PeriodeHARD

Mars, 2022 ▬ A l'origine, ils étaient cinq. Cinq amis pour la vie, cinq amis pour la mort. Et ils se sont fait une promesse : celle de renverser le gouvernement, et être libres. Mais après la création de leurs gangs respectifs, les évènements les plus traumatisants ont définitivement bousillé leurs rêves face à leur ennemi juré et commun : Le Staff.
C'est ainsi que s'entretient le chaos sur Venus Ville, la capitale de Mars. L'anarchie, le désordre et les promesses de mort...

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11.08.22 ▬ Jumeaux Les inscriptions sont fermées !! Lire l'ANNONCE suivante pour être à jour, car un event final arrive bientôt
18.06.22 ▬ Jumeaux Les personnages jumeaux ne seront plus acceptés à l'exception d'une future réservation. Aussi, nous avons ajouté une nouvelle règle dans le réglement
27.05.22 ▬ Groupes libres Tous les groupes sont ouverts aux inscriptions. Inondez-les de votre amour !
Aussi, nous recherchons 1 Sous capitaine AS, 1 chef de garde BB, 1 chef de garde CC, des BR à foison ainsi que des membres Pitaya !
15.05.22 ▬ MAJ V3 MAJ V3 du forum ! Lire présentation de la MAJ ici : WWW. Note : Tous les Bottins sont à jour !
02.09.21 ▬ MAJ V3 Ouverture du forum !



 
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((trame)) A la recherche de la vérité / feat CC
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Athénaïs Valden
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Athénaïs Valden
Lun 13 Déc - 16:17
Tu ne dormais vraiment pas beaucoup plus que d'habitude ses derniers jours, les commandes sont bien trop nombreuses et tu ne sais plus où donner de la tête... Et puis cette invitation pour une réunion collective tombait mal vu que c'était sur les heures auxquelles tu aurais aimé dormir Anna.

Tu te préparas correctement quand même, y aller en pyjama est une très mauvaise idée surtout qu'il va avoir le chef donc ne pas faire honte en tant que courtière/styliste est primordial !

Tu arrives vers les derniers en piquant du nez parfois, tu arrives à lire sur les lèvres de certains, cela te parait bizarre et pas très cohérent... même si tu penses que c'est ta fatigue qui te fait ressentir du négatif, tu aimerais vraiment retrouver la chaleur de ta couette et la douceur de ton matelas juste pour quelque heure... ce serait un vrai luxe plus que n'importe quel vêtement que tu pourrais coudre.

Votre chef, Monsieur Sarutobi, l'un tes premiers clients Anna, parle d'une enveloppe... Personne ne semble savoir d'où elle vient, rien n'est écrit dessus, sauf sur la lettre...

Tu te frottes les yeux malgré la fatigue, ce que tu viens de lire sur les lèvres de l'homme et que l'assemblée à entendus jette un froid qui te fige sur place....

Une menace de mort... sur tout le gang...

D'après ce que tu arrives à lire sur les lèvres des gens, elle est manuscrite donc ce serait une connaissance du chef voir de ses proches alliés....

Surtout que personne ne peut utiliser sa faculty, même si cela ne te dérange pas plus que cela vu que tu as encore un peu de celle-ci et que tu ne la maîtrises pas réellement.

Tu aimerais t'exprimer sauf que ta parole ne vaut rien comme d'autres personnes autour de toi, elles ont plus d'influence que toi.

Tu soupires alors que tu sens que ta fatigue vient de tripler après ce choc émotionnel, tu devrais peut-être retourner chez toi te reposais, ce serait mieux...

Mais, est-ce que chez toi tu serais en sécurité Anna maintenant ?

Tu ne sais pas et cela t'angoisse légèrement, qui peut en vouloir à tout un gang quand même ?

C'est étrange, mais tu sais que certaines personnes autour de toi auront des réponses assez rapidement donc autant ne pas t'angoisser davantage et attendre Anna, c'est tout ce que tu peux faire.
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Carrot Cake
Kaith H. Crosszeria
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Lun 13 Déc - 22:45


Abnormality

XX.11.21

Membres réunis, assemblés commencés et surtout une étrange lettre qui avait rapidement attiré les yeux du détective, mais sans dire mot. Néanmoins, il avait eu le réflexe de vérifier du regard s’il n’y avait pas forme étrange, un danger quelconque.

Pendant que tu lisais cette lettre, Kokoro. Les yeux d’aigles du corbeau se mettait à scruter l’assemblée et quand tu explosas de rire en révélant son contenue, son regard n’en fut que plus perçant sous cette capuche qui dissimulait ses actions.
La recherche d’une mimique, d’un comportement suspect, d’un regard qui se détournait ou même une personne qui restait en retrait, comme si elle voulait se faire oublier.

Ce qu’un écrivain éviterait de faire pour ne pas paraître suspect. -Du moins, s’il est intelligent.-
Et des gestes, il y en eut notamment Damien qui vint s’approcher pour poser une main dans sa nuque, mais d’un regard au loin.

Un froncement des sourcils, il notait cette différence de ses actions à son regard qui l’interpela.
Il faudrait être suicidaire pour tenter maintenant.

