.

Ma sécurité ? Je me mordais la lèvre inférieure. Je savais que je ne servais à rien sans faculty. Aucun moyen de me défendre. Aucun moyen de riposter. J’avais effectivement besoin d’être protégé. Cependant…

- Ce n’est pas moi que tu dois protéger, Ephe, mais j’apprécie.

Surtout que… Cette sensation, cette alerte interne.

- Ne restons pas là.

Car l’immobilité était dangereuse.
Tout comme se frayer un chemin dans le noir, dans une foule paniquée.
Un pas, deux pas.
Puis je me tournais vers l’homme que j’avais attrapé.

- Désolé, je vous ai embarqué avec moi…

Risquais-je quelque chose avec lui ? Je me le demandais seulement maintenant.
Et pourquoi m'être retourné ? La présence rassurante d’Ephemer à mes côtés m’avait-elle rendu confiant ? Elle ne m’empêcha pas de percuter quelqu'un.

- Ah ! Pardon !

Réflexe de politesse, même en ne sachant pas qui j’avais bien pu percuter. Ne me doutant même pas que c’était toi.

Résumé :
- Luca continue de flirter avec Aaron/Eden. Il lui demande s'il a déjà vu des baleines (cc Cale) et enfin son nom.
- Ephe s'approche mais ne le reconnait pas.
- Le noir.
- Reconnait Ephe à sa voix et s'accrophe à Aaron/Eden.
- Panique intérieure, ne veut pas de la protection d'Ephe, parce que c'est Cosmo qu'il doit protéger, mais accepte car il sait qu'il est faible.
- Bouge de là où ils sont.
- Bouscule quelqu'un après s'être retourner pour dire un truc à Aaron/Eden, sans se douter que ce quelqu'un est Kaith.
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Damien Sanchez
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Lun 31 Jan - 5:01
Désastre
Putain quel con
quel imbécile, quel... j'ai plus les mots et franchement, je crois que j'ai mieux à faire que continuer de m'insulter.

La tension dans mes veines me conduit à des actions imprudentes comme braquer trop vite et de presque manquer d'empaler un poteau de fer dans la carrosserie. Heureusement que j'ai encore un peu de réflexe malgré mon incapacité à faire le vide dans ma tête pleine de soucis.

Je m'empresse de trouver ce foutu Stardust de mes deux sur mon foutu GPS de merde. Je suis tellement inquiet que j'ai mal tapé le nom et je me suis retrouvé dans une impasse. Bordel de bordel de merde.
Je suis chauffeur de taxi ou un pauvre mec qui ne connaît plus les bases de son métier ?!! J'enchaîne les erreurs et pourtant, je me sens déjà un peu moins bouillonnant que je l'étais au départ.

Il a dit Phème.
Phème, c'est la cheffe des PIC, dont techniquement, son quartier est plus au sud que ma position actuelle. Cette zone m'emmerde puisqu'elle a la particularité de parcourir Venus Ville en demi-cercle, entourant presque les autres secteurs.

Le Stardust est finalement devant moi. Difficile de le rater. Enfin...
Dans la précipitation, je fais crisser les pneus à l'arrivée contre le bitume envoyant des projectiles de plastiques et de cannettes vides à proximité.
Pas de doute, il est forcément là-dedans.
Je bondis de la bagnole en laissant la portière ouverte, prêt à y jeter Kokoro.

Et faut croire que le karma me déteste vraiment car la porte principale refuse de s'ouvrir, quand bien même j'essaye comme un forcené de la faire bouger avec mon épaule. J'abandonne assez vite, tout ce que je vais gagner c'est un os cassé ; ce n'est vraiment pas le moment.
Je prends un petit moment pour scruter mon environnement au peigne fin, afin de trouver une autre issue qui me conduira jusqu'à Koroko. À moins de monter sur le toit ou de trouver une issue de secours, je reste sceptique.

