Et c’est ta victoire. Quand il prononce TON prénom, pas un autre, juste le tien. Tu ne l’as pas vu venir et cela ne le rends que plus délectable au creux de tes oreilles. Il te donne des envies voraces, et peu importe ce qu’il dira ensuite dans ton esprit t’as déjà gagné, t’as déjà tout ce que tu voulais. De toute façon, avec ta faculty sur lui désormais il n’est pas près de t’oublier.
Tu ris quand tu l’entends dire que tu ne lui montreras rien.
Bientôt il voudra que tu lui montres tout, t’en est persuadé.
—
On en reparle très vite Cecil.Frisson quand il effleure tes doigts, il a initié ce presque contact qui en devient pas toi. Une autre victoire, le regard fou, même quand il force sur tes doigts, même quand il plantent ses ongles dans ta chair pâle.
Et la sentence tombe celle qui te rends fou. Retire tes doigts. Dévoré à l’intérieur de toi.
—
Comme si t’étais capable de faire ça.
Echo dans le coin de l’oeil. Tu t’esquive en riant, marche jusqu’à elle, ton bras autour de sa taille,baiser à sa joue avant de murmurer à son oreille.
—
Il est amusant…ton frère.Mordille son lobe avant de la relâcher dans un sourire et de t’effacer dans la foule. Signe de la main à celle qui est pour toi est le reflet parfait de ta beauté. Cecil, Il va te regarder. C’est obligé. T’es sur qu’à l’instant il dû le faire. Il doit le faire. Qu’il devienne dingue.
Regarde moi. Regarde moi. Regarde moi.