Ses yeux crépuscules se posèrent aussi quelques instants sur toi, Jay.
Oh que ton silence voulait beaucoup dire, tes yeux ne mentaient pas et le sérieux sur ton visage non plus. Ne pars pas ton calme maintenant, cela serait mauvais pour ta réputation.

Néanmoins, Kaith était d’accord qu’il ne fallait pas prendre menace à la légère, même s’il savait que ce n’était pas ton cas, Kokoro.

Quand tu l’appelas, son regard se dirigea à nouveau sur toi et sans plus se faire désirer, il s’approcha pour t’écouter.
Un sourire en coin se forma sur les lèvres du détective, tu avais eu la même idée que lui, décrypter cette écriture.

« Très bien, je m’en charge. » Furent ses simples mots d’une voix basse, toujours aussi secret.

La boite entre ses mains, le corbeau retourna dans l’ombre, la tienne. En arrière caché derrière toi pour que le secret de ces lettres soient gardés jusqu’à découverte d’une écriture similaire.

Ce n’était pas la première fois que Kaith devait retrouver l’auteur d’une écriture, c’était même commun pour un détective aussi qualifié que lui. Des lettres de menace, des demandes de rançon.

C’était son quotidien, aucun détail ne pouvait lui échapper.

La partie de Cluedo grandeur nature ne faisait que commencer.   
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Kokoro Sarutobi
Mar 14 Déc - 20:56
feat Jay
Moving
too quickly
Ce jeu de devinette commence à lui prendre le chou
Le manque de force, de motivation
Font un mélange des plus chaotiques
De plus en regardant toutes les lettres que tu disposes
Tu n'arrives pas vraiment à savoir si elles correspondent
Ou non

Puis vient alors Damien
  Ce garde du corps modèle
Une main qui se pose sur ta nuque ardente
    Où il n'arrive décidément pas à se détendre
Même un simple geste de son ami ne lui fait aucun effet

Ses mains qui s'explosent contre le marbre du bureau
   Sa rage prend peu à peu le dessus
Son regard devient sévère
Menaçant
            Tu les regardes tous un par un ; puis t'exclames sur un ton autoritaire

 - Ce jeu de devinette me fatigue de plus en plus

Une
  Deux
  Trois secondes de silence

  Voilà que maintenant
Kokoro n'arrive plus à se contenir
 - Si je chope cette ordure qui a écrit ça ..

Il s'écarte de Kaith puis s'assoit sur le rebord de son bureau
 Il vous observe ; aucun sourire
Juste il vous cherche du regard
Jay, Damien, Cyrus et Anna
   - Juste je ne veux même pas imaginer que ce soit un cc, mais si c'est le cas je peux vous garantir qu'il ou elle subira la pire des morts avec ou sans faculty

Il se redresse
 Il se dirige vers son second
Oui toi Jay
  Sa main qui se pose sur son épaule
Il se penche légèrement vers lui puis lui chuchote à l'oreille
 - Je vais aux archives garde un œil sur nos camarades, si tu remarques quelque chose d'étrange tu me le diras à mon retour

Il éloigne en douceur son visage de son oreille
Mais
  Tu t'arrêtes un instant juste le temps de lui dire ces mots
 - Tout ira bien

Il se recule puis sort de la pièce
 Rapidement il se dirige vers les archives, prend tous les documents nécessaires à l'enquête
Lettres, documents d'admission au gang, et les lettres de Tamashi que tu gardes
Précieusement
Tous les papiers importants sont alors rangés dans une énorme boite en carton

Tu ne sais pas combien de temps tu as mis
Mais tu es sûr que toutes les personnes qui se trouvent dans cette fameuse pièce a bien saisit ta menace
À prendre au sérieux ou
Non
Ce n'est pas son problème

Puis après avoir fini le rangement il revient
Ouvre cette porte puis pose cette boite sur son bureau

 - Crow on s'en charge ensemble de cette affaire, dans ce carton il y a vraiment tous les documents d'admission des membres du gang et des lettres de ma jumelle que j'ai gardé à l'abri aux archives

Tu lui adresses un sourire
Et te mets au travail

bettyleg
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Mar 14 Déc - 22:00


Prouvez moi que vous ne l'êtes pas.



Jay essaya de se calmer, mais en vain, rien que le fait qu'un parmis eux pourrait être l'auteur de cette lettre. Une lettre de menace, le dernier pilier vient de s'abattre. Sa colère monta de seconde en seconde, ce pilier était la colère elle-même de Kokoro. Si le capitaine n'est pas content, il en va de soi que le second suit pour ensuite l'aider dans les démarches.

Le regard de son supérieur se plongea dans le sien, les deux se comprirent, Jay n'était pour rien au monde auteur de la lettre. Pendant qu'il était à sa place, son plus vieil ami énonça ce que Jay n'aimait pas supposer :

Est si c'était l'un d'entre eux ? Pire l'un du gang qui est encore plus proche ? Mensonge et trahison, deux actes que le cuisinier n'aimait pour rien au monde et qui sévit atrocement.

Heureusement qu'il n'avait plus son pouvoir, sinon la pièce serait au moins quatre degrés.