Ce que je vois par la suite me semble inespéré, comme si le trou béant dans la fenêtre attendait seulement que je le découvre. Vu l'état du verre amassé à l'intérieur, j'en déduis que c'est quelqu'un qui a cherché à y rentrer comme moi, plutôt que d'en sortir.
Je m'introduis prudemment à mon tour, m'efforçant à ne pas marcher sur les débris de verre, ce qui pourrait me blesser ou encore, trahir ma position.

Il fait sombre à l'intérieur de l'hôtel, résultat d'une visible coupure de courant. Je le hèle encore et encore, en vain.
Ma détermination ainsi que la peur faisant frissonner tous mes muscles refusent de me faire abandonner. Je suis venu pour le ramener, je le trouverais.

Je sors mon Comm et appelle Kokoro. Je n'attends pas particulièrement une réponse, mon geste est dirigé dans l'objectif de le retrouver parmi la cohue en me guidant avec sa sonnerie. Enfin, ça aurait pu être possible si tout le monde rendait les armes le temps que je le distingue.
C'était trop leur en demander que de la boucler, sérieux ? TAI SEZ-V OUS !

Abdiquant le fait que je ne pourrais obtenir le silence total, je me résigne face à ma seule solution : tendre l'oreille au maximum. Je circule entre toutes les pièces possibles et inimaginables, maudissant le foutu ingénieur qui eut l'idée de construire un bâtiment d'une telle envergure. Putain dans quelques années ça deviendra un monument au vu de sa taille exagérée.
Au courant de mes déplacements, les bruits alentours deviennent plus tenus faisant place au début d'un son familier : sa sonnerie !

Il est là. Ma respiration se bloque comme si l'intégrité de mon système interne avait cessé de fonctionner.

- Kokoro !!!

Il ne me faut pas plus d'une microseconde pour que je plonge vers lui, mort d'inquiétude. Mon ami est en sang, une dague dans l'épaule. Ma main passe sous sa tête, l'installant de sorte à ce qu'il ne se brise pas la nuque, tandis que l'autre cherche son pouls.

- Hé Kokoro, c'est moi, c'est Damien... tu m'entends ?

Vu l'état lamentable dans lequel je le ramasse, je ne m'attends pas à une réponse immédiate. J'occulte tout autour de moi ou plutôt, je suis tellement en hypervigilance que j'oublie les informations visuelles immédiatement après les avoir eues.

Je vérifie son visage et sa poitrine à tâtons, m'assurant qu'il n'a pas collectionné un autre objet tranchant dans sa peau.

- Il y a mon taxi dehors, je vais t'emmener aux urgences.

Je ne lui laisse pas le choix. D'ordinaire, on ne déplace pas un blessé, cependant, au vu des circonstances et des tendances actuelles, mieux vaut ne pas compter sur leur rapidité.

Qu'est-ce qui se serait passé si je n'étais pas intervenu à temps ? Est-ce que la personne qui lui a enfoncé le poignard va chercher à recommencer, venir finir le travail ? C'est tout autant de schémas négatifs qui tournent en une boucle infernale dans ma tête, se couplant à mes émotions exacerbées qui me rend obsédé par ce qui pourrait éventuellement arriver.
Ma logique a cédé sa place à ce moment.  

- Putain mais qu'est-ce qui t'a pris ?!

J'ai tellement peur que je me mets injustement à l'engueuler. Il ne pouvait pas seulement passer une bonne soirée avec ses potes s'en s'attirer les foudres de quelqu'un ?

C'est seulement maintenant que j'intègre la présence de Jay. Il semble se battre avec un gars mais rien ne me confirme que ce soit avec le présumé agresseur. Je sens d'autres personnes autour de moi et notamment les Banana Bread dont Evans avec un pressentiment pesant que les miens sont en danger.

Je me mords fortement les lèvres pour compenser tout le stress qui m'anime.
Je ne peux pas les aider et encore moins demander la leur, ce serait compromettre ma couverture et je suis certain que Cosmo me tuerait pour avoir été assez imprudent au point de mettre mes émotions personnelles avant mon devoir attribué dans le bien collectif.

