Mars, 2022 ▬ A l'origine, ils étaient cinq. Cinq amis pour la vie, cinq amis pour la mort. Et ils se sont fait une promesse : celle de renverser le gouvernement, et être libres. Mais après la création de leurs gangs respectifs, les évènements les plus traumatisants ont définitivement bousillé leurs rêves face à leur ennemi juré et commun : Le Staff. C'est ainsi que s'entretient le chaos sur Venus Ville, la capitale de Mars. L'anarchie, le désordre et les promesses de mort...
Bienvenue sur AL
Là où tous les coups sont permis, même tuer
Cosmo Fonda
Astar Fonda
Caelus Fonda
liens
Les
veautés
Les Nou
11.08.22 ▬ Jumeaux Les inscriptions sont fermées !! Lire l'ANNONCE suivante pour être à jour, car un event final arrive bientôt
18.06.22 ▬ Jumeaux Les personnages jumeaux ne seront plus acceptés à l'exception d'une future réservation. Aussi, nous avons ajouté une nouvelle règle dans le réglement
27.05.22 ▬ Groupes libres Tous les groupes sont ouverts aux inscriptions. Inondez-les de votre amour ! Aussi, nous recherchons 1 Sous capitaine AS, 1 chef de garde BB, 1 chef de garde CC, des BR à foison ainsi que des membres Pitaya !
15.05.22 ▬ MAJ V3 MAJ V3 du forum ! Lire présentation de la MAJ ici : WWW. Note : Tous les Bottins sont à jour !
Tu n'aimes pas les rues bondées Andrew. Tous ces gens, ces putains de gueux... Ça te dégoûte au plus haut point. Tu imagines parfois tellement de fois leur mort sous le règne de la pomme pourrie, ton roi, ton DIEU. Ouais, que ces êtres inutiles crèvent. Après tout, ça te fera des vacances. Mais, pour le moment, t'aimerais bien passer bordel de merde ! Mais putain, pourquoi y a autant de monde aujourd'hui ? Tu n'avais pas demandé ça! Tu tentais de forcer le passage, passant entre deux individus, deux énergumènes. Tu réussis à passer avec ENORMEMENT de difficulté. Si bien que tu avais manqué de tomber et que tu poussas un type qui n'avait rien demander. Mais ça, on s'en fichait. C'était de SA FAUTE !
Ton regard devint noir lorsque tu te tournas vers la personne. T'avais envie de lui exploser la tronche. Tu n'étais clairement pas d'humeur et il ne fallait pas qu'on te cherche. Bon, on passera le fait que c'est principalement de ta faute mais ce n'est pas grave. À tes yeux, c'était lui qui t'avait poussé, point à la ligne! - Eh toi! Il s'agirait de s'excuser quand on pousse quelqu'un. Connard. Oula, t'y vas pas un peu fort là? Faudrait faire gaffe, le mec tu ne le connais pas ça tombe il va te défoncer la gueule.
Le centre-ville à une heure de pointe piétonne... Ce sont les gens qui se pressent comme des fourmis, se serrent et se rassemblent. L'espace de déplacement se retreint et, toi, au milieu de cette foule, tu soupires. Ton frigo est vide. Tu as faim. Il a donc fallu que tu te mêles à la marée humaine martienne.
Et comme dans toute situation de rue bondée, ton épaule en heurte une autre. Ce n'était pas la première fois. Mais au lieu de recevoir une excuse, ou même rien, c'est une insulte qui fuse. Tu hausses un sourcil et tu jauges le gars au regard noir.
Vraiment ?
Tu ne le sens pas ce type. Il devrait respirer un peu plus, faire du yoga ou un truc zen. Tu relèves un peu les mains en signe d'apaisement.
- Hé bien, vas-y, j'attends tes excuses.
Si avec tes gestes, tu appelles au calme, ce n'est pas du tout le cas de ta parole et de ce sourire narquois sur tes lèvres. Tu n'es pas le genre d'homme à te laisser écraser par autrui.
- C'est d'ailleurs peu commun de parler de soi à la troisième personne, Mr. Le Connard.