Un sourire carnassier se formait sur les lèvres du bras droit de Kokoro pendant qu'il lui chuchotait quelque chose à l'oreille.

— Bien, on va faire simple, tout le monde sait quels sont les actes que j'ai horreur, je le dis assez souvent. Donc je vous laisse une chance, une seule de vous dénoncer, avant qu'on l'apprenne par nous-mêmes, croyez-moi, vous n'aimeriez pas cela.

Il regarda par ordre qui était de plus proche de lui au plus éloigné. Plongeant son regard dans chacun de vous. Attendant quelque seconde sans rien dire puis se leva. Et se mit comme à chaque fois qu'il était lors de votre recrutement, il vous fixe tous, tel un prédateur qui va vous dévorer.

Damien était peut-être trop proche de Kokoro, mais il est autant suspecter que n'importe qui, Jay ne fait aucun traitement de faveur pour ce genre de chose et ne se défoule pas non plus sur lui.

— La confiance.

Dit-il en appuyant sur ses mots, il fixe plus longuement les deux qui se faisait discret depuis le début.

— J'ose espérer vraiment que ce n'est personne d'entre vous, sinon je me ferais une joie de le ou la torturer jusqu'à que je le décide. Cela pourrait être des années. Donc vaux mieux tout avouer. Je serais me montrer clément.

feat CC

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Mer 15 Déc - 1:44
Disappear
Il n'y a qu'un mot pour décrire toute cette mascarade : fouilli ; tout est complétement sans dessus-dessous. Kokoro est si désespéré que pas même mon réconfort public ne l'aide à reprendre contenance.
J'avoue avoir du mal à avoir de la tendresse envers quiconque devant tout le monde et si j'ai fait l'effort pour lui,
lui ne fait d'efforts pour personne.

C'est simple, depuis qu'il a abandonné et s'est laissé envahir par le stress, il ne fait que prodiguer des menaces envers les auteurs des faits ; mais ça ne nous aidera pas bon sang !

Nos camarades sont dispersés, leur réaction est normale. Ce n'est pas monnaie courante de savoir réagir face à une telle lettre, pourtant, ces gens-là ont de la préparation ; ce sont des mafieux !
La plupart d'entre eux ont été élevés entre les explosions et les tirs de cracheur. Alors, ce n'est pas juste une simple menace qui va les faire se rentrer dans leur coquille ? Franchement, ça me dépasse moi aussi, tiens.

Jay me chauffe encore plus avec son discours à la mords-moi le nœud, il ne fait que répéter avec plus de véhémence ce que Kokoro a déjà exprimé.
Je suis d'avis qu'un second est le bras droit du capitaine et doit l'épauler qu'importe s'il approuve ses décisions ou non, c'est là où le job est moins fun.
Par contre, on n'a jamais demandé à un lieutenant d'être une extension de son chef. À mon sens, Jay essaye seulement de faire savoir qu'il est présent, sans réellement proposer quelque chose de nouveau qui pourrait changer la donne et modifier l'humeur en autre chose de plus sérieux.

C'est encore à moi de prendre les responsabilités.

Dès que Kokoro a un instant de libre, je décide de le prendre à part au détour d'une petite alcôve, visible par le groupe sans pour autant pouvoir être entendu directement. C'est un positionnement stratégique pour apaiser Jay, histoire qu'il ne croit pas que je me dénonce en demi-teinte.

Il attend n'importe quel prétexte pour tomber sur le moindre signe qui prouverait que l'un d'entre nous est le coupable ; alimenter sa parano signerait mon arrêt de mort donc je reste prudent, je lui montre qu'il peut entendre s'il le veut, mais qu'il n'est pas forcément invité non plus.

Les situations conflictuelles, j'en ai ma claque, elle pompe toute mon énergie et je déteste être comme ça.
Franchement ça m'épuise, on dirait des gamins dans la cour de récrée qui jouent aux gendarmes et aux voleurs.

Et c'est moi le commissaire venu sermonner ses équipes pour un juste rééquilibre des choses.  

- Merde Kokoro, tu es le capitaine. Oh, regarde-moi. J'ai l'impression qu'il ne me regarde pas suffisamment. Tout du moins, pas de la manière dont moi je le voudrais. Tu es le capitaine. Tu es le moteur de l'équipe. Oui, tu as le droit de te sentir menacé, en colère, triste ou même d'en rire si c'est ce qui te chante, mais par pitié, reprend contenance, car tu es en train de faire couler toute la barque.

Mon bras tatoué désigne sèchement l'ensemble de l'assemblée encore agitée.

- Là, eux, ils t'attendent. Tu ne peux pas douter de tout le monde devant eux. Lance des enquêtes si tu le veux, fais tes affaires de ton côté si tu veux, mais ne montres pas ta faiblesse, parce que si le mec suspecté est parmi eux, il pensera déjà avoir gagné parce qu'il t'aura affaibli. Alors maintenant, je te pose la question :

Je le fixe droit dans les yeux, sans les cligner une seule fois, mes mots pénétrant avec force tout à mesure que mon index et ma foi pointe son cœur.