Faut que je parvienne à le soulever pour l'amener en sécurité car avec ce qui vient de lui arriver, je suis face à un Kokoro sacrément émasculé.

Le temps est compté au même titre que je ne sais pas moi-même sur qui compter.
Et si une aide éventuelle était malveillante ?

résumé:

Intrigue


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Mar 1 Fév - 7:26
Bal masqué
Alors qu'il commençait la conversation avec un étranger, surement d'un autre gang. Il se calma un peu, jusqu'à qu'il voit ce qui peut égailler de plus belle sa journée.

Kokoro.

Pourtant tout de suite après les lumières était éteinte .... Il n'aimait encore moins ça jusqu'à qu'il entend un grognement et un bruit qu'il n'aimait, la pression de la main de Kokoro se fit moindre, sans attendre, quand il voit que Kokoro allume son portable, l'ancien bras droit des Carrot Cake voit une ombre derrière son bien aimer.

Sans attendre,il fout un coup de poing dans le but de plaquer au sol l'agresseur de ce dernier. Grognant aussi de mécontentement. C'est là qu'il fut surpris par des coups de feu. Ses sens d'alerte s'affolaient.

— Bon sang, quel ko. Kokoro tu vas bien ? Envois un message a Kaith disant de nous rejoindre tout de suite ! D'autre de notre gang sont ici ?  

Disant à l'agresseur.

— Toi, tu vas pas t'en sortir indemne.  

Puis là il entend la voix de Damien, Jay arqua un sourcil dans le noir en maintenant fermement sa proie. Ne sachant pas ce qu'il se passe.

— Damien tu vas bien aussi ? Met Kokoro a l'abri, je tente de maitriser l'agresseur, mais attention à vous ! Je ne sais pas combien ils sont !

Résumé :

– Vois l'arrivée de Kokoro et se calme
– Les lumières s'éteignirent, il n'aime pas ça
– Sens que la pression de la main de Kokoro change et entend un grognement
– Fous un coup de poing à l’agresseur de Kokoro et tente de le plaque au sol,pour  le maitrisant.
– Demande a Kokoro d'appeler Kaith et tous les CC à les rejoindre en demandant s'il va bien et menace l'agresseur.
- Demande a Damien en l'entendant s'il peut s'occuper de Koko mais d'être sous ses gardes.


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Kokoro Sarutobi
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Kokoro Sarutobi
Mar 1 Fév - 21:19
feat les bgs
Le
bordel
Tu te diriges vers Jay
  Mais très vite
Kokoro remarque qu'il n'est pas tout seul
 Une grimace
Puis une main qui se pose sur l'épaule
 De Jay

...

Puis d'un coup
Les lumières coupent
  Un mauvais pressentiment
Une douleur vive
 Qui se plante dans ton épaule
- Putain
  Kokoro n'a pas vraiment le temps de réagir
Qu'il croit voir Jay valser une personne à terre
 Tu retires la lame de ton épaule
Puis la garde bien au chaud dans la poche de ton costard
  Ensuite, tu n'attends pas plus longtemps pour envoyer des messages à Damien
Car, il est ici
 Mais
Tu ne sais pas
 
 Directement
Il pense à ses membres
 Aaron, Anna, Kaith et Damien
 Et toi Jay
Tu vas bien
   Une grimace
Horrible s'affiche sur ton visage
Car
  Tu as peur pour Jay
Et pour les autres
- J'ai juste reçu un coup à l'épaule rien de grave et toi ? Tu n'as rien ..
Il se retourne vers toi
  Essaie de te toucher le dos
Mais hélas, il ne voit strictement rien
Alors il s'exclame
 - Donne-lui un dernier coup puis on s'en va retrouver les autres d'accord ?
Tu n'as pas intérêt à dire
 Non
Parce que tu n'as pas le choix
   Kokoro se fait surprendre
Par les appels de son garde du corps
L'idée est de mettre le son à fond
 Pour qu'il puisse se repérer mieux
Après trois appels
 Voici enfin Damien