Pardon! Comment ça à toi de t'excuser. Il avait pas dû comprendre que c'était pas lui qui allait faire la loi ici. Tu t'approchas de lui avec un regard furieux, l'envie de lui foutre une patate te démangeait tellement fort. Ou alors peut-être de lui faire le plus de mal possible. En tout cas, une chose était sûre, tu n'allais pas laisser cet affront impuni. Ton visage se voulait menaçant, tu voulais qu'il ait peur, qu'il fuit à la limite. Ca serait tellement plus drôle que simplement lui foutre un pied-bouche tranquillement. - T'as envie de crever ou je rêve là? En plus de ça il se permet de pas avoir d'originalité apparemment. Désolé p'tit gars mais "Connard" ça a déjà été utilisé. Visiblement son vocabulaire n'est pas super riche. Et pourtant t'es sûrement d'une des personnes qui a fait le moins d'étude ici. - C'est ça ta répartie de merde? Faudrait que tu prennes des cours. Retourne à l'école p'tit gars. Oh s'il te plait Andrew, dit nous qu'il va y avoir une bagarre! Défoule toi vas-y! Ouais mon discours à totalement changer depuis la dernière fois et je vous emmerde. De toute façon, il m'écoute pas le boug. Donc bon.
Toujours le regard menaçant vers lui, tu commençais déjà à imaginer ce que tu lui ferai s'il décide de mal te répondre encore une fois. Un peu d'illusion? Il le mérite au moins? Boarf, tout le monde mérite un peu d'illusion dans sa vie. Mais dans son cas ça serait pas très joyeux. Au pire tu le frappe direct et il le voit pas venir. Mais faudrait juste éviter de le tuer. D'ailleurs, y a pas un peu trop de monde pour se battre? Bon ok tu t'en fous de base. Mais rappelle-toi ce qu'Urie a dit " PAS LES CIVIL!"
Tu le vois au regard qu'il te lance qu'il ne s'excusera pas. Bien au contraire. Tu venais de réveiller une bête prête à attaquer. Tout ça à cause d'épaules qui se sont entrechoquées dans une rue bondée. Il y en avait qui avait vraiment envie de se prendre le chou pour des brindilles.
Avais-tu des penchants suicidaires, Louis ? La réponse était non, malgré tes cicatrices qui pouvaient faire penser le contraire. Tu n'avais pas envie de crever, loin de là cette idée. Et l'inconnu monta les échelons de la colère et toi tu lui ris au nez.
- Ah, c'est que tu m'as entendu alors, pourtant tu t'excuses toujours pas.
Qu'est-ce qu'il t'insupporte avec sa belle gueule. Pourtant ce n'est pas toi qui initiera la bagarre. C'est rarement toi. Car toi, Louis, tu as besoin d'être blessé pour pouvoir te défendre au mieux. Mains dans les poches, tu le fixes.
- Bon, papy, c'est pas pour dire, mais tu gênes. Bouge de là, je voudrais bien avancer.
Après tout, si t'es "un p'tit gars" comme il t'avait appelé, c'est que c'était un vieux. Et même si ce n'était pas le cas, l'optique de le voir grincer des dents sous colère prouverait un peu la justesse de tes propos.
Bon, visiblement, tu n’allais pas pouvoir discuter avec ce p’tit con. T’as jamais essayé de discuter en fait. Du coup, tu vas y aller à la manière forte. Tu le fixe bien avec l’idée d’afficher sa plus grande peur devant ses yeux. Puis, tu claques des doigts. Tes yeux se mettent à briller. Quel dommage que tu ne puisses pas voir ce qu’il voit à l’heure actuelle. Tu ressentirais un plaisir si intense à voir ce qui l’effraie le plus. Tu t’approches de lui avec un calme presque effrayant.
L’une de tes seules deception dans ta faculty, c’est que tu sais que tu peux t’en servir pour faire du mal, mais que tu ne peux pas savourer pleinement le mal que tu infliges tant tu aimerais savoir ce qu’ils voient au travers de cette dernière. Vu comment t’avais énervé le bonhomme, tu aurais tellement aimer te foutre encore plus de sa gueule comme ça? Mais bon, tu vas déjà lui faire payer un minimum son manque de politesse. Une fois assez près de lui, tu lui infligeas un coup de pied dans le ventre que même toi tu n’aurais pas voulu recevoir. Imaginez un peu le choc. Une peur qui vous paralyse, et un coup qui vous réveille mais pas de la bonne manière. Le pauvre petit devait tellement s’en mordre les doigts. Tes yeux reprirent leur couleur normale. - Je t’avais dis de pas me faire chier, connard!