- Est-ce que tu es quelqu'un qu'on affaiblit ?

Intrigue


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Mer 15 Déc - 3:45
A la recherche de la véritéft. les CC
Clic. Clic. Clic.

Elle veut hurler.
Elle a cherché - longtemps - (pourtant elle n’a pas trouvé). Elle ne comprend pas où est passée sa faculty - et ça la frustre. Son feu lui manque. Elle a l’impression de mourir de froid.
Comme pour compenser elle joue sans cesse avec son briquet, qui émet donc un cliquetis incessant. On l’a connue plus discrète.

Tac. Tac. Tac.

Dès qu’elle a daigné accorder un regard à son com, elle a su qu’elle était attendue. Qu'elle aurait peut-être des explications. S’était précipitée aussitôt vers son manteau, abandonnant écharpe et gants dont elle se munissait pourtant tout le temps. Ses talons claquent sur le sol tandis qu’elle rejoint vite son gang - son clan. Des frémissements parcourent son corps et elle se demande si c’est l’adrénaline qui la fait marcher plus vite que d’habitude, elle qui reste maîtresse d’elle-même en toutes circonstances (sauf celle-ci ?).

Elle s’arrête pour reprendre son souffle, reprendre légèrement sa chevelure qui s’est décoiffée sur le trajet. Elle doit être impeccable. Passe la porte juste pour entendre les mots de leur chef.

"Tu es bientôt mort, Sarutobi. Toi et toute ta clique."

On lui a déjà fait accueil plus chaleureux. Son regard se glisse sur les personnes présentes, prenant d’ores et déjà la mesure des choses. Le rire ne la surprend pas - comment réagir dans une telle situation ? Elle ne peut pas blâmer Kokoro. Elle cherche Jay du regard, aperçoit Crow plus loin quand on lui tend la lettre. Bien. Elle reste en retrait (pour le moment).

Et puis tout s’accélère, si bien qu’elle a un peu de mal à tout appréhender. Ce n’est pas dans ses habitudes. De se laisser dépasser. Mais quand Jay devient plus véhément, elle s’avance - avec toute sa prestance. Elle vient poser sa main sur le bras du second, l'air sérieux. Elle frissonne au toucher, se déteste d'avoir oublié ses gants.

- Vous savez bien, monsieur, que si l’un d’entre nous est l’auteur de cette lettre, nous le découvrirons bien assez tôt. Crow est déjà sur le coup, et je doute fortement que quiconque se dénonce.

Elle garde sous silence sa dernière phrase, "Je doute encore plus de votre capacité à être clément si quelqu'un avoue, et tout le monde doit le deviner à votre attitude.", phrase qui brûle ses lèvres (comme elle aimerait que SON feu la brûle), mais qu'elle ne dira certainement pas en public. Elle pourra le "sermonner" plus tard.

Clic. Clic. Clic.
Emme's Codes
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Mer 15 Déc - 20:10
mouvement et entrée de jeu
Cyrus Daviesun premier regard et l'action est menée
Les esprits s’échauffent, c’est peut-être le moment de partir ? Cyrus se retourne, à fixer les autres qu’il n’aurait pas eu le temps d’examiner. Anna est là. Elle vient d’arriver ? Ou l’a-t-il tout simplement ignoré en se concentrant beaucoup trop sur les mouvements du chef et de son bras droit ?

Il se retourne vers la jeune femme, lui fait un signe de main pour la saluer et s’avance vers elle. Anna, il la connaît depuis quelque temps maintenant. Il ne peut pas dire comment il a réussi à bâtir un semblant de relation amicale avec elle, mais à vrai dire tout part d’un canard domestiqué. C’est déjà beaucoup pour Cyrus.

Déconcerté par la scène, Cyrus se tourne vers Anna. Son regard semble divaguer, elle est fatiguée ? Une légère moue incompréhensible au visage, Cyrus essaie de lui signer le plus clair possible les propos de Kokoro. Pour résumé : Le chef en a marre et menace de mort. Rien de frais sous le soleil de Mars non ?

C’est ça dont il a horreur, cette facilité à partir au quart de tour. La haine de l’injustice à rendre menace sur menace, mais Cyrus souligne un point. Kokoro donne partielle confiance à ses pions, mais… Jay, lui. Plus menaçant, moins confiant envers eux, il semble beaucoup plus faible à la longueur.

Quelque chose qui devrait intéresser le Staff, si Cyrus décide de partir dans ce sens. La suite des paroles de Jay, Cyrus les signe plus ou moins maladroitement à Anna. Il n’est pas doué, mais il fait de son mieux. Finalement, sa haute scolarité sert à quelque chose. Et à résumer de nouveau :

Torture, manque de confiance, encore des menaces.

Cyrus en a marre. Il n’a rien fait, rien écrit et il espère bien que son nom va rester en dehors de ça, mais les menaces en l’air… Il en a plus qu’assez. Les sourcils légèrement froncés quand Jay s’adresse à Anna et lui.

Je ne pense pas que semer le doute dans les rangs soit la stratégie la plus logique, monsieur. commence-t-il, en le regardant le plus calmement possible. C’est peut-être ce que cherche l’auteur de cette lettre, créer le doute dans l’équipe et réduire notre nombre pour nous attaquer quand on sera au plus bas.