    Puis
L'attitude de son ami le fait rire
   Il lui donne un léger coup à la joue
Tout en lui disant
- Ce n'est pas une dague qui va me tuer

Il lui parle d'un taxi
  Ses yeux s'écarquillent
Hors de question de partir
 De cette manière
De laisser ses membres derrière lui
 Non
- Damien et Jay , ensemble on va retrouver les autres ils ne doivent pas être loin de nous
 Avant ça
Tu sors de nouveau ton téléphone
  Et appelle Kaith
 En mode absence
Ensuite tu le glisses à nouveau dans ta poche
  Pour ne pas te faire repérer

  Alalalalala
Damien comme dans son habitude
T'engueule  
  Sérieux
Ce n'est pas le moment
Mais
 Mais ça te touche
 Beaucoup
Mais tout de même
- Tout va bien, je ne suis pas mort .. Juste blessé puis tu me connais il m'en faut plus

   À nouveau
Kokoro se retourne vers Jay
  Il s'accroupit comme il le peut  
- Jay assomme le ça suffira
Tu sens la douleur
 S'intensifier
Tu te mords la lèvre
  Quelle douleur
Mais tu préfères ne rien dire

bettyleg

Résumé :
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La Mairesse
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La Mairesse
Mar 1 Fév - 22:28

JE SUIS LE "QUI" QUAND VOUS CRIEZ "QUI EST LÀ ?"



L'heure est aux règlements de comptes, sous l'égide de la mort.
Que sonne le glas de votre lente agonie,
sous les cris barbares de vos ennemi.es.



La lame vole.
La lame s’enfonce.

Et tout proche, deux poids tombent sur le sol, deux corps.
Le bruit ambiant masquant légèrement cette sentence auditive, il parvient pourtant à l’oreille des trois hommes.

Les minutes s’égrènent, elles vous semblent i n t e r m i n a b l e s.

L’ancien second le sent passer, ce coup en pleine figure.
Le garde du corps se retrouve plié en deux, attrapé par derrière ; il ne l’a pas vu venir, cet assaillant qui cherche à le neutraliser.

Et puis…
Le chef des Carrot Cake sent cette présence toute proche.
Proche et rapide, la lame pourfend l’air, fonce vers le cœur du leader.  
Entendant cette voix à lui glacer le sang.

« Viens rejoindre tous tes frères morts au combat Kokoro »




-----------------------------

Instructions hrp :
- Damien est un temps sonné mais il peut aller aider Kokoro car il arrive à repousser son assaillant
- Jay après son coup sur le visage est désorienté et frappe quelqu’un d’autre
- Kokoro tu peux réagir directement en sentant cette lame arriver vers ton cœur.

 


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Ceres Montgomery
Mer 2 Fév - 9:15
05
Dancing Bears, painted Wings, things I almost remember. And a song someone sings

Un sourire habilla ses lèvres maquillées, camouflées derrière son masque insipide. C'était derrière une stature impeccable que Ceres déguisa sa nervosité, dans l'immobilité la plus totale qu'elle sentit un courant froid grimper le long de son échine. La gorge serrée. Et tout à coup, l'obscurité.

Un bond dans la poitrine, ses sens à l'affût, mais les bruits fusent et rien ne semble clair. Le vœu de Cosmo lui déchire l'intérieur, le système nerveux en alerte, un vertige la prend. Le danger guette. Elle distingue clairement la voix de son interlocuteur qui claque contre ses oreilles, et dans la précipitation, une impulsion qui la traverse, elle se baisse sur son instruction.

Elle ne voit pas son assaillant ; mais un corps fonce sur elle, et son seul réflexe fut la fuite en avant.

Spoiler:

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nouvel an

winter








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Black Rottenegg
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Reiko Stone
Mer 2 Fév - 13:10

le quadrille


L’homme ne dément pas les propos de Rei, lui retourne la question. Son malaise est si apparent que ça ?