Cyrus ne parle pas beaucoup, mais il connaît les stratégies subtiles pour faire tomber l’ennemi. Lui-même en est une victime, des fourberies de son propre père.

Je ne suggère pas non plus d’avoir parfaite confiance en toute votre équipe, mais il est bon de se tourner vers les raisonnements les plus pragmatiques. Qui peuvent être « qui aurait volonté de nuire à la vie du chef au sein du groupe ? » ou bien « Quel ennemi profiterait de cette zizanie pour mieux nous attaquer ?».

Le fond de sa pensée, tout simplement. Que peuvent bien faire un tatoueur et une styliste à menacer le chef d’un gang ? Si bien que Cyrus connaît son rôle d’espion, mais il n’est pas aussi bête que de lancer la première pierre dans le visage du chef. Sur ces mots, Cyrus reste immobile, il connaît sa place et ne partage que des pensées logiques. Sa voix ne porte aucun jugement, au contraire elle est aussi basse que d’habitude.
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Mer 15 Déc - 20:35
Tu arrives tant bien que mal à rester éveillée Anna, tu observes puis remarque une main venant vers toi, tu ne peux que sourire en découvrant à qui elle appartient.

Cyrus, tatoueur que tu as rencontré grâce à coincoin... une personne de plus, comme si ce canard attirer vraiment l'attention sur lui plus que toi Anna.

Enfin là n'était le moment des souvenirs, la situation était assez grave pour que certains se sentent mal et qu'on porte un jugement sur l'auteur de la lettre.

Une lettre manuscrite, la personne qui l'a écrite n'a pas vraiment peur des conséquences, tu le sais Anna qu'elle ne s'en sortira pas indemne, que jugement même cruel sera fait.

Tu soupirs quand même sur les discours que tes oreilles perçoivent à moitié.

- Mon camarade a raison, je pense que les personnes ici présents qui sont qualifiés devrait enquêter, en commençant par vous, Monsieur Baskerville, sans vouloir vous offenser.

Malgré ta perte d'audition, tu avais gardé ta voix claire malgré que son intensité ait doublé inconsciemment pour que tu t'entendes parler Anna, cela pouvait insupporter les autres donc même si tu as encore des choses à dire tu le dis rapidement.

- Et si tout le monde est suspect comme vous le pensez, pourquoi ne pas comparé les écritures de tout le monde ?

Ce serait un début d'enquête pour écarter les membres du gang surtout qu'écrire une telle lettre ne serait pas ton genre, tu aurais plus apporté tout un tas de croquis pour tes costumes avec des morceaux de tissus pour les proposer au chef, en personne plus que de les transmettre à un autre membre qui pourrait abîmer tes chefs d'œuvre.

Cela te fatigue un peu plus, tu aimerais vraiment aller dormir, tu sens le mal de tête arriver et tu n'aimes pas ça...
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Mer 15 Déc - 21:14


Abnormality

XX.11.21

Sans dire un mot de plus, l’oiseau s’était mis à décrypter, déchiffrer chaque lettre pouvant correspondre. Il passait d’une courbe d’un B à un italique mal ajusté. D’une écriture de droitier ou de gaucher.
Il était entré dans sa bulle, dans son monde et son enquête. Personne ne pouvait le sortir de cette sphère tant que tout n’était pas passé sous ses doigts d’expert.

Une fois la boite terminée, les deux lettres en plus envolées, ce fut une négation de la tête qu’il t’offrit, Kokoro. T’annonçant qu’aucune écriture ne correspondait : pour le moment.

Les tensions montaient et les esprits s’affolaient. Le corbeau restait sage, tendant les oreilles et observant de son coin perché.
Qu’est-ce que c’était fatiguant, ça aurait pu déjà lui donner mal à la tête.

Cependant, il était d’accord que les menaces que tu venais de faire, Jay… Etaient sûrement de trop, ils avaient compris : Ils nous pas rejoint le gang sans savoir les risques à prendre en cas de trahison.
Il comprend ceux qui ont les esprits qui chauffent d’ainsi se faire suspecter, mais si le traitre était parmi eux : c’était le meilleur moment pour le coincer.

Car lui ne se faufilera pas sous les yeux du consultant.

Il ne dit mot quand tu te mis à partir Kokoro, ce fut ton retour qu’il le fit froncer des sourcils, de te faire ainsi prendre à part.
Il t’avait déjà trouvé couillus avant la réunion, Damien. Là… Il n’apprécia pas ce geste, comme séparer le chef de son second.

« Et tu crois que s’il revient sur ses paroles, il sera pris au sérieux ? Il vient lui-même de dire qu’il espérait que cela ne soit pas un de nous. Si l’écrivain est dans ce lieu en ce moment, on peut le coincer. Si on les libère, il pourra filer. » Souffla-t-il pour que vous trois l’entendiez, Kokoro, Damien ET Jay.

Il n’avait aucune raison de cacher ses pensées, seul sa voix devait être modifiée.