« Je ne connais pas grand monde ici… Disons que je me sens pas vraiment à ma place. »

Elle lui sourit derrière son masque, remarquant de nouveau ses traits tirés. Alors, elle sent son cœur s’attendrir, s’adoucir, mais attention, s’introduire dans la tanière des loups implique devoir en
                                                            croiser
                                                                       un.

Talons qui claquent dans le brouhaha environnant, parfum qui sature les récepteurs olfactifs, voix qui tinte aux oreilles à l’affut, présence qui court-circuite l’être entier de Reiko. Elle s’humecte les lèvres, reprend une gorgée du liquide qui pétille au fond de sa gorge, tente de rester impassible. Echoue.

Ses yeux se posent sur le visage haï, sur ce faste, sur ce corps qui invite à la violence, et elle secoue la tête, doucement. Elle a peur que sa voix la trahisse, que les tremblements la secouent, et que tout tombe à l’eau.

Mais soudain, le noir.

et dans ta tête c’est la panique, tu reposes le verre qui se renverse sur la table et tu amènes une main à ton visage, à cet œil qui voit encore, à cet œil qui a recouvré ses fonctions lorsque tu es revenue d’entre les morts, à cet œil que tu ne peux pas te permettre de perdre une nouvelle fois.

Dans l’obscurité, elle voit des formes, elle distingue des silhouettes, et le peu de lumière se reflète sur les paillettes et les strass, et ça lui suffit à prendre conscience qu’elle n’a pas perdu la vue, non, pas cette fois. Alors elle secoue la tête, des coups de feu la font sursauter, son cœur semble vouloir s’échapper de sa cage thoracique et elle regarde autour d’elle sans trop savoir ce qu’elle cherche, mais le parfum qui lui picote le nez la met sur la piste,

et elle agrippe le bras nu, doigts de fer autour de la chair tendre. Reiko a oublié la raison de sa présence. Reiko ne vit que pour cette chasse personnelle, qu’elle fait semblant de maîtriser, dont elle pense connaître l’issue. Mais Reiko ne contrôle plus rien, et ce depuis un long moment, le parfum du loup l’enivrant, le poison du serpent gouttant dans sa bouche entrouverte.

Cependant, le chien de garde est à l'affût, il veille à la sécurité de sa maîtresse, et dans le noir, une main glacée vient enserrer l'avant-bras de Rei, bloquant toute tentative de sa part. Elle grogne, tire d'un coup sec sans lâcher sa proie, mais c'est la même force, la même résilience que la sienne. Un adversaire à sa taille. Alors, à l'aveugle, devinant vaguement la position du molosse dressé pour tuer, prend de l'élan et balance son poing, espérant toucher quelque chose, espérant étourdir. Soif de quelque chose, pas de sang, pas de violence, non, pas encore.

icon la foule n’est pas ton ennemi – fais-en ton armure, ta défense la plus imparfaite contre les loups qui rôdent.
rp libre
451 mots
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Mer 2 Fév - 14:53
L’adrénaline et la colère. C’est tout ce qu’il y avait en toi à ce moment-là. Tu juras sur l’obscurité pendant un moment. Comme si entrer ici n’était pas assez difficile, il fallait aussi que tu ne puisses rien voir. Tu n’avais pas spécialement entendu de bruit de panique une fois la fenêtre brisée. Qui aurait cru que briser une fenêtre pour rentrer quelque part serait discret un jour. Ta jambe devrait te faire souffrir, mais pour tout avouer tu ne ressentais pas réellement de douleur. Enfin, c’était le cas avant qu’une espèce d’abruti fini ne te plante un putain de truc dans cette même jambe. Tu retins un cri de douleur pour éviter de partager ta position à tout le monde avant de te mettre encore plus en colère. Par une analyse assez rapide, tu tentas de déterminer où se trouvait l’immonde étron fumant qui t’avait fait ça et, sans trop te faire presser lui décernas ton meilleur coup de pied. Lui, ou elle tu ne savais même pas, c’était fait. Que cette personne aille en enfer! Soudain, tu eus la même sensation qu’avec Cosmo. Sauf que cette fois-ci, ce n’était pas lui mais Ceres. Putain ils ont le chic pour être en danger au même moment aujourd’hui! Tu tentas de faire une différence entre les deux distances tout en espérant que quelqu’un puisse aller aider la jeune femme. Mais visiblement personne n’allait y aller. De plus, Ceres était probablement plus proche de toi que ne l’était Cosmo. Tu soupiras, retiras ce putain de truc qui était en fait un morceau de verre - tu décidas étonnement de le garder dans ta main d’ailleurs - et fonça vers Ceres tout en t’excusant intérieurement à Cosmo pour ton retard.