Les nouvelles entre ses mains, l’ombre hocha la tête suite à tes ordres, Kokoro et se mit immédiatement au travail. Comparant en premier les lettres des personnes ici présentes, puis celle de ta jumelle et enfin de tous les autres Carrot Cake.

« Ne commencez pas à jouer le jeu de cet auteur, car vous êtes en train de tomber dedans. S’il cherche à nous diviser, les tensions sont les mieux espérées. Pour enlever tout doute, il suffit d’une vérification. Si ce n’est aucun d’entre nous, n’en en sortirons que plus uni. » C’était rare que le corbeau s’adresse à d’autres, qu’il prenne la parole.

Mais il en avait vu des affaires, des querelles de pacotille détruire des amitiés, des fiancés et il ne voulait pas voir ce gang exploser.

Et bien sûr, en toute égalité, il t’avait montré sa propre lettre, Kokoro. Pour te prouver qu’il n’en était lui aussi, pas l’auteur.
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Mer 15 Déc - 22:25
INTERVENTION MJ
Intrigue #1

Les discussions s’enchainent.
Et en attendant Kaith s’attelle à sa tâche.

Il regardera les écritures de ceux présent dans la pièce.
Rien.

Il regardera les écritures des autres Carrot Cake.
Ca va prendre du temps.
B e a u c o u p de temps.

Certains vont surement perdre patience.

Il va analyser plusieurs feuilles en secouant la tête : sans succès.

Et puis d’un coup.
Vous le voyez s’arrêter sur une feuille précise.
Il est arrêté devant cette feuille.
LA feuille.

Kokoro regardera cette feuille.
Et un prénom lui reviendra en tête avant même de lire la signature : John Richter.
Mais il est censé être mort.

Alors comment est-ce possible ?




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Mer 15 Déc - 22:35


Abnormality

XX.11.21

Une fois que le corbeau est plongé dans ses recherches, plus rien ne peut les lui retirer. Il ne voit plus le temps passer.
La pile a côté de lui était devenue bien grande, rangée après que ceux dans la pièce soit tous innocenté : c’était un bon parti, le voilà soulagé.

Son écriture n’était pas la même tout comme celle de ta jumelle, Kokoro.

Combien de temps est-il passé ? Peut-être une heure ? C’est à vous de le décider, mais il allait rapidement tout en prenant son temps, ne loupant aucune comparaison.

Certaines écritures étaient vites passées, bien trop éloignées ou encore d’une typographie…. Douteuse -pour ne pas dire horrible à lire- .

On pourrait croire que ses yeux allaient fatiguer, mais il avait l’habitude de veiller pour des affaires plus saugrenues que d’autres.

Et finalement, il pensa avoir atteint son but.

Ne criant pas victoire trop vite, ses yeux scrutèrent la moindre lettre qui pouvait être pareil, les courbes… Les traits, les points et les majuscules.

Dans un sourire en coin, il comprit avoir atteint son but, seul ce sourire pouvait dépasser de cette capuche que tu pouvais entre apercevoir, Kokoro.

« Je l’ai. » De simples mots, une main tendue, le papier en son intérieur.

Encore une fois, sa chasse était accomplie, on ne pouvait lui filer entre les doigts.  
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Mer 15 Déc - 23:30


Bordel de merde.



Sans le faire exprès, il avait en majeure partie sa réponse et même plus. Malgré qu'il soit hors de lui, il arrivait encore à Cerner.

Tous ceux qui ont répondu, n'était pas l'auteur, du moins à ton avis. Mais Kaith était sur le sujet. Par contre un attiré l'attention encore. Il avait beau essayer d’être indulgent, mais il se croit chez mamie le garde du corps ? Il claqua la langue contre le palais en le voyant faire puis c'était Ahava qui se mouvait vers lui.

Entre elle et Kaith, c'était pour le moment les seuls "actifs" qu'il avait appris à leur faire confiance. Mais les autres, tu attendais des preuves et ce n'est pas porter à tout le monde de le savoir ou de le comprendre.

L'attente d'une réponse pour les lettres était insupportable... Cependant, il était important alors que tu rassures ceux qui ont agi et répondent à ceux qui t'ont parlé.

— Mademoiselle Douglas et monsieur Davis, merci de votre réponse, je ne me cache pas et si Kokoro veux enquêter sur moi, il n'y a aucun souci, il le sait très bien, mais vous toucher un point. Seulement comme vous le voyez ce que vous proposer est peut être en train de le faire. De plus monsieur Davis vous aussi votre raisonnement est juste, mais la plupart ont répondu à ma question. Ahava, merci également pour ta réponse.

Il allait continuer mais Kaith avait répondu et en soi ses dires le calma.

Soudain, un numéro, un numéro qu'il ne connait pas, il décroche ? Et si c'était une urgence ? Un marché de drogue qui part en vrille ? Encore de la paperasse ? Il soupira et regarda autour de soie, il murmura à Ahava.

— Garde un œil sur la troupe pour moi, je dois répondre.

Il décrocha. S'éloigna et regardait de loin Kokoro, puis le souffle se coupa, il lâcha son portable qui tomba au sol, pour Jay tout devenait en ralenti, le monde commençait a s’effondre sous ses pieds.

Serrant des dents, il n'adressa plus de regard à qui que ce soit, éloigna Damien de Kokoro sans vraiment être brute ou délicat. Il était clairement pas invité à entendre et pas autorisé à l'écouter.

— Sarah est à l’hôpital. Je dois vraiment y aller.

Il le regarda droit dans les yeux, son cœur était noué et ne voulait qu'une chose, courir voir sa petite sœur. C'était si urgent qu'on l'appelle lui.... Il redoute le pire.  

feat CC

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Carrot Cake
Kokoro Sarutobi
Carrot Cake
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Kokoro Sarutobi
Ven 17 Déc - 21:16
feat cc
Moving
too quickly
Kokoro revient après quelques minutes d'absence
Une ambiance des plus tendues
   Il se dirige directement vers son camarade Kaith afin de résoudre ce foutu mystère

C'est alors que tes membres commentent tes faits et gestes
  Mais surtout te manque de respect à toi et Jay
              Vous vous croyez où
Chez vos grands-parents
           Les paroles de ton garde du corps te laisse muet
Car tu n'en peux plus tout simplement
  Ton visage qui se tourne vers Damien
Tu le regardes, juste quelques secondes
                   Puis ...

 - Silence !

Un cri qui retentit dans toute la pièce
  Kokoro se retourne encore une fois vers eux
 Ses membres

 Les cc n'est pas un salon de coiffeur
Ou un lieu de détente
  Il trouve que tout cela est déplacé
          Qu'ils n'ont hélas rien à dire

- Je vous rappelle que je suis votre chef et Jay votre supérieur donc de toute évidence vous savez ce que cela signifie ? Certes vous avez le droit de dire votre avis mais pas de cette manière aussi grotesque, et puis si nos mots ne vous conviennent pas vous êtes en droit de partir

Une pause
  Un silence
Puis tu reprends Kokoro

 - Je ne vais certainement pas vous retenir

Un petit sourire
  Tu croises les bras  
Tout en terminant sur cette phrase

  - Donc désormais avant de prendre la parole réfléchissez bien à deux fois parce que si j'entends qu'un de mes membres manque de respect à notre second ou bien que vous le fassiez à moi-même je suis dans le regret de vous dire qu'une sentence sera mise en place, est-ce bien compris ?

Kokoro n'a pas le temps de souffler juste deux secondes

   Qu'au loin tu vois Jay
Il te regarde
Tu le regardes
  C'est Sarah
Immédiatement, il comprend ce que ça veut dire
 Une grimace
      Quand il franchit le seuil de la porte, qu'il s'en va
Alors Kokoro se retourne
  Ses dents qui attrapent sa lèvre
Je souffre

Mais tu n'as pas encore fini
 Car tes yeux qui sont remplis de tristesse se figent sur Damien
Tu veux lui répondre
          Car tu détestes le laisser sans réponse
Alors tu le prends à part aussi
Puis tu te lances

 - Damien je sais très bien ce que je fais et toi aussi tu devrais savoir ce que tu fais, pas de contact devant les membres, je t'aime vraiment beaucoup mais même si nous sommes amis d'enfance je ne peux tolérer ça .. Encore une grimace mais cette fois-ci vraiment affreuse. Pardon vraiment, si tu veux on discutera de tout ça en privé


Kokoro revient vers Crow
  Puis
Pendant ce temps-là

 Ton détective épluche tous les documents
Toi Kokoro tu te mets au travail
Mais il est bien plus rapide que toi
Car il trouve l'auteur de cette lettre


C'est ...  
            John Richter

Tes yeux s'écarquillent
John ritcher est un ancien ami proche de toi
Qui a disparu du jour au lendemain
   T'as pensé à une trahison mais le doute plane toujours
                 Des recherches ont été faites sans rien trouver
Et là il est en face à une menace de mort de son ami
L'effet d'une bombe

Pourquoi ; pourquoi ton ancien allié veut-il ta mort
Pourquoi
  Pourquoi

Pourquoi
 Mais t'as fait quoi de mal
Comment est-il revenu
Beaucoup trop de questions se bousculent
Tu préfères garder ça pour toi
 Car bon, personne ici ne le connaît
Ca restera donc confidentielle

- T'as fait un excellent boulot encore une fois Crow mais hélas il ne s'arrêta pas là
   Tu entends le silence
Que ça fait du bien
  Alors, enfin tu t'exclames mais cette fois-ci avec plus douceur

- Le coupable est John, un de nos anciens membres

Ton visage qui se tourne de nouveau en direction de Crow
   Tu prends le document dans ta main
Puis soupire
 - Il faut enquêter sur lui


bettyleg
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Damien Sanchez
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https://alternativelives.forumactif.com/t236-ca-sert-a-rien-d-in
Sam 18 Déc - 3:01
Disappear
Ah, je le reconnais, je n'aurai pas dû le prendre à partie alors qu'il voulait gérer tout le monde. Ma démarche était essentiellement dirigée vers l'objectif de réussir à le temporiser pour ensuite calmer tout le monde puisque c'est lui, le tronc commun, celui donne l'oxygène aux autres pour qu'ils puissent grandir et s'épanouir.
Mais visiblement, je ne vaux pas mieux que tous les autres.