Courir avec une jambe en moins et des putains de talons aiguilles c’était compliqué. Mais tu n'avais pas le temps de penser à ça. Tu étais probablement plus en sécurité que Cosmo et Ceres à l’heure actuelle. Tu essayais d’aller au plus vite en évitant de faire du bruit. Tu boitais un peu mais tu t’en fichais, tes amis en priorité. Tu avais très probablement heurté certaines personnes mais tu ne l’avais pas réellement remarqué. Tu n’avais que Ceres en tête, et Cosmo aussi car mine de rien tu t’inquiétais énormément. Puis, enfin, tu arrivas vers elle. Enfin ça c’est ce que te disait sa localisation. Tu essayais de t’habituer à ce putain de noir quand tu sentis un présence qui bougeait pas loin. D’un coup d’un seul, tu compris que c’était lui, ou elle tu ne savais pas, qui mettait ton amie en danger. Sans trop savoir si tu allais réussir, tu “t’interposas” et tombais à genoux, les bras tendus et tu bougeais tes mains derrière toi pour constater que tu tâtais bien une personne. Tu ne le savais pas réellement, mais tu avais la conviction que c’était elle. Tu te tournas difficilement, exposant ton dos à des possibles coups et chuchotas :
-Ceres? C’est Hestia. Tu vas bien?
Tu n’eus pas le temps d’attendre une réponse que tu reçus un coup dans le dos. Tu laissas s’échapper un petit gémissement de douleur tandis que ta jambe, déjà parsemée de petits bouts de verres, se collait au sol, laissant rentrer de plus en plus ces bouts de verre.
-Ne t’inquiète pas, je vais bien. Le principal, c’est ta sécurité et celle de Cosmo. Il faut juste qu’on se débarrasse vite de cette merde pour que je puisse aller le voir.
Tu savais qu’elle ne pouvait pas voir mais tu esquissas un sourire se voulant rassurant tandis que ta jambe te faisait de plus en plus mal.

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Make me your villain
Mercredi J. Kim
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Mercredi J. Kim
Mer 2 Fév - 15:28


|
i always come back ;
i'm not here
for the fruit punch


► — mask & outfit
and the glass cut.

alors que tu l’enfonce,
alors que tu déchire la peau avec celles-ci,
n’ayant que faire de la personne ayant été touché,
c’est avec un sourire bien trop grand que tu entend la plainte de douleur,
mais tu n’es pas ici pour ne faire que ceci.

ayant fait ce que tu voulais déjà faire,
faire ton retour dans cette univers toxique qu’était le vôtre,
ce fut que par un coup de pur chance que tout se déroula ainsi,
mais tu n’allais pas attendre de te faire tirer dessus pour te pousser.

et si tu avais prévu un retrait tranquille,
tu fus brusquement arrêté dans son déplacement quand ta victime te donna un coup de pied.
le recevant sur la cuisse,
tu jurais en coréen avant que tu ne te recules le plus possible.
cherchant à atteindre le bord du mur,
tu avais très bien compris qu’il y avait une sortie par là vu les vitres ayant explosé et ce fut avec un rire moqueur que tu finis par atteindre l’une des vites.

car maintenant que les poules étaient en panique, le renard pouvait filer en douce.



résumé des familles:

(c) SIAL ; icon kawaiinekoj

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