Je renifle discrètement, plus en colère contre moi-même que contre lui.

- Pardon, c'était une imprudence de ma part, ça ne se reproduira pas.

Il a complètement raison.

- Je ne t'en veux pas. Fais ce que tu as à faire, nous aurions l'occasion d'en reparler si tu en as besoin.

Je vois bien qu'il est tourmenté et désemparé, surtout que, maintenant, Jay a quitté la réunion pour une affaire plus urgente ; alors notre chef est un peu seul face au groupe.

L'envie de rajouter que je ne vais faire que lui coller au derrière depuis les menaces ne me manquent pas, mais je choisis plutôt de garder le silence. Il doit bien se douter que je ne resterais pas sans rien faire au vu des fonctions que j'occupe à ses côtés.
J'ai fait trop d'erreur, entre Jay, ça, et les remontrances orales de Crow plus vouées à me foutre la honte de ma vie devant les supérieurs qu'à vraiment traiter le cœur problème.
Enfin, passons, parce que je n'ai pas envie de débattre ni de me justifier derechef. Je sais ce que je vaux et pourquoi j'ai fait ce que j'ai fait, même si mes méthodes n'étaient pas les meilleures ou que j'ai été moins diplomate que je n'aurais pensé l'être.

On revient en salle centrale où Kokoro annonce la trouvaille de Crow.
Le coupable est John Richter, apparemment l'un de leur ancien membre.
Je ne pense pas le connaître, son nom ne m'évoque rien de familier. Je suis arrivé ici, il y a un an environ, je n'ai pas encore eu le temps de faire le tour des anciens membres. Cette révélation tombe à point nommé dans le sens où si je pouvais accéder à la salle des archives, j'aurai plus d'infos utiles à livrer à Cosmo.

Enfin, là, maintenant que tout le monde est occupé à parler de ce bon vieux John, je n'ai rien d'autre à faire hormis attendre la suite.
Ils veulent enquêter. C'est loin d'être mon domaine... mais je m'approche tout de même un peu, gardant mes mains dans les poches respectives de ma veste en jean, prêt à être opérationnel pour de petits travaux si jamais on me demande.

intrigue


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Aaron E. Orwell
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Aaron E. Orwell
Sam 1 Jan - 1:30
A LA RECHERCHE DE LA VERITE
Carotte parmi tant d’autres, il avait suivi la marche jusqu’au bureau de Kokoro, sous directive de ce dernier. Aaron n’appréciait guère de voir sa tranquillité ainsi troublée, mais le sérieux de son expression avait su le convaincre de ne pas broncher ; sa lecture attendrait.

Se préférant observateur, plutôt qu’acteur, il s’était tenu en retrait, appréhendant plus tranquillement l’ensemble de la situation.

Une lettre de menace ? Déroutant. Plus intrigant qu’intimidant, selon lui. Le danger n’avait ni l’imminence, ni la crédibilité nécessaire à le faire se sentir menacé. Tous les autres gangs, et plus encore le staff, étaient susceptibles de vouloir leur perte ; en comparaison, quelques mots sur un papier n’avaient rien d’alarmant.

Dérangeant, en revanche, si ça entraînait tant d’agitation parmi les membres. 

Les menaces les plus réelles fusent au sein même du gang, lorsque les supérieurs laissent place à leur colère et Orwell, s’accordant à la réflexion de Cyrus, songe qu’ils ne font que jouer le jeu de l’auteur de la lettre. L’enfermement et la pression du moment n’aident en rien à calmer les tensions et lui-même s’agace à l’idée d’être bloqué pour une durée indéterminée - cependant, il prend son mal en patience.

Au rappel de Kokoro, destiné à prouver son autorité, Aaron se décide à intervenir, entrevoyant la nécessité d’apaiser les esprits.

Si je peux me permettre… Il s’avança, afin d’être plus visible. Leurs propos vous ont peut-être paru maladroits, mais je suis persuadé qu’aucun n’a voulu te manquer de respect, Kokoro. Ni à toi, ni à Jay. 

D’ailleurs, sa voix se fit plus douce, dénuée de toute accusation, je suis assez d’accord avec Cyrus ; nous ne tirerons rien de bon à menacer nos propres membres. Mieux vaut favoriser la coalition aux tensions.

Cependant, et cette fois, il s’adressa à l’ensemble des membres, il est naturel, au vu de la situation, que nos chefs rappellent l’importance de la hiérarchie. 

En pourvoyant au poste de médiateur, Aaron n’imaginait pas intervenir davantage dans les conflits internes du groupe que dans leur relation avec les autres gangs. Jouer au babysitter ne l’enchantait pas toujours, mais il y voyait une forme de distraction.

Ne nous voilons pas la face : des menaces, nous en recevrons d’autres. Je les vois davantage comme une provocation. Ce que veut son auteur, c’est susciter la peur.

Et alors, finalement, le coupable est découvert, loin de se trouver dans cette pièce. John. Un ancien membre. Une trahison, alors ? Des années après sa disparition ?

Définitivement intrigant